Commentaire littéraire
Cours gratuits > Forum > Apprendre le français || En basMessage de rayane99 posté le 17-04-2016 à 18:35:09 (S | E | F)
Bonsoir.
J'ai fini mon commentaire
Merci pour votre lecture
L'auteur animalise également son Horloge avec une personnification « Mon gosier de métal parle toutes les langues », pour justement montrer l'aspect universelle et atemporel de celui-ci , donc du temp qui passe pour tous. Mais également la puissance de l'horloge avec le « gosier de métal », le métal étant un matériaux solide. De plus, ce vers illustre parfaitement la faiblesse des êtres vivants face au temp qui passe car il parle toute les langues.
Ensuite, le temps est vraisemblablement omnipresent dans le texte à travers l'Horloge : « souviens-toi » ou encore l'adverbe de temps « chaque instant te dévore un morceau du délice ».marquent sa vitesse, son avancé inexorable grâce à la succession des secondes, des minutes et des heures. Ici, l'auteur cherche à montrer que la vie passe vite. Le verbe « dévore » mange le temps et la jeunesse de façon sauvage. La répétition du « souviens-toi »défoit sous plusieur langue (Esto memor, prodigue...) et l'image de l'objet « la clepsydre se vide » nous indique que le texte en lui même represente le temps qui passe, donc le cycle de la vie avec au début du texte la jeunesse, et au fur et à mesure de la progression du texte on se dirige vers l'age adulte puis la vieillesse et la mort. On remarque également le rythme régulier qui imite le tic-tac de l'horloge : « se planterons bientôt/comme dans une cible » (v. 3-4), cela apporte un effet structuré au texte. Puis, Baudelaire utilise aussi une antithèse pour imager le temps qui passe « le jour décroit la nuit augmente » Ce qui veut dire que le temp qui nous reste à vivre diminue et la mort approche. Le temps est hostile: v2 « menace », v12 « pompé », v17 « avide », v20 « a toujours soif ». Ces vers montrent la toute puissance et l'hostilitée du temps face aux Hommes, pour les impressionnés.
De même, la fuite du temps souligne l'angoisse de la mort chez les etres humains qui sont soumi à celle-ci. « tout te dira.. », construction en chiasme v.4 et 21, « Le plaisir vaporeux fuira vers l'horizon », « dont le doigt nous menace » son des personifications qui représentent bien l'angoisse, la peur que « nous » pouvons ressentir face au temps qui avance inexorablement vite. La vie est réduite à une « saison » v.8 pour Baudelaire et Le mot « gouffre » au v.20 est un mot fort pour désigner la mort, il aspire la vie. L'image concrètes des gangues et la formulation « ne pas lâcher » donnent l’impression que si on ne se cramponne pas à chaque instant de la vie, à chaque moment, on sera happé dans le gouffre, c'est un sentiment effrayant que de se sentir coincé et contraint a cette fin. Aprés, on a aussi des disjonctions qui renforcent l'effet de crainte, de peur face au temps« Les vibrantes Douleurs dans ton cœur plein d'effroi », « se planteront bientot ». En outre, c'est les douleurs qu'on ressent quand on a un sentiment de peur, souvent à cause d'une menace. C'est l'impact, la blessure provoquée par le temps chez l'homme qui ne peut lui échapper. L'horloge tyrannise l'homme en lui disant que les accès de souffrance, comme des flèches, vont bientôt se ficher dans son cœur, qui est comme une cible. «
Enfin, l'apostrophe directe de l'homme renvoie au discours direct de l'horloge qui est destiné à l'homme. Celle-ci dit « Les minutes, mortel folâtre » au v15. L'oxymore « mortel folâtre » c'est la gravitée qui est opposée à la gaieté, les minutes sont mortel mais elles aiment jouer, plaisanter,ici, Baudelaire s'adresse à l'Homme en général sous forme préventive. Aprés, « sont des gangues qu’il ne faut pas lâcher sans en extraire l’or ! » souligne l'aspect précieux, unique du temps avec « l'or ». En effet, à travers un discour direct, l'horloge fait passer un message. Elle préviens l'Homme de ce qui l'attend et qu'il doit profiter de la vie qui est éphémère par rapport au temps « Le Plaisir vaporeux fuira vers l’horizon », l'emploi du futur simple indique que le plaisir, la jeunesse n'est pas éternel. On retrouve encore l'aspect préventif de l'horloge vis à vis de l'Homme. Les Hommes sont sujets au temps.
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Modifié par bridg le 18-04-2016 02:02
Bonjour !
1/En temps qu'ancien membre vous devriez savoir que ce site est destiné à aider à l'apprentissage des bases des langues et que le commentaire littéraire ne rentre pas dans ce cadre, raison pour laquelle nous n'intervenons jamais sur ce qui est dit.
2/ Nous ne sommes pas un site de correcteurs, donc nous ne corrigeons pas pour vous
La seule chose que nous ferons, sera de vous signaler les faute d'orthographe et de grammaire (lesquelles fautes auraient pu être évitées pour un grand nombre grâce au correcteur automatique qui se trouve dans tous les logiciels de traitement de texte).
Enfin, je vous rappelle qu'après avoir reçu les conseils des membres, vous devez poursuivre en postant à la suite votre texte corrigé et ce, autant de fois que nécessaire jusqu'à finalisation du travail. Merci de mener le travail à son terme cette fois-ci.
Cordialement.
