Récit au passé simple
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Message de rayansdh posté le 05-10-2015 à 19:51:17 (S | E | F)
Bonjour !
Voici un récit au passé simple, s'il vous plaît veuillez m'aider à le corriger car je suis pas très fort en conjugaison. Merci pour votre aide. Je dois écrire une suite au passé simple.
Puis je ressortis et m'arrêtai devant la porte de la gare, l'esprit travaillé par le désir d'inventer quelque chose à faire.
Je réfléchis pendant quelques minutes et je vis, juste en face de moi, un jeune couple se disputait,je m'avançais car je ne vais pas vous mentir, je suis plutôt curieux. J'écoutais alors leur dispute, j'avais compris que la fille était énervée contre l'homme car cet homme ne faisait pas assez d'effort pour elle.
Mais, je voyais dans les yeux de cet homme de l'amour, donc, je voulus l'aider.
Je partis en vitesse chez un fleuriste, j'achetai des roses rouges pétante et puis là, je les cachai dans ma veste. Je décidai de toucher l'épaule de l'homme, il me regarda d'un air curieux et je voyais dans ses yeux qu'il ne me faisait pas très confiance, je le regardais d'un air insistant et je lui fit un signe de la main pour lui montrer que je voulais qu'il vienne me voir.
Il déçida après quelque minute de se lever, il avança vers moi et je lui dis :
« Tiens, ces roses.., ne me rembourse pas, je veux juste aider les gens a vivre leur bohneur. »
Je lui donna et il me prit le bouquet en me remerciant, je le vis lui donner le bouquet de rose à sa compagne,et elle l'embrassa, je souris d'un air très joyeux, oui, j'avais trouvé quelque chose à faire, rendre tous les gens de ce monde heureux.
Je continuai donc mon aventure à la conquête du bohneur.
Je vis un homme qui faisait la manche et je lui achetai un sandwich et lui donna de l'eau et 100 francs, il me remercia, je lui ai juste dit que, voir les gens heureux, c'est déjà une preuve de remerciement pour moi.
Je ne sus plus quoi d'autre faire, il n'y eut personne dans cette gare.
Après plusieurs minutes ou je réfléchis,l'express de Paris arriva et je rentrai dedans avec plusieurs idées dans ma tête..
Ensuite,je pensai à plusieurs choses mais aussi, que je ne pus rendre tous les gens heureux vu tous les malheurs qui se passèrent dans ce monde, mais je sus que je pouvai toujours voir des gens souriants en les aidant. Grâce à cette expérience, je déçidai de créer une association pour aider plusieurs personnes même si je sus que, dans ce monde, je ne pouvai pas aider tous le monde, je fût mon possible pour aider le + de personnes dans ce monde.
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Modifié par bridg le 05-10-2015 19:55
Formules de politesse indispensables sur ce site.
Message de rayansdh posté le 05-10-2015 à 19:51:17 (S | E | F)
Bonjour !
Voici un récit au passé simple, s'il vous plaît veuillez m'aider à le corriger car je suis pas très fort en conjugaison. Merci pour votre aide. Je dois écrire une suite au passé simple.
Puis je ressortis et m'arrêtai devant la porte de la gare, l'esprit travaillé par le désir d'inventer quelque chose à faire.
Je réfléchis pendant quelques minutes et je vis, juste en face de moi, un jeune couple se disputait,je m'avançais car je ne vais pas vous mentir, je suis plutôt curieux. J'écoutais alors leur dispute, j'avais compris que la fille était énervée contre l'homme car cet homme ne faisait pas assez d'effort pour elle.
Mais, je voyais dans les yeux de cet homme de l'amour, donc, je voulus l'aider.
Je partis en vitesse chez un fleuriste, j'achetai des roses rouges pétante et puis là, je les cachai dans ma veste. Je décidai de toucher l'épaule de l'homme, il me regarda d'un air curieux et je voyais dans ses yeux qu'il ne me faisait pas très confiance, je le regardais d'un air insistant et je lui fit un signe de la main pour lui montrer que je voulais qu'il vienne me voir.
Il déçida après quelque minute de se lever, il avança vers moi et je lui dis :
« Tiens, ces roses.., ne me rembourse pas, je veux juste aider les gens a vivre leur bohneur. »
Je lui donna et il me prit le bouquet en me remerciant, je le vis lui donner le bouquet de rose à sa compagne,et elle l'embrassa, je souris d'un air très joyeux, oui, j'avais trouvé quelque chose à faire, rendre tous les gens de ce monde heureux.
Je continuai donc mon aventure à la conquête du bohneur.
Je vis un homme qui faisait la manche et je lui achetai un sandwich et lui donna de l'eau et 100 francs, il me remercia, je lui ai juste dit que, voir les gens heureux, c'est déjà une preuve de remerciement pour moi.
Je ne sus plus quoi d'autre faire, il n'y eut personne dans cette gare.
Après plusieurs minutes ou je réfléchis,l'express de Paris arriva et je rentrai dedans avec plusieurs idées dans ma tête..
Ensuite,je pensai à plusieurs choses mais aussi, que je ne pus rendre tous les gens heureux vu tous les malheurs qui se passèrent dans ce monde, mais je sus que je pouvai toujours voir des gens souriants en les aidant. Grâce à cette expérience, je déçidai de créer une association pour aider plusieurs personnes même si je sus que, dans ce monde, je ne pouvai pas aider tous le monde, je fût mon possible pour aider le + de personnes dans ce monde.
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Modifié par bridg le 05-10-2015 19:55
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Réponse: Récit au passé simple de alienor64, postée le 05-10-2015 à 21:40:03 (S | E)
Bonsoir Rayandh
Puis je ressortis et m'arrêtai devant la porte de la gare, l'esprit travaillé par le désir d'inventer quelque chose à faire.
Je réfléchis pendant quelques minutes et je vis, juste en face de moi, un jeune couple
(ici, pronom relatif sujet)se disputait,(autre ponctuation)je m'avançais( ce n'est pas le passé simple) car je ne vais pas vous mentir, je suis plutôt curieux. J'écoutais(idem) alors leur dispute,( enlevez la virgule et mettez conjonction de coordination) j'avais compris(passé simple et non plus-que-parfait) que la fille était énervée contre l'homme car cet homme ne faisait pas assez d'effort(pluriel) pour elle.Mais, je voyais
( ce n'est pas le passé simple) dans les yeux de cet homme de l'amour, donc, je voulus l'aider.Je partis en vitesse chez un fleuriste, j'achetai des roses rouges pétante
(accord, mais autre mot) et puis là( à enlever ainsi que la virgule suivante), je les cachai dans ma veste. Je décidai de toucher l'épaule de l'homme,(autre ponctuation) il me regarda d'un air curieux et je voyais(passé simple) dans ses yeux qu'il ne me faisait pas très(enlever) confiance,(autre ponctuation) je le regardais(passé simple) d'un air insistant et je lui fit( sujet : 'je' ) un signe de la main pour lui montrer que je voulais qu'il vienne me voir.Il déçida
( pas de ç ) après quelque minute(pluriel) de se lever, il(à enlever) avança vers moi et je lui dis :« Tiens, ces roses.., ne me rembourse pas, je veux juste aider les gens a
(accent) vivre leur bohneur(orthographe). »Je
(ici, pronom personnel COD mis pour 'les roses')lui donna(erreur : sujet 'je') et il me prit le bouquet en me remerciant,(autre ponctuation) je le vis lui(enlever) donner le bouquet de rose( il n'y en a pas qu'une, dans un bouquet !) à sa compagne,et elle ( à remplacer par pronom relatif sujet) l'embrassa,(autre ponctuation) je souris d'un air très joyeux,(autre ponctuation) oui,( pas de virgule mais point d'exclamation) j'avais trouvé quelque chose à faire, rendre tous les gens de ce monde heureux.Je continuai donc mon aventure à la conquête du bohneur
(orthographe).Je vis un homme qui faisait la manche et
(à remplacer par un point-virgule) je lui achetai un sandwich et lui donna( sujet 'je') de l'eau et 100 francs,(autre ponctuation) il me remercia, je lui ai juste dit( au passé simple) que, voir les gens heureux, c'est déjà une preuve de remerciement pour moi.Je ne sus plus quoi
(autre pronom) d'autre(après l'infinitif) faire,(virgule à enlever et mettre conjonction introduisant une explication, synonyme de 'parce que') il n'y eut(autre temps : imparfait ) personne dans cette gare.Après plusieurs minutes ou(accent mais autre expression : préposition indiquant une durée + pronom relatif composé mis pour 'minutes') je réfléchis,
(espace après une virgule)l'express de Paris arriva et je rentrai dedans( à mieux exprimer) avec plusieurs idées dans ma( à remplacer par une préposition) tête..Ensuite,
(espace après une virgule)je pensai à plusieurs choses mais aussi,(enlevez la virgule et mettez 'au fait') que je ne pus(ici, imparfait ; le passé simple ne convient pas) rendre tous les gens heureux (virgule)vu tous les malheurs qui se passèrent(autre temps : imparfait) dans ce monde, mais je sus que je pouvai(orthographe) toujours voir des gens souriants en les aidant. Grâce à cette expérience, je déçidai(pas de ç) de créer une association pour aider plusieurs personnes (virgule)même si je sus(autre temps) que, dans ce monde, je ne pouvai(orthographe) pas aider tous(singulier) le monde(répétition à éviter : autre mot),(autre ponctuation) je fût(passé simple de ' faire 'et non de 'être') tout mon possible pour aider le +( à écrire en toutes lettres) de personnes dans ce monde ( à enlever).Bonne soirée !
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