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Il y a 15 fautes dans ce texte
Message de lethidee posté le 16-11-2006 à 21:11:35 (S | E | F | I)
Bonsoir tout le monde,
Je vous propose de trouver 15 fautes dans le texte qui suit.

L'égout, c'est la conscience de Paris. Tout y converge et s'y confronte. Dans ce lieu livide, il y a des ténèbres, mais il n'y a plus de secret. Chaque chose a sa forme vrai, ou du moins sa forme définitive. Le tas d'ordure a cela pour lui qu'il n'est pas menteur. La naïveté s'est réfugié là. Le masque de Basile s'y trouve, mais on en voit le carton et les ficelles et le dedans comme le dehors, et il est accentué d'une boue honête. Le faux nez de Scapin l'avoisinne. Toutes les malpropretés de la civilisation, une fois hors de service, tombent dans cette fosse de vérité où abouti l'immense glissement social. Elles s'y engloutissent, mais elles s'y étalent. Ce pêle mêle est une confession. Là, plus de fausse apparence, aucun platrage possible, l'ordure ote sa chemise, dénudation absolu, déroute des ilusions et des mirages, plus rien que se qui est, faisant la sinistre figure de ce qui fini.
Bon courage
La correction sera faite mardi prochain
Message de lethidee posté le 16-11-2006 à 21:11:35 (S | E | F | I)
Bonsoir tout le monde,
Je vous propose de trouver 15 fautes dans le texte qui suit.


L'égout, c'est la conscience de Paris. Tout y converge et s'y confronte. Dans ce lieu livide, il y a des ténèbres, mais il n'y a plus de secret. Chaque chose a sa forme vrai, ou du moins sa forme définitive. Le tas d'ordure a cela pour lui qu'il n'est pas menteur. La naïveté s'est réfugié là. Le masque de Basile s'y trouve, mais on en voit le carton et les ficelles et le dedans comme le dehors, et il est accentué d'une boue honête. Le faux nez de Scapin l'avoisinne. Toutes les malpropretés de la civilisation, une fois hors de service, tombent dans cette fosse de vérité où abouti l'immense glissement social. Elles s'y engloutissent, mais elles s'y étalent. Ce pêle mêle est une confession. Là, plus de fausse apparence, aucun platrage possible, l'ordure ote sa chemise, dénudation absolu, déroute des ilusions et des mirages, plus rien que se qui est, faisant la sinistre figure de ce qui fini.
Bon courage

La correction sera faite mardi prochain
Réponse: Il y a 15 fautes dans ce texte de sottephie, postée le 16-11-2006 à 22:10:29 (S | E)
Bonsoir lethidee

Voici mes corrections:
L'égoût, c'est la conscience de Paris. Tout y converge et s'y confronte. Dans ce lieu livide, il y a des ténèbres, mais il n'y a plus de secret. Chaque chose a sa forme vraie, ou du moins sa forme définitive. Le tas d'ordures a cela pour lui qu'il n'est pas menteur. La naïveté s'est réfugiée là. Le masque de Basile s'y trouve, mais on en voit le carton et les ficelles et le dedans comme le dehors, et il est accentué d'une boue honnête. Le faux nez de Scapin l'avoisine. Toutes les malpropretés de la civilisation, une fois hors
Merci pour cet exercice!
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Modifié par bridg le 16-11-2006 22:14
réparation du bug des balises
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Sorry, lethidee, pour la


Modifié par sottephie le 17-11-2006 12:10
Réponse: Il y a 15 fautes dans ce texte de felin, postée le 16-11-2006 à 23:43:52 (S | E)
Hello Lethidee
L'égout, c'est la conscience de Paris. Tout y converge et s'y confronte. Dans ce lieu livide, il y a des ténèbres, mais il n'y a plus de secret. Chaque chose a sa forme vraie, ou du moins sa forme définitive. Le tas d'ordures a cela pour lui qu'il n'est pas menteur. La naïveté s'est réfugiée là. Le masque de Basile s'y trouve, mais on en voit le carton et les ficelles et le dedans comme le dehors, et il est accentué d'une boue honnête. Le faux nez de Scapin l'avoisin


Réponse: Il y a 15 fautes dans ce texte de whynot95, postée le 17-11-2006 à 07:01:04 (S | E)
Hello Lethidee.

