Correction résumé et essai argumentatif
Cours gratuits > Forum > Apprendre le français || En basMessage de emanuele1992 posté le 11-09-2015 à 16:42:32 (S | E | F)
Bonjour, est-ce que vous pouvez m'aider avec la correction de mon examen de fraçais? Il concerne en une Résumé et un essai argumentatif sur le même sujet. Merci beaucoup!!!
Article: L'humain, un "insoutenable" superprédateur - LE MONDE.fr
Résumé:
Selon une étude publiée vendredi 21 août, sur la revue "Science", l'humain est un prédateur avec la capacité de déséquilibrer les écosystèmes et les chaînes alimentaires. L'objet du travail de Chris Darimont et de son equipe, de l'Université Victoria, est l'analyse de l'impact de l'homme sur la faune sauvage par rapport aux prédateurs non-humains. Les résultats ont été impressionants ; L'exploitation de la pêche, de grands carnivores et d'herbivores est beaucoup supérieur au niveau soutenable, en effet, la présance de l'industrie de la pêche est trois fois plus intensive dans l'Océan Atlantique. L'étude veut aussi comparer la place occupé par chaque organisme dans la chaîne alimentaire. Par exemple, les humains chassent plus de grands carnivores que d'herbivores. Depuis cette analyse, il est évident qu'une prélevation trop intensive de proie ne permet pas aux espèces de se renouveler.
Selon Heather Bryan, coauteur de l'étude, l'aspect le plus important qui différencie l'humain des autres prédateurs, est sa préference à touer plus de sauvage adulte que de la proie jeune et faible qui ne se peuve pas se reproduire. En somme, selon les scientifiques il faut reduire la prédation étant donné les nivaux encore trop élevés.
Essai argumentatif:
Avant tout chose, l'homme ne considère pas les effets de ses actions, donc seulement après la mis en relief du problème, il commence à chercher les solutions. L'homme expose les espèces à beaucoup de dangers ; Par exemple, l'extinsion de masse à cause de l'exploitation trop intensive des animaux qui ne peuvent pas se reproduire. Il est donc évident qu'il y aurait des effets au niveau de la chaîne alimentaire, étant donné que l'insuffissance de proie, determine la mort des espèces. Du point de vue de la planête, le risque majeur est le changement des écosystèmes et du climat ; Par conséquente les organismes sont obligés à une adaptation leur permettant de durer et de se reproduire. D'ailleurs, la reproduction des animaux est fondamental et il doit être assuré pour le futur. â mon avis, la reduction de la chasse est devenue primordial, mais le résultat est loin d'être réalisé.
Réponse: Correction résumé et essai argumentatif de jij33, postée le 12-09-2015 à 07:05:08 (S | E)
Bonjour
Dans un premier temps, voici des suggestions pour la première partie.
Article: L'humain, un "insoutenable" superprédateur - LE MONDE.fr
Résumé:
Selon une étude publiée vendredi 21 août, sur (autre préposition) la revue "Science", l'humain est un prédateur avec la capacité de déséquilibrer les écosystèmes et les chaînes alimentaires. L'objet du travail de Chris Darimont et de son equipe (il manque un accent), de l'Université Victoria, est l'analyse de l'impact de l'homme sur la faune sauvage par rapport aux prédateurs non-humains. Les résultats ont été impressionants ; L (pas de majuscule après un point-virgule)'exploitation de la pêche, de ( contraction de de + le, idem devant herbivores) grands carnivores et d'herbivores est beaucoup (autre adverbe : celui que l'on utilise pour former le superlatif absolu) supérieur (Chercher avec quel nom s'accorde cet adjectif) au niveau soutenable, (point) en effet, la présance (orthographe) de l'industrie de la pêche est trois fois plus intensive dans l'Océan Atlantique (logiquement, on s'attend à voir apparaître ici un complément du comparatif plus intensive). L'étude veut aussi comparer la place occupé (accord) par chaque organisme dans la chaîne alimentaire. Par exemple, les humains chassent plus de grands carnivores que d'herbivores. Depuis (autre préposition, précédée de d') cette analyse, il est évident qu'une prélevation (accent ) trop intensive de proie (on en prélève beaucoup, n'est-ce pas ?...) ne permet pas aux espèces de se renouveler.
