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    Narration

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    [POSTER UNE NOUVELLE REPONSE] [Suivre ce sujet]


    Narration
    Message de benjelloun1989 posté le 28-04-2015 à 18:58:37 (S | E | F)
    Bonjour,

    S'il vous plaît, aidez moi pour avoir un texte juste et clair.
    Merci d'avance.

    Il était une fois un jeune homme de vingt cinq ans qui venait à peine de se marier avec une très belle femme dans la fleur de l’âge.
    Il était héritier d'une grosse fortune que son père lui laissa et cela contentait son épouse qui aimait tant vivre dans l'aisance.  
    Cette dernière, en profitant de cette richesse, dépensait pour sa toilette et ses loisirs beaucoup d'argent sans s'intéresser aux conséquences.  
    En tenant compte de cette dilapidation, le généreux conjoint l'exhortait quotidiennement à réduire les dépenses pour ne pas s'appauvrir.  
    Malheureusement, il l'aimait follement au point de ne pas pouvoir la priver de quelque chose. 
    À force de gaspiller inutilement de grosses sommes importantes, la situation financière de cet amoureux passionné se détériorait progressivement jusqu'à ce qu'il ne lui resta qu'une petite somme pour survivre. 
    Cela mécontenta la dame et comme elle ne pouvait plus tirer profit de son pactole, elle demanda le divorce sans hésitation ni murmure.  
    Le pauvre ruiné, en ne savant plus ou donner de la tête, accepta la rupture avec résignation.  
    Il était si triste et désespéré, alors que son ex-femme se moquait complètement de ce qu'il pourrait devenir et commença à chercher un nouvel époux.  
    Vu cet événement triste, il décida de recommencer une nouvelle vie en trouvant une épouse parcimonieuse.
    Un jour, ce pitoyable divorcé reçut une lettre d’une femme inconnue qui prétendait le suivre de loin.
    Ému, il ne comprit ni d’ou venait ce manuscrit ni qui l’avait écrit. Puis, il décida de lui répondre pour savoir à qui il s’adressa.
    Le lendemain, il obtint une réponse. Elle disait qu’elle voulait le voir et ce fut ainsi qu’il pourrait tout comprendre.
    En se retrouvant à l’endroit ou ils se fixèrent rendez-vous, il regarda venir vers lui une jeune femme d’une beauté éblouissante avec un sourire irrésistible.
    Elle se présenta à lui et le salua, puis l’invita à un endroit calme pour se parler.
    Alors qu’ils commencèrent à échanger la parole, il comprit qu’elle aimait depuis longtemps sans qu’il aperçût.
    Le temps passait et ces deux célibataires se connaissaient de plus en plus, jusqu’au jour où il la lui demande en mariage.
    Ils devint très heureux et oublia tout les malheurs qu’il vécut.
    Quant à son ex-marie, puisque tout le monde connaissait cette histoire, personne n’accepta de se marier avec elle et resta célibataire le reste de sa vie.


    Réponse: Narration de bernard02, postée le 28-04-2015 à 20:40:32 (S | E)
    Bonjour,
    je vais vous proposer, s'il vous plaît, de corriger les fautes que je vous ai notées ci-dessous dans un premier temps, puis de nous envoyer votre nouvelle version modifiée en conséquence, pour que nous puissions l'examiner à nouveau.

    Cordialement.

    - S'il vous plaît, aidez moi (trait d'union).