1/vraie 2/ordures 3/réfugiée 4/honnête 5/avoisine 6/aboutit 7/pêle-mêle 8/fausses 9/apparences 10/plâtrage 11/ôte 12/absolue 13/illusions 14/ce 15/finit

Réponse: Il y a 15 fautes dans ce texte de nanette33, postée le 17-11-2006 à 08:59:40 (S | E)
Hello Lethidee,
L'égout, c'est la conscience de Paris. Tout y converge et s'y confronte. Dans ce lieu livide, il y a des ténèbres, mais il n'y a plus de secret. Chaque chose a sa forme vraie, ou du moins sa forme définitive. Le tas d'ordures a cela pour lui qu'il n'est pas menteur. La naïveté s'est réfugiée là. Le masque de Basile s'y trouve, mais on en voit le carton et les ficelles et le dedans comme le dehors, et il est accentué d'une boue honnête. Le faux nez de Scapin l'avoisine. Toutes les malpropretés de la civilisation, une fois hors

Réponse: Il y a 15 fautes dans ce texte de mamouzel14, postée le 17-11-2006 à 10:31:59 (S | E)
L'égout, c'est la conscience de Paris. Tout y converge et s'y confronte. Dans ce lieu livide, il y a des ténèbres, mais il n'y a plus de secret. Chaque chose a sa forme vraie, ou du moins sa forme définitive. Le tas d'ordures a cela pour lui qu'il n'est pas menteur. La naïveté s'est réfugiée là. Le masque de Basile s'y trouve, mais on en voit le carton et les ficelles et le dedans comme le dehors, et il est accentué d'une boue honnête. Le faux nez de Scapin l'avoisine. Toutes les malpropretés de la civilisation, une fois hors-service, tombent dans cette fosse de vérité où aboutit l'immense glissement social. Elles s'y engloutissent, mais elles s'y étalent. Ce pêle-mêle est une confession. Là, plus de fausses apparences, aucun plâtrage possible, l'ordure ôte sa chemise, dénudation absolue, déroute des illusions et des mirages, plus rien que ce qui est, faisant la sinistre figure de ce qui fini.
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Modifié par mamouzel14 le 17-11-2006 10:34
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Modifié par mamouzel14 le 17-11-2006 10:37
Réponse: Il y a 15 fautes dans ce texte de sylvae, postée le 17-11-2006 à 10:47:39 (S | E)
L'égout, c'est la conscience de Paris. Tout y converge et s'y confronte. Dans ce lieu livide, il y a des ténèbres, mais il n'y a plus de secrets. Chaque chose a sa forme vraie, ou du moins sa forme définitive. Le tas d'ordures a cela pour lui qu'il n'est pas menteur. La naïveté s'est réfugiée là. Le masque de Basile s'y trouve, mais on en voit le carton et les ficelles et le dedans comme le dehors, et il est accentué d'une boue honnête. Le faux nez de Scapin l'avoisine. Toutes les malpropretés de la civilisation, une fois hors-service, tombent dans cette fosse de vérité où aboutit l'immense glissement social. Elles s'y engloutissent, mais elles s'y étalent. Ce pêle-mêle est une confession. Là, plus de fausses apparences, aucun platrage possible, l'ordure ote sa chemise, dénudation absolue, déroute des illusions et des mirages, plus rien que ce qui est, faisant la sinistre figure de ce qui finit.


Réponse: Il y a 15 fautes dans ce texte de nadcal, postée le 17-11-2006 à 15:38:54 (S | E)
Bonjour
L'égout, c'est la conscience de Paris. Tout y converge et s'y confronte. Dans ce lieu livide, il y a des ténèbres, mais il n'y a plus de secret. Chaque chose a sa forme vraie, ou du moins sa forme définitive. Le tas d'ordures a cela pour lui qu'il n'est pas menteur. La naïveté s'est réfugiée là. Le masque de Basile s'y trouve, mais on en voit le carton et les ficelles et le dedans comme le dehors, et il est accentué d'une boue honnête. Le faux nez de Scapin l'avoisine. Toutes les malpropretés de la civilisation, une fois hors service, tombent dans cette fosse de vérité où aboutit l'immense glissement social. Elles s'y engloutissent, mais elles s'y étalent. Ce pêle-mêle est une confession. Là, plus de fausses apparences, aucun plâtrage possible, l'ordure ôte sa chemise, dénudation absolue, déroute des illusions et des mirages, plus rien que ce qui est, faisant la sinistre figure de ce qui finit.

Réponse: Il y a 15 fautes dans ce texte de lethidee, postée le 21-11-2006 à 20:57:23 (S | E)
Bonsoir tout le monde, voici la correction.
Merci aux irréductibles de la dictée qui ont bien voulu participer.
L'égout, c'est la conscience de Paris. Tout y converge et s'y confronte. Dans ce lieu livide, il y a des ténèbres, mais il n'y a plus de secrets. Chaque chose a sa forme vraie, ou du moins sa forme définitive. Le tas d'ordures a cela pour lui qu'il n'est pas menteur. La naïveté s'est réfugiée là. Le masque de Basile s'y trouve, mais on en voit le carton et les ficelles et le dedans comme le dehors, et il est accentué d'une boue honnête. Le faux nez de Scapin l'avoisine. Toutes les malpropretés de la civilisation, une fois hors de service, tombent dans cette fosse de vérité où aboutit l'immense glissement social. Elles s'y engloutissent, mais elles s'y étalent. Ce pêle-mêle est une confession. Là, plus de fausses apparences, aucun plâtrage possible, l'ordure ôte sa chemise, dénudation absolue, déroute des illusions et des mirages, plus rien que ce qui est, faisant la sinistre figure de ce qui finit.
A bientôt