Réponse: Commentaire littéraire de jij33, postée le 18-04-2016 à 00:32:53 (S | E)
Bonsoir
Les fautes d'orthographe faciles à corriger seront précédées de , sans autre commentaire. Les conseils porteront sur l'orthographe et l'expression, et non sur le contenu à propos duquel aucun avis ne sera donné.
L'auteur animalise également son Horloge avec une personnification (s'agit-il d'une personnification ou d'une animalisation ? ) « Mon gosier de métal parle toutes les langues », pour justement montrer l'aspect universelle (accord) et atemporel (autre suffixe devant "temporel") de celui-ci (à quel mot masculin est censé renvoyer ce pronom ? Incompréhensible), donc du temp qui passe pour tous. Mais également la puissance de l'horloge avec le « gosier de métal », le métal étant un matériaux solide (phrase sans verbe). De plus, ce vers illustre parfaitement la faiblesse des êtres vivants face au temp qui passe car il parle toute les langues.
Ensuite, le temps est vraisemblablement omnipresent (accent) dans le texte à travers l'Horloge : « souviens-toi » ou encore l'adverbe (quel adverbe ? Il n'y en a pas dans la citation suivante) de temps « chaque instant te dévore un morceau du délice ».marquent sa vitesse, son avancé inexorable grâce à la succession des secondes, des minutes et des heures. Ici, l'auteur cherche à montrer que la vie passe vite. Le verbe « dévore » (virgule) mange le temps et la jeunesse de façon sauvage. La répétition du « souviens-toi » défoit (ce mot n'existe pas !) sous (autre préposition) plusieur langue (Esto memor, prodigue (ce n'est pas une langue, que je sache ! Citez plutôt les trois verbes exprimant le souvenir que le poète emploie dans ce vers)...) et l'image de l'objet « la clepsydre se vide » nous indique (ce verbe a deux sujets : répétition et image) que le texte en lui (trait d'union)même represente (accent) le temps qui passe, donc le cycle de la vie avec au début du texte la jeunesse, et au fur et à mesure de la progression du texte on se dirige vers l'age (accent) adulte puis la vieillesse et la mort. On remarque également le rythme régulier qui imite le tic-tac de l'horloge : « se planterons bientôt/comme dans une cible » (v. 3-4), cela apporte un effet structuré au texte. Puis, Baudelaire utilise aussi une antithèse pour imager le temps qui passe « le jour décroit la nuit augmente » Ce qui veut dire que le temp qui nous reste à vivre diminue et (répéter la conjonction de subordination) la mort approche. Le temps est hostile: v2 « menace », v12 « pompé », v17 « avide », v20 « a toujours soif ». Ces vers montrent la toute (trait d'union)puissance et l'hostilitée du temps face aux Hommes, pour les impressionnés.
De même, la fuite du temps souligne l'angoisse de la mort chez les etres (accent) humains qui sont soumi à celle-ci (à remplacer par un pronom personnel entre "qui" et "sont"). « tout te dira.. », construction en chiasme v.4 et 21, « Le plaisir vaporeux fuira vers l'horizon », « dont le doigt nous menace » son des personifications qui représentent bien l'angoisse, la peur que « nous » pouvons ressentir face au temps qui avance inexorablement vite (supprimer). La vie est réduite à une « saison » v.8 pour Baudelaire et Le (pas de majuscule) mot « gouffre » au v.20 est un mot fort pour désigner la mort, (autre ponctuation) il aspire la vie. L'image concrètes des gangues et la formulation « ne pas lâcher » donnent l’impression que si on ne se cramponne pas à chaque instant de la vie, à chaque moment, on sera happé dans le gouffre, c'est un sentiment effrayant que de se sentir coincé et contraint a cette fin. Aprés (vérifier l'accent), on a aussi des disjonctions qui renforcent l'effet de crainte, de peur face au temps(espace)« Les vibrantes Douleurs dans ton cœur plein d'effroi », « se planteront bientot (accent) ». En outre, c'est (accord avec douleurs) les douleurs qu'on ressent quand on a un sentiment de peur, souvent à cause d'une menace. C'est l'impact, la blessure provoquée par le temps chez l'homme qui ne peut lui échapper. L'horloge tyrannise l'homme en lui disant que les accès de souffrance, comme des flèches, vont bientôt se ficher dans son cœur, qui est comme une cible. «
Enfin, l'apostrophe directe de l'homme renvoie au discours direct de l'horloge qui est destiné à l'homme. Celle-ci dit « Les minutes, mortel folâtre » au v15. L'oxymore « mortel folâtre » c'est la gravitée qui est opposée à la gaieté, les minutes sont mortel mais elles aiment jouer, plaisanter, (autre ponctuation précédée et suivie d'une espace)ici, Baudelaire s'adresse à l'Homme en général sous forme préventive . Aprés, « sont des gangues qu’il ne faut pas lâcher sans en extraire l’or ! » souligne l'aspect précieux, unique (virgule) du temps avec « l'or ».
Réponse: Commentaire littéraire de jij33, postée le 18-04-2016 à 00:41:06 (S | E)
La suite...
En effet, à travers un discour direct, l'horloge fait passer un message. Elle préviens (accord sujet/verbe) l'Homme de ce qui l'attend et qu'il doit profiter de la vie qui est éphémère par rapport au temps « Le Plaisir vaporeux fuira vers l’horizon », l'emploi du futur simple indique que le plaisir, la jeunesse n'est (le verbe a deux sujets) pas éternel. On retrouve encore l'aspect préventif de l'horloge vis à vis de l'Homme. Les Hommes sont sujets (impropre : employer le participe passé d'assujettir) au temps.
Bonne correction.
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