    Il était une fois un jeune homme de vingt cinq ans (trait d'union) qui venait à peine de se marier avec une très belle femme dans la fleur de l’âge.
    Il était héritier (mettre un article défini devant ce nom) d'une grosse fortune que son père lui laissa (j'aimerais mieux le plus-que-parfait ici) et cela contentait son épouse qui aimait tant vivre dans l'aisance.
    Cette dernière, en profitant de cette richesse, dépensait pour sa toilette et ses loisirs beaucoup d'argent ('beaucoup d'argent' serait mieux placé entre 'dépensait' et 'pour sa')sans s'intéresser aux conséquences.
    En tenant compte de cette dilapidation, le généreux conjoint l'exhortait quotidiennement à réduire les dépenses pour ne pas s'appauvrir.
    Malheureusement, il l'aimait follement au point de ne pas pouvoir la priver de quelque chose.
    À force de gaspiller inutilement de grosses sommes importantes ('importantes' ou 'grosses' à supprimer, c'est redondant), la situation financière de cet amoureux passionné se détériorait progressivement jusqu'à ce qu'il ne lui resta (imparfait du subjonctif) qu'une petite somme pour survivre.
    Cela mécontenta la dame et comme elle ne pouvait plus tirer profit de son pactole, elle demanda le divorce sans hésitation ni murmure.
    Le pauvre ruiné, en (supprimer 'en')ne savant (participe présent de verbe SAVOIR) plus ou (avec un accent ici) donner de la tête, accepta la rupture avec résignation.
    Il était si triste et désespéré, alors que son ex-femme se moquait complètement de ce qu'il pourrait devenir et (ajouter 'elle' pour que le lecteur n'hésite pas entre lui et elle en lisant rapidement cette phrase) commença à chercher un nouvel époux.
    Vu cet événement triste ('triste' devant le nom, donc 'cet' à remplacer), il décida de recommencer une nouvelle vie en trouvant une épouse parcimonieuse.
    Un jour, ce pitoyable divorcé reçut une lettre d’une femme inconnue qui prétendait le suivre de loin.
    Ému, il ne comprit ni d’ou (accent) venait ce manuscrit ni qui l’avait écrit. Puis, il décida de lui répondre pour savoir à qui il s’adressa (imparfait).
    Le lendemain, il obtint une réponse. Elle disait qu’elle voulait le voir et ce fut ainsi qu’il pourrait tout comprendre.
    En se retrouvant à l’endroit ou (accent) ils se fixèrent rendez-vous, il regarda venir vers lui une jeune femme d’une beauté éblouissante avec un sourire irrésistible.
    Elle se présenta à lui et le salua, puis l’invita à (dans, ou à venir dans) un endroit calme pour se parler.
    Alors qu’ils commencèrent à échanger la (quelques) parole (pluriel), il comprit qu’elle aimait (qu'elle aimait qui ? donc à ajouter) depuis longtemps sans qu’il aperçût (passé composé et forme pronominale du même verbe).
    Le temps passait et ces deux célibataires se connaissaient de plus en plus, jusqu’au jour où il la lui ('lui' à supprimer) demande en mariage (passé simple ou passé composé).
    Ils (3e personne du singulier ici, et non du pluriel, voir 'devint') devint très heureux et oublia tout (pluriel) les malheurs qu’il vécut (plus-que-parfait).
    Quant à son ex-marie (utiliser un autre nom que 'marie' qui n'existe pas), puisque tout le monde connaissait cette histoire, personne n’accepta de se marier avec elle ('de l'épouser' pour éviter une répétition) (mettre une conjonction de coordination et le pronom personnel adéquat) resta célibataire le reste de sa vie.



    Réponse: Narration de benjelloun1989, postée le 28-04-2015 à 21:32:51 (S | E)
    Bonsoir,