Selon Heather Bryan, coauteur de l'étude, l'aspect le plus important qui différencie l'humain des autres prédateurs, est sa préference (il manque un accent) à touer (orthographe) plus de sauvage adulte (mettre au pluriel en inversant l'ordre des mots) que de la proie jeune et faible qui ne se (supprimer) peuve (mettre le groupe souligné au pluriel) pas se reproduire. En somme, selon les scientifiques (virgule) il faut reduire (Accent) la prédation étant donné les nivaux (orthographe) encore trop élevés.
Bonne correction.
Réponse: Correction résumé et essai argumentatif de emanuele1992, postée le 12-09-2015 à 09:31:23 (S | E)
Bonjour, merci pour la correction.
Article: L'humain, un "insoutenable" superprédateur - LE MONDE.fr
Résumé:
Selon une étude publiée vendredi 21 août, dans la revue "Science", l'humain est un prédateur avec la capacité de déséquilibrer les écosystèmes et les chaînes alimentaires. L'objet du travail de Chris Darimont et de son équipe, de l'Université Victoria, est l'analyse de l'impact de l'homme sur la faune sauvage par rapport aux prédateurs non-humains. Les résultats ont été impressionants ; l'exploitation de la pêche, des grands carnivores et des herbivores est plus supérieure au niveau soutenable. En effet, la présence de l'industrie de la pêche est trois fois plus intensive dans l'Océan Atlantique que dans l'Océan Pacifique. L'étude veut aussi comparer la place occupée par chaque organisme dans la chaîne alimentaire. Par exemple, les humains chassent plus de grands carnivores que d'herbivores. Après cette analyse, il est évident qu'une prelevation trop intensive de proie ne permet pas aux espèces de se renouveler.
Selon Heather Bryan, coauteur de l'étude, l'aspect le plus important qui différencie l'humain des autres prédateurs, est sa préférence à touer plus d'adultes sauvages que des proies jeunes et faibles qui ne se peuvent pas se reproduire. En somme, selon les scientifiques, il faut réduire la prédation étant donné les niveaux encore trop élevés.
Réponse: Correction résumé et essai argumentatif de jij33, postée le 13-09-2015 à 06:49:57 (S | E)
Bonjour emanuele1992
Selon une étude publiée vendredi 21 août, dans la revue "Science", l'humain est un prédateur avec (correct, mais il serait plus élégant de remplacer la préposition par le pronom relatif sujet, suivi du verbe avoir) la capacité de déséquilibrer les écosystèmes et les chaînes alimentaires. L'objet du travail de Chris Darimont et de son équipe, de l'Université Victoria, est l'analyse de l'impact de l'homme sur la faune sauvage par rapport aux prédateurs non-humains. Les résultats ont été impressionants (orthographe) ; l'exploitation de la pêche, des grands carnivores et des herbivores est plus (autre adverbe : plus ou plus exactement le plus sert à former le superlatif relatif. Ici il faut un superlatif absolu) supérieure au niveau soutenable. En effet, la présence de l'industrie de la pêche est trois fois plus intensive dans l'Océan Atlantique que dans l'Océan Pacifique. L'étude veut aussi comparer la place occupée par chaque organisme dans la chaîne alimentaire. Par exemple, les humains chassent plus de grands carnivores que d'herbivores. Après (mieux : D'après) cette analyse, il est évident qu'une prelevation (il manque maintenant deux accents ) trop intensive de proie (on en prélève beaucoup : pluriel) ne permet pas aux espèces de se renouveler.
Selon Heather Bryan, coauteur de l'étude, l'aspect le plus important qui différencie l'humain des autres prédateurs, est sa préférence à touer (orthographe : une lettre de trop) plus d'adultes sauvages que des (préposition seule, et non contraction de de + les) proies jeunes et faibles qui ne se (supprimer, car ce n'est pas un verbe pronominal) peuvent pas se reproduire. En somme, selon les scientifiques, il faut réduire la prédation étant donné les niveaux encore trop élevés.
À plus tard.
Réponse: Correction résumé et essai argumentatif de jij33, postée le 13-09-2015 à 07:11:57 (S | E)
La suite :
Avant tout (c'est un adjectif indéfini : accord avec le nom suivant) chose, l'homme ne considère pas les effets de ses actions, donc seulement après la mis (orthographe) en relief du problème, (déplacer le groupe souligné après "solutions") il commence à chercher les solutions. L'homme (répétition évitable grâce à l'emploi du pronom personnel sujet) expose les espèces à beaucoup de dangers ; (plutôt les deux-points puisque vous donnez ensuite une explication et pas de majuscule au mot qui suit) Par exemple, l'extinsion (orthographe) de masse à cause de l'exploitation trop intensive des animaux qui ne peuvent pas se reproduire. Il est donc évident qu'il y aurait des effets au niveau de la chaîne alimentaire, étant donné que l'insuffissance (orthographe) de proie (pluriel et supprimer la virgule), determine (il manque un accent) la mort des espèces. Du point de vue de la planête (autre accent), le risque majeur est le changement des écosystèmes et du climat ; Par (jamais de majuscule après les deux-points ou le point-virgule, sauf si le mot qui suit est un nom propre) conséquente (orthographe ) les organismes sont obligés à une adaptation leur permettant de durer et de se reproduire. D'ailleurs, la reproduction des animaux est fondamental (accorder cet adjectif attribut du sujet avec le sujet) et il (reprend la reproduction !) doit être assuré pour le futur. (majuscule après un point et changer l'accent sur le a) â mon avis, la reduction (accent) de la chasse est devenue primordial (accord), mais le résultat est loin d'être réalisé.
Bonne correction et bon dimanche.
Réponse: Correction résumé et essai argumentatif de emanuele1992, postée le 13-09-2015 à 08:36:00 (S | E)
Bonjour! et merci pour la correction!!
Résumé:
Selon une étude publiée vendredi 21 août, dans la revue "Science", l'humain est un prédateur qui a la capacité de déséquilibrer les écosystèmes et les chaînes alimentaires. L'objet du travail de Chris Darimont et de son équipe, de l'Université Victoria, est l'analyse de l'impact de l'homme sur la faune sauvage par rapport aux prédateurs non-humains. Les résultats ont été impressionantes ; l'exploitation de la pêche, des grands carnivores et des herbivores est le plus supérieure au niveau soutenable. En effet, la présence de l'industrie de la pêche est trois fois plus intensive dans l'Océan Atlantique que dans l'Océan Pacifique. L'étude veut aussi comparer la place occupée par chaque organisme dans la chaîne alimentaire. Par exemple, les humains chassent plus de grands carnivores que d'herbivores. D'après cette analyse, il est évident qu'une prélévation trop intensive de proies ne permet pas aux espèces de se renouveler.
Selon Heather Bryan, coauteur de l'étude, l'aspect le plus important qui différencie l'humain des autres prédateurs, est sa préférence à tuer plus d'adultes sauvages que du proies jeunes et faibles qui ne peuvent pas se reproduire. En somme, selon les scientifiques, il faut réduire la prédation étant donné les niveaux encore trop élevés.
Réponse: Correction résumé et essai argumentatif de emanuele1992, postée le 13-09-2015 à 08:44:12 (S | E)
Bonjour, voilà la deuxième partie!
Avant toute chose, l'homme ne considère pas les effets de ses actions, donc il commence à chercher les solutions seulement après la mise en relief du problème. Il expose les espèces à beaucoup de dangers : par exemple, l'extinction de masse à cause de l'exploitation trop intensive des animaux qui ne peuvent pas se reproduire. Il est donc évident qu'il y aurait des effets au niveau de la chaîne alimentaire, étant donné que l'insuffisance de proies détermine la mort des espèces. Du point de vue de la planète, le risque majeur est le changement des écosystèmes et du climat ; par conséquent les organismes sont obligés à une adaptation leur permettant de durer et de se reproduire. D'ailleurs, la reproduction des animaux est fondamentale et elle doit être assuré pour le futur. A (je ne peut pas mettre la majuscule) mon avis, la réduction de la chasse est devenue primordiale, mais le résultat est loin d'être réalisé.
Réponse: Correction résumé et essai argumentatif de jij33, postée le 13-09-2015 à 20:48:35 (S | E)
Bonsoir
Selon une étude publiée vendredi 21 août, dans la revue "Science", l'humain est un prédateur qui a la capacité de déséquilibrer les écosystèmes et les chaînes alimentaires. L'objet du travail de Chris Darimont et de son équipe, de l'Université Victoria, est l'analyse de l'impact de l'homme sur la faune sauvage par rapport aux prédateurs non-humains. Les résultats ont été impressionantes (résultats est masculin pluriel, donc l'adjectif aussi ! Mais vous persistez dans l'erreur d'orthographe : utilisez un dictionnaire) ; l'exploitation de la pêche, des grands carnivores et des herbivores est le plus (ici aussi, vous persistez dans l'erreur : l'adverbe demandé est très) supérieure au niveau soutenable. En effet, la présence de l'industrie de la pêche est trois fois plus intensive dans l'Océan Atlantique que dans l'Océan Pacifique. L'étude veut aussi comparer la place occupée par chaque organisme dans la chaîne alimentaire. Par exemple, les humains chassent plus de grands carnivores que d'herbivores. D'après cette analyse, il est évident qu'une prélévation trop intensive de proies ne permet pas aux espèces de se renouveler.
Selon Heather Bryan, coauteur de l'étude, l'aspect le plus important qui différencie l'humain des autres prédateurs, est sa préférence à tuer plus d'adultes sauvages que du (préposition. Du n'est pas une préposition) proies jeunes et faibles qui ne peuvent pas se reproduire. En somme, selon les scientifiques, il faut réduire la prédation étant donné les niveaux encore trop élevés.
Avant toute chose, l'homme ne considère pas les effets de ses actions, donc il commence à chercher les solutions seulement après la mise en relief du problème. Il expose les espèces à beaucoup de dangers : par exemple, l'extinction de masse à cause de l'exploitation trop intensive des animaux qui ne peuvent pas se reproduire. Il est donc évident qu'il y aurait des effets au niveau de la chaîne alimentaire, étant donné que l'insuffisance de proies détermine la mort des espèces. Du point de vue de la planète, le risque majeur est le changement des écosystèmes et du climat ; par conséquent les organismes sont obligés à une adaptation leur permettant de durer et de se reproduire. D'ailleurs, la reproduction des animaux est fondamentale et elle doit être assuré (accord avec la reproduction) pour le futur. A (je ne peux pas mettre la majuscule) (vous l'avez mise...) mon avis, la réduction de la chasse est devenue primordiale, mais le résultat est loin d'être réalisé.
Réponse: Correction résumé et essai argumentatif de emanuele1992, postée le 18-09-2015 à 16:58:36 (S | E)
Merci beaucoup pour la correction!!
Selon une étude publiée vendredi 21 août, dans la revue "Science", l'humain est un prédateur qui a la capacité de déséquilibrer les écosystèmes et les chaînes alimentaires. L'objet du travail de Chris Darimont et de son équipe, de l'Université Victoria, est l'analyse de l'impact de l'homme sur la faune sauvage par rapport aux prédateurs non-humains. Les résultats ont été impresionants ; l'exploitation de la pêche, des grands carnivores et des herbivores est très supérieure au niveau soutenable. En effet, la présence de l'industrie de la pêche est trois fois plus intensive dans l'Océan Atlantique que dans l'Océan Pacifique. L'étude veut aussi comparer la place occupée par chaque organisme dans la chaîne alimentaire. Par exemple, les humains chassent plus de grands carnivores que d'herbivores. D'après cette analyse, il est évident qu'une prélévation trop intensive de proies ne permet pas aux espèces de se renouveler.
Selon Heather Bryan, coauteur de l'étude, l'aspect le plus important qui différencie l'humain des autres prédateurs, est sa préférence à tuer plus d'adultes sauvages que de proies jeunes et faibles qui ne peuvent pas se reproduire. En somme, selon les scientifiques, il faut réduire la prédation étant donné les niveaux encore trop élevés.
Avant toute chose, l'homme ne considère pas les effets de ses actions, donc il commence à chercher les solutions seulement après la mise en relief du problème. Il expose les espèces à beaucoup de dangers : par exemple, l'extinction de masse à cause de l'exploitation trop intensive des animaux qui ne peuvent pas se reproduire. Il est donc évident qu'il y aurait des effets au niveau de la chaîne alimentaire, étant donné que l'insuffisance de proies détermine la mort des espèces. Du point de vue de la planète, le risque majeur est le changement des écosystèmes et du climat ; par conséquent les organismes sont obligés à une adaptation leur permettant de durer et de se reproduire. D'ailleurs, la reproduction des animaux est fondamentale et elle doit être assurée pour le futur. A mon avis, la réduction de la chasse est devenue primordiale, mais le résultat est loin d'être réalisé.
Réponse: Correction résumé et essai argumentatif de jij33, postée le 27-09-2015 à 07:55:59 (S | E)
Bonjour
"Les résultats ont été impresionants" : vous avez corrigé l'accord, mais l'orthographe est restée incorrecte. Vérifiez dans un dictionnaire.
Bon dimanche.
Réponse: Correction résumé et essai argumentatif de emanuele1992, postée le 03-10-2015 à 11:32:13 (S | E)
Merci beaucoup pour la correction!!
Selon une étude publiée vendredi 21 août, dans la revue "Science", l'humain est un prédateur qui a la capacité de déséquilibrer les écosystèmes et les chaînes alimentaires. L'objet du travail de Chris Darimont et de son équipe, de l'Université Victoria, est l'analyse de l'impact de l'homme sur la faune sauvage par rapport aux prédateurs non-humains. Les résultats ont été impressionnants ; l'exploitation de la pêche, des grands carnivores et des herbivores est très supérieure au niveau soutenable. En effet, la présence de l'industrie de la pêche est trois fois plus intensive dans l'Océan Atlantique que dans l'Océan Pacifique. L'étude veut aussi comparer la place occupée par chaque organisme dans la chaîne alimentaire. Par exemple, les humains chassent plus de grands carnivores que d'herbivores. D'après cette analyse, il est évident qu'une prélévation trop intensive de proies ne permet pas aux espèces de se renouveler.
Selon Heather Bryan, coauteur de l'étude, l'aspect le plus important qui différencie l'humain des autres prédateurs, est sa préférence à tuer plus d'adultes sauvages que de proies jeunes et faibles qui ne peuvent pas se reproduire. En somme, selon les scientifiques, il faut réduire la prédation étant donné les niveaux encore trop élevés.
Avant toute chose, l'homme ne considère pas les effets de ses actions, donc il commence à chercher les solutions seulement après la mise en relief du problème. Il expose les espèces à beaucoup de dangers : par exemple, l'extinction de masse à cause de l'exploitation trop intensive des animaux qui ne peuvent pas se reproduire. Il est donc évident qu'il y aurait des effets au niveau de la chaîne alimentaire, étant donné que l'insuffisance de proies détermine la mort des espèces. Du point de vue de la planète, le risque majeur est le changement des écosystèmes et du climat ; par conséquent les organismes sont obligés à une adaptation leur permettant de durer et de se reproduire. D'ailleurs, la reproduction des animaux est fondamentale et elle doit être assurée pour le futur. A mon avis, la réduction de la chasse est devenue primordiale, mais le résultat est loin d'être réalisé.
Réponse: Correction résumé et essai argumentatif de nokely, postée le 07-10-2015 à 16:49:40 (S | E)
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