Expression écrite 2
Cours gratuits > Forum > Apprendre le français || En basMessage de killianb75 posté le 10-04-2016 à 16:52:45 (S | E | F)
Bonjour à tous, je poste sur le forum ma deuxième expression écrite ; j'espère quelle sera mieux que la première au niveau de l'orthographe mais surtout de la formulation de beaucoup de phrase. Pouvez-vous me la corriger s'il-vous-plais.
Réponse: Expression écrite 2 de killianb75, postée le 10-04-2016 à 17:40:28 (S | E)
Nous étions partis en expédition avec des copains pour étudier le comportement des renards. Nous avions suivi une renarde bigarade jusqu'à un bois immense et lugubre. Plus nous avancions dans cette sinistre forêt, plus nos estomacs nous torturaient. Nous écœurâmes enfin quelque fraise des bois et un peu d'eau récolté dans un ruisseau. La nuit devenait de plus en plus noire et nous commencions à nous inquiéter. Après une longue partie de poker avec des cailloux et d'autres moyens du bord, nous nous couchâmes dans une cabane que nous avions soigneusement construite.
Il était impossible pour moi de mendormir, le sifflement des arbres et ke ronflement de mes camarades formaient une mélodie sinistre.
Au coeur de la nuit, nous fûmes réveillés par un bruit assourdissant, sans hésiter, Mattheo empoigna son canif et pointa sa petite lame de fer ( j'ai fais exprès de mettre la définition de canif dans la phrase ) en direction du vacarme. Ce bruit infernal et aigre nous fîmes penser à une locomotive qui déraille. Ce son n'était ni grinçant ni lancinant, il était plutôt funèbre et ténébreux.
Après quelque petite seconde, nous vîmes une ombre noire avec des griffes trois fois plus gros qu'un couteau. Nous nous retournâmes mais ne vîmes rien, juste un grand chêne avec des feuilles rouge sang. Nous avions tellement peur que nous partîmes le plus vite possible.
Je courais, courais à en perdre halaine. Mes pieds le fîmes atrocement mal, mes orteils étaient engourdis, à cause de ce froid glacial, un froid surnaturel, qui me pénétra par la bouche, les narines, qui s'immisçait en moi pour me rendre glacial à mon tour. J'entendais mes camarades hurler d'essoufflement et de peur...
Dernière nous, nous entendîmes un grognement terrifiant, tel q'une meute de loup en train de chasser des petits lapins. Je ne sentis tout à coup plus mes pieds, gelés, tandis que le froid remontait dans mes mollets. Une branche de houx venue percuter ma joue, la griffant de toutes ses épines tranchantes. Je sentis plusieurs gouttes de sang couler lentement sur mon visage, mais je ne m'en souciais guère ; il fallait s'échapper loin, très loin de cette chose inqualifiable !
Soudain, mon pied se bloqua, dans mon élan, je chutai. Je sentis mon corps s'enfoncer dans la boue molle, tandis que ma bouche goutait à la terre humide. Une douce odeur emplit mes narines, celle de la mousse, des fragrances de la forêt, mais aussi celle de la peur, qui me nouait le ventre. Heureusement que mes camarades étaient là, ils le soulèvement malgré la force qu'il avaient... nous reprîmes notre route dans cette fulgurante lancé pour éviter la mort en tant que gibier. Derrière nous, ce bois menaçant, noir, tordu se repliait sur nous.
Nous entendîmes de plus les pats lourds de cette bête affamée. Des larmes de peur tombèrent sur mes joues pour aller se perdre au milieu des feuilles mortes. Cette sensation d'être en pleine forêt poursuivi par un monstre et aucun moyen d'appeler la police me dit atrocement souffrir. Peu après, nous vîmes le fleuve dans lequel on s'était désaltérés et nous le traversâmes aussi vite qu'un requin qui a senti du sang.
Heureusement, le monstre est resté est resté de l'autre côté de la rive, invisible, caché sans doute derrière des arbres. Nous en avions déduit que le monstre n'aimait pas l'eau ou ne voulais pas nous manger mais juste nous chasser de son territoire. Malgré que je sois content d'avoir échappé à cette bête, je ressentis toutes les douleurs que j'avais subit pendant la poursuite, en m'arrêtant, je vis que j'avais une main en sang griffé de partout dégoulinante de rouge foncé comme les feuilles sur le chêne.
Réponse: Expression écrite 2 de killianb75, postée le 10-04-2016 à 17:44:07 (S | E)
Dites-moi ce que vous en pensez
Réponse: Expression écrite 2 de alienor64, postée le 11-04-2016 à 00:25:02 (S | E)
Bonsoir Killianb75
Nous étions partis en expédition avec des copains pour étudier le comportement des renards. Nous avions suivi une renarde bigarade jusqu'à un bois immense et lugubre. Plus nous avancions dans cette sinistre forêt, plus nos estomacs nous torturaient. Nous écœurâmes(ici, ce verbe n'a aucun sens) enfin quelque fraise( pluriel) des bois et un peu d'eau récolté(accord + s'il s'agit de l'eau, autre participe passé car on ne la récolte pas !) dans un ruisseau. La nuit devenait de plus en plus noire et nous commencions à nous inquiéter. Après une longue partie de poker avec des cailloux et d'autres moyens du bord, nous nous couchâmes dans une cabane que nous avions soigneusement construite.
Il était impossible pour moi de mendormir, le sifflement des arbres(mal exprimé : les arbres ne sifflent pas, mais le vent dans les arbres, oui) et ke ronflement de mes camarades formaient une mélodie sinistre.
Au coeur(orthographe : œ ) de la nuit, nous fûmes réveillés par un bruit assourdissant,(autre ponctuation) sans hésiter, Mattheo empoigna son canif et pointa sa petite lame de fer ( j'ai fais(participe passé) exprès de mettre la définition de canif dans la phrase ) en direction du vacarme. Ce bruit infernal et aigre nous fîmes( sujet : ' ce bruit') penser à une locomotive qui déraille. Ce son n'était ni grinçant ni lancinant, il était plutôt funèbre et ténébreux( autre adjectif ou alors, enlevez-le).
Après quelque petite seconde(pluriel), nous vîmes une ombre noire avec des griffes trois fois plus gros( que qualifie cet adjectif ?) qu'un couteau. Nous nous retournâmes mais ne vîmes rien, juste un grand chêne avec des feuilles rouge sang. Nous avions tellement peur que nous partîmes le plus vite possible.
Je courais, courais à en perdre halaine(orthographe). Mes pieds le(autre pronom personnel complément) fîmes( sujet : ' mes pieds') atrocement mal, mes orteils étaient engourdis,(enlever la virgule) à cause de ce froid glacial, un froid surnaturel, qui me pénétra par la bouche, les narines, qui s'immisçait en moi pour me rendre glacial à mon tour. J'entendais mes camarades hurler d'essoufflement et de peur...
Dernière nous, nous entendîmes un grognement terrifiant, tel q' ( enlever ) une meute de loup( dans une meute, il n'y en a pas qu'un) en train de chasser des petits lapins. Je ne sentis tout à coup plus mes pieds, gelés, tandis que le froid remontait dans mes mollets. Une branche de houx venue percuter ma joue, la griffant de toutes ses épines tranchantes( Cette phrase est incorrecte : il manque le verbe principal). Je sentis plusieurs gouttes de sang couler lentement sur mon visage, mais je ne m'en souciais guère ; il fallait s'échapper loin, très loin de cette chose inqualifiable !
Soudain, mon pied se bloqua,( pas de virgule mais conjonction de coordination) dans mon élan, je chutai. Je sentis mon corps s'enfoncer dans la boue molle, tandis que ma bouche goutait(accent circonflexe) à la terre humide. Une douce odeur emplit mes narines, celle de la mousse, des fragrances de la forêt, mais aussi celle de la peur,(pas de virgule) qui me nouait le ventre. Heureusement que mes camarades étaient là, ils le soulèvement( cela ne veut rien dire )malgré la force qu'il avaient... nous reprîmes notre route dans cette fulgurante lancé(orthographe + on ne comprend pas bien l'emploi de ' fulgurante') pour éviter la mort en tant que gibier. Derrière nous, ce bois menaçant, noir, tordu se repliait sur nous.
Nous entendîmes de plus( enlever) les pats(orthographe) lourds de cette bête affamée. Des larmes de peur tombèrent sur mes joues pour aller se perdre au milieu des feuilles mortes. Cette sensation d'être en pleine forêt poursuivi par un monstre et aucun moyen d'appeler la police me dit atrocement souffrir. Peu après, nous vîmes le fleuve dans lequel on s'était( continuez avec 'nous') désaltérés et nous le traversâmes aussi vite qu'un requin qui a senti du sang.
Réponse: Expression écrite 2 de alienor64, postée le 11-04-2016 à 00:37:42 (S | E)
La suite :
Heureusement, le monstre est resté(plus-que-parfait) est resté ( à enlever)de l'autre côté de la rive, invisible, caché sans doute derrière des arbres. Nous en avions déduit que le monstre n'aimait pas l'eau ou ne voulais( sujet : 'le monstre') pas nous manger mais juste nous chasser de son territoire. Malgré que je sois content d'avoir échappé à cette bête, je ressentis toutes les douleurs que j'avais subit(accord) pendant la poursuite,(autre ponctuation) en m'arrêtant, je vis que j'avais une main en sang griffé(accord) de partout( virgule) dégoulinante de rouge foncé comme les feuilles sur le( article masculin contracté ) chêne.
Bonne correction !
Réponse: Expression écrite 2 de killianb75, postée le 11-04-2016 à 08:18:54 (S | E)
Ouf, énormément d'erreur j'aurais dû me relire...
Réponse: Expression écrite 2 de jij33, postée le 11-04-2016 à 10:16:18 (S | E)
Bonjour killianb75
Et maintenant... vous devez corriger. Il n'y a pas de raison pour qu'alienor64 soit la seule à travailler sur ce sujet .
Bonnes vacances de printemps
Réponse: Expression écrite 2 de killianb75, postée le 11-04-2016 à 16:19:14 (S | E)
Bonjour,
Bien évidemment que je vais la corrigé, seulement, les devoirs passe après le plaisir 😜😜 bonne semaine
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