    Il était une fois un jeune homme de vingt-cinq ans qui venait à peine de se marier avec une très belle femme dans la fleur de l’âge.
    Il était l’héritier d'une grosse fortune que son père lui avait laissé et cela contentait son épouse qui aimait tant vivre dans l'aisance.  
    Cette dernière, en profitant de cette richesse, dépensait beaucoup d'argent pour sa toilette et ses loisirs sans s'intéresser aux conséquences.  
    En tenant compte de cette dilapidation, le généreux conjoint l'exhortait quotidiennement à réduire les dépenses pour ne pas s'appauvrir.  
    Malheureusement, il l'aimait follement au point de ne pas pouvoir la priver de quelque chose. 
    À force de gaspiller inutilement des sommes importantes, la situation financière de cet amoureux passionné se détériorait progressivement jusqu'à ce qu'il ne lui restât qu'une petite somme pour survivre. 
    Cela mécontenta la dame et comme elle ne pouvait plus tirer profit de son pactole, elle demanda le divorce sans hésitation ni murmure.  
    Le pauvre ruiné, ne savant plus où donner de la tête, accepta la rupture avec résignation.  
    Il était si triste et désespéré, alors que son ex-femme se moquait complètement de ce qu'il pourrait devenir et elle commença à chercher un nouvel époux.  
    Vu ce triste événement, il décida de recommencer une nouvelle vie en trouvant une épouse parcimonieuse.
    Un jour, ce pitoyable divorcé reçut une lettre d’une femme inconnue qui prétendait le suivre de loin.
    Ému, il ne comprit ni d’où venait ce manuscrit ni qui l’avait écrit. Puis, il décida de lui répondre pour savoir à qui il s’adressait.
    Le lendemain, il obtint une réponse. Elle disait qu’elle voulait le voir et ce fut ainsi qu’il pourrait tout comprendre.
    En se retrouvant à l’endroit où ils se fixèrent rendez-vous, il regarda venir vers lui une jeune femme d’une beauté éblouissante avec un sourire irrésistible.
    Elle se présenta à lui et le salua, puis l’invita à venir dans un endroit calme pour se parler.
    Alors qu’ils commencèrent à échanger quelques paroles, il comprit qu’elle l’aimait depuis longtemps sans qu’il s’est aperçu.
    Le temps passait et ces deux célibataires se connaissaient de plus en plus, jusqu’au jour où il la demanda en mariage.
    Il devint très heureux et oublia tout les malheurs qu’il avait vécu.
    Quant à son ex-épouse, puisque tout le monde connaissait cette histoire, personne n’accepta de l’épouser et elle resta célibataire le reste de sa vie.

    Merci beaucoup bernard02



    Réponse: Narration de bernard02, postée le 28-04-2015 à 22:20:10 (S | E)
    Bonsoir,

    il reste encore des fautes à corriger, je les ai repérées par

    Il était une fois un jeune homme de vingt-cinq ans qui venait à peine de se marier avec une très belle femme dans la fleur de l’âge.
    Il était l’héritier d'une grosse fortune que son père lui avait laissé (verbe 'laisser' avec l'auxiliaire 'avoir', regarder où est le COD, il a laissé quoi ?) et cela contentait son épouse qui aimait tant vivre dans l'aisance.
    Cette dernière, en profitant de cette richesse, dépensait beaucoup d'argent pour sa toilette et ses loisirs sans s'intéresser aux conséquences.
    En tenant compte de cette dilapidation, le généreux conjoint l'exhortait quotidiennement à réduire les dépenses pour ne pas s'appauvrir.
    Malheureusement, il l'aimait follement au point de ne pas pouvoir la priver de quelque chose.
    À force de gaspiller inutilement des sommes importantes, la situation financière de cet amoureux passionné se détériorait progressivement jusqu'à ce qu'il ne lui restât qu'une petite somme pour survivre.
    Cela mécontenta la dame et comme elle ne pouvait plus tirer profit de son pactole, elle demanda le divorce sans hésitation ni murmure.
    Le pauvre ruiné, ne savant (non, ce n'est pas le participe présent du verbe 'savoir')plus où donner de la tête, accepta la rupture avec résignation.
    Il était si triste et désespéré, alors que son ex-femme se moquait complètement de ce qu'il pourrait devenir et elle commença à chercher un nouvel époux.
    Vu ce triste événement, il décida de recommencer une nouvelle vie en trouvant une épouse parcimonieuse (on pourrait mettre 'plus économe' ou 'beaucoup plus économe', mais 'parcimonieuse' est acceptable).
    Un jour, ce pitoyable divorcé reçut une lettre d’une femme inconnue qui prétendait le suivre de loin.
    Ému, il ne comprit ni d’où venait ce manuscrit ni qui l’avait écrit. Puis, il décida de lui répondre pour savoir à qui il s’adressait.
    Le lendemain, il obtint une réponse. Elle disait qu’elle voulait le voir et ce fut ainsi qu’il pourrait tout comprendre.
    En se retrouvant à l’endroit où ils se fixèrent rendez-vous (ici, je verrais mieux le plus-que-parfait), il regarda venir vers lui une jeune femme d’une beauté éblouissante avec un sourire irrésistible.
    Elle se présenta à lui et le salua, puis l’invita à venir dans un endroit calme pour se parler.
    Alors qu’ils commencèrent à échanger quelques paroles, il comprit qu’elle l’aimait depuis longtemps sans qu’il s’est aperçu.(non : utiliser le subjonctif plus 'en')
    Le temps passait et ces deux célibataires se connaissaient de plus en plus, jusqu’au jour où il la demanda en mariage.
    Il devint très heureux et oublia tout les malheurs qu’il avait vécu (non : verbe avec l'auxiliaire 'avoir', regardez où est le COD).
    Quant à son ex-épouse, puisque tout le monde connaissait cette histoire, personne n’accepta de l’épouser et elle resta célibataire le reste de sa vie.

    Cordialement.



    Réponse: Narration de benjelloun1989, postée le 28-04-2015 à 23:03:49 (S | E)
    Rebonsoir,

    Il était une fois un jeune homme de vingt-cinq ans qui venait à peine de se marier avec une très belle femme dans la fleur de l’âge.
    Il était l’héritier d'une grosse fortune que son père lui avait laissée et cela contentait son épouse qui aimait tant vivre dans l'aisance.  
    Cette dernière, en profitant de cette richesse, dépensait beaucoup d'argent pour sa toilette et ses loisirs sans s'intéresser aux conséquences.  
    En tenant compte de cette dilapidation, le généreux conjoint l'exhortait quotidiennement à réduire les dépenses pour ne pas s'appauvrir.  
    Malheureusement, il l'aimait follement au point de ne pas pouvoir la priver de quelque chose. 
    À force de gaspiller inutilement des sommes importantes, la situation financière de cet amoureux passionné se détériorait progressivement jusqu'à ce qu'il ne lui restât qu'une petite somme pour survivre. 
    Cela mécontenta la dame et comme elle ne pouvait plus tirer profit de son pactole, elle demanda le divorce sans hésitation ni murmure.  
    Le pauvre ruiné, ne sachant plus où donner de la tête, accepta la rupture avec résignation.  
    Il était si triste et désespéré, alors que son ex-femme se moquait complètement de ce qu'il pourrait devenir et elle commença à chercher un nouvel époux.  
    Vu ce triste événement, il décida de recommencer une nouvelle vie en trouvant une épouse plus économe.
    Un jour, ce pitoyable divorcé reçut une lettre d’une femme inconnue qui prétendait le suivre de loin.
    Ému, il ne comprit ni d’où venait ce manuscrit ni qui l’avait écrit. Puis, il décida de lui répondre pour savoir à qui il s’adressait.
    Le lendemain, il obtint une réponse. Elle disait qu’elle voulait le voir et ce fut ainsi qu’il pourrait tout comprendre.
    En se retrouvant à l’endroit où ils s’étaient fixés rendez-vous, il regarda venir vers lui une jeune femme d’une beauté éblouissante avec un sourire irrésistible.
    Elle se présenta à lui et le salua, puis l’invita à venir dans un endroit calme pour se parler.
    Alors qu’ils commencèrent à échanger quelques paroles, il comprit qu’elle l’aimait depuis longtemps sans qu’il s’en aperçoive.
    Le temps passait et ces deux célibataires se connaissaient de plus en plus, jusqu’au jour où il la demanda en mariage.
    Il devint très heureux et oublia tout les malheurs qu’il avait vécus.
    Quant à son ex-épouse, puisque tout le monde connaissait cette histoire, personne n’accepta de l’épouser et elle resta célibataire le reste de sa vie.

    Merci beaucoup.



    Réponse: Narration de bernard02, postée le 28-04-2015 à 23:21:29 (S | E)
    Re,

    Il était une fois un jeune homme de vingt-cinq ans qui venait à peine de se marier avec une très belle femme dans la fleur de l’âge.
    Il était l’héritier d'une grosse fortune que son père lui avait laissée et cela contentait son épouse qui aimait tant vivre dans l'aisance.
    Cette dernière, en profitant de cette richesse, dépensait beaucoup d'argent pour sa toilette et ses loisirs sans s'intéresser aux conséquences.
    En tenant compte de cette dilapidation, le généreux conjoint l'exhortait quotidiennement à réduire les dépenses pour ne pas s'appauvrir.
    Malheureusement, il l'aimait follement au point de ne pas pouvoir la priver de quelque chose.
    À force de gaspiller inutilement des sommes importantes, la situation financière de cet amoureux passionné se détériorait progressivement jusqu'à ce qu'il ne lui restât qu'une petite somme pour survivre.
    Cela mécontenta la dame et comme elle ne pouvait plus tirer profit de son pactole, elle demanda le divorce sans hésitation ni murmure.
    Le pauvre ruiné, ne sachant plus où donner de la tête, accepta la rupture avec résignation.
    Il était si triste et désespéré, alors que son ex-femme se moquait complètement de ce qu'il pourrait devenir et elle commença à chercher un nouvel époux.
    Vu ce triste événement, il décida de recommencer une nouvelle vie en trouvant une épouse plus économe.
    Un jour, ce pitoyable divorcé reçut une lettre d’une femme inconnue qui prétendait le suivre de loin.
    Ému, il ne comprit ni d’où venait ce manuscrit ni qui l’avait écrit. Puis, il décida de lui répondre pour savoir à qui il s’adressait.
    Le lendemain, il obtint une réponse. Elle disait qu’elle voulait le voir et ce fut ainsi qu’il pourrait tout comprendre.
    En se retrouvant à l’endroit où ils s’étaient fixés rendez-vous, il regarda venir vers lui une jeune femme d’une beauté éblouissante avec un sourire irrésistible.
    Elle se présenta à lui et le salua, puis l’invita à venir dans un endroit calme pour se parler.
    Alors qu’ils commencèrent à échanger quelques paroles, il comprit qu’elle l’aimait depuis longtemps sans qu’il s’en aperçoive. (non, pas au présent du subjonctif ici, la cpncordance des temps impose le passé)
    Le temps passait et ces deux célibataires se connaissaient de plus en plus, jusqu’au jour où il la demanda en mariage.
    Il devint très heureux et oublia tout (pluriel)les malheurs qu’il avait vécus.
    Quant à son ex-épouse, puisque tout le monde connaissait cette histoire, personne n’accepta de l’épouser et elle resta célibataire le reste de sa vie.

    Cordialement.



    Réponse: Narration de benjelloun1989, postée le 29-04-2015 à 00:36:41 (S | E)
    Il était une fois un jeune homme de vingt-cinq ans qui venait à peine de se marier avec une très belle femme dans la fleur de l’âge.
    Il était l’héritier d'une grosse fortune que son père lui avait laissée et cela contentait son épouse qui aimait tant vivre dans l'aisance.  
    Cette dernière, en profitant de cette richesse, dépensait beaucoup d'argent pour sa toilette et ses loisirs sans s'intéresser aux conséquences.  
    En tenant compte de cette dilapidation, le généreux conjoint l'exhortait quotidiennement à réduire les dépenses pour ne pas s'appauvrir.  
    Malheureusement, il l'aimait follement au point de ne pas pouvoir la priver de quelque chose. 
    À force de gaspiller inutilement des sommes importantes, la situation financière de cet amoureux passionné se détériorait progressivement jusqu'à ce qu'il ne lui restât qu'une petite somme pour survivre. 
    Cela mécontenta la dame et comme elle ne pouvait plus tirer profit de son pactole, elle demanda le divorce sans hésitation ni murmure.  
    Le pauvre ruiné, ne sachant plus où donner de la tête, accepta la rupture avec résignation.  
    Il était si triste et désespéré, alors que son ex-femme se moquait complètement de ce qu'il pourrait devenir et elle commença à chercher un nouvel époux.  
    Vu ce triste événement, il décida de recommencer une nouvelle vie en trouvant une épouse plus économe.
    Un jour, ce pitoyable divorcé reçut une lettre d’une femme inconnue qui prétendait le suivre de loin.
    Ému, il ne comprit ni d’où venait ce manuscrit ni qui l’avait écrit. Puis, il décida de lui répondre pour savoir à qui il s’adressait.
    Le lendemain, il obtint une réponse. Elle disait qu’elle voulait le voir et ce fut ainsi qu’il pourrait tout comprendre.
    En se retrouvant à l’endroit où ils s’étaient fixés rendez-vous, il regarda venir vers lui une jeune femme d’une beauté éblouissante avec un sourire irrésistible.
    Elle se présenta à lui et le salua, puis l’invita à venir dans un endroit calme pour se parler.
    Alors qu’ils commencèrent à échanger quelques paroles, il comprit qu’elle l’aimait depuis longtemps sans qu’il s’en soit aperçu.
    Le temps passait et ces deux célibataires se connaissaient de plus en plus, jusqu’au jour où il la demanda en mariage.
    Il devint très heureux et oublia tous les malheurs qu’il avait vécus.
    Quant à son ex-épouse, puisque tout le monde connaissait cette histoire, personne n’accepta de l’épouser et elle resta célibataire le reste de sa vie.

    Merci bien bernard02.



    Réponse: Narration de bernard02, postée le 29-04-2015 à 02:02:27 (S | E)
    Bonsoir ou bonjour,

    c'est parfait, je vous conseille surtout de ne plus essayer de modifier cette dernière version, le mieux étant souvent l'ennemi du bien...



    Il était une fois un jeune homme de vingt-cinq ans qui venait à peine de se marier avec une très belle femme dans la fleur de l’âge.
    Il était l’héritier d'une grosse fortune que son père lui avait laissée et cela contentait son épouse qui aimait tant vivre dans l'aisance.
    Cette dernière, en profitant de cette richesse, dépensait beaucoup d'argent pour sa toilette et ses loisirs sans s'intéresser aux conséquences.
    En tenant compte de cette dilapidation, le généreux conjoint l'exhortait quotidiennement à réduire les dépenses pour ne pas s'appauvrir.
    Malheureusement, il l'aimait follement au point de ne pas pouvoir la priver de quelque chose.
    À force de gaspiller inutilement des sommes importantes, la situation financière de cet amoureux passionné se détériorait progressivement jusqu'à ce qu'il ne lui restât qu'une petite somme pour survivre.
    Cela mécontenta la dame et comme elle ne pouvait plus tirer profit de son pactole, elle demanda le divorce sans hésitation ni murmure.
    Le pauvre ruiné, ne sachant plus où donner de la tête, accepta la rupture avec résignation.
    Il était si triste et désespéré, alors que son ex-femme se moquait complètement de ce qu'il pourrait devenir et elle commença à chercher un nouvel époux.
    Vu ce triste événement, il décida de recommencer une nouvelle vie en trouvant une épouse plus économe.
    Un jour, ce pitoyable divorcé reçut une lettre d’une femme inconnue qui prétendait le suivre de loin.
    Ému, il ne comprit ni d’où venait ce manuscrit ni qui l’avait écrit. Puis, il décida de lui répondre pour savoir à qui il s’adressait.
    Le lendemain, il obtint une réponse. Elle disait qu’elle voulait le voir et ce fut ainsi qu’il pourrait tout comprendre.
    En se retrouvant à l’endroit où ils s’étaient fixés rendez-vous, il regarda venir vers lui une jeune femme d’une beauté éblouissante avec un sourire irrésistible.
    Elle se présenta à lui et le salua, puis l’invita à venir dans un endroit calme pour se parler.
    Alors qu’ils commencèrent à échanger quelques paroles, il comprit qu’elle l’aimait depuis longtemps sans qu’il s’en soit aperçu.
    Le temps passait et ces deux célibataires se connaissaient de plus en plus, jusqu’au jour où il la demanda en mariage.
    Il devint très heureux et oublia tous les malheurs qu’il avait vécus.
    Quant à son ex-épouse, puisque tout le monde connaissait cette histoire, personne n’accepta de l’épouser et elle resta célibataire le reste de sa vie.



    Réponse: Narration de alienor64, postée le 29-04-2015 à 13:13:02 (S | E)
    Bonjour Benjelloun1989

    Il reste encore une erreur à corriger. Je vous la signale mais ne vous voyez pas obligé de recopier tout votre texte qui est, par ailleurs, très correct. Vous vous exprimez très bien !
    ---Alors qu’ils commencèrent(à l'imparfait ; le passé simple aurait été correct avec 'Dès que') à échanger quelques paroles, il comprit qu’elle l’aimait depuis longtemps sans qu’il s’en soit aperçu.

    Bonne journée !



    Réponse: Narration de bernard02, postée le 29-04-2015 à 22:20:46 (S | E)
    Bonsoir Benjelloun1989,

    pour corroborer la remarque d'aliednor64, je vous conseille aussi de travailler en privilégiant les copier-coller dans lesquels vous vous contentez de corriger seulement les dernières fautes signalées qui doivent l'être, afin de limiter les risques d'en refaire ailleurs...Lien internet


    Je vous en parle en connaissance de cause puisqu'il y a deux ans et un peu plus, je suivais des cours d'anglais qui me conduisaient à envoyer mes exercices sur le forum pour les faire corriger. Or, au bout d'un certain temps, pour corriger deux ou trous fautes restantes, j'en recréais souvent plusieurs dans mon dernier envoi...

    C'est pourquoi j'avais bien vu le 'Alors qu'ils commencèrent' qui n'était pas du plus heureux effet, mais j'ai préféré ne pas vous en parler pour ne pas vous exposer à ces risques liés à la reprise d'un texte, estimant que cette expression était acceptable en l'état pour un apprenant tel que vous, et eu égard à l'amélioration parfaite entre votre premier envoi et le dernier.

    Mais il est vrai que l'emploi de 'Dès qu'ils' est encore mieux comme vous l'a dit justement alienor64. Par contre, je vous rappelle mon conseil : copier le dernier texte entier le plus correct, puis n'y corriger que ce dernier point...

    Cordialement.

    -------------------
    Modifié par bernard02 le 29-04-2015 22:22





    Réponse: Narration de benjelloun1989, postée le 30-04-2015 à 00:49:17 (S | E)
    Il était une fois un jeune homme de vingt-cinq ans qui venait à peine de se marier avec une très belle femme dans la fleur de l’âge.
    Il était l’héritier d'une grosse fortune que son père lui avait laissée et cela contentait son épouse qui aimait tant vivre dans l'aisance.
    Cette dernière, en profitant de cette richesse, dépensait beaucoup d'argent pour sa toilette et ses loisirs sans s'intéresser aux conséquences.
    En tenant compte de cette dilapidation, le généreux conjoint l'exhortait quotidiennement à réduire les dépenses pour ne pas s'appauvrir.
    Malheureusement, il l'aimait follement au point de ne pas pouvoir la priver de quelque chose.
    À force de gaspiller inutilement des sommes importantes, la situation financière de cet amoureux passionné se détériorait progressivement jusqu'à ce qu'il ne lui restât qu'une petite somme pour survivre.
    Cela mécontenta la dame et comme elle ne pouvait plus tirer profit de son pactole, elle demanda le divorce sans hésitation ni murmure.
    Le pauvre ruiné, ne sachant plus où donner de la tête, accepta la rupture avec résignation.
    Il était si triste et désespéré, alors que son ex-femme se moquait complètement de ce qu'il pourrait devenir et elle commença à chercher un nouvel époux.
    Vu ce triste événement, il décida de recommencer une nouvelle vie en trouvant une épouse plus économe.
    Un jour, ce pitoyable divorcé reçut une lettre d’une femme inconnue qui prétendait le suivre de loin.
    Ému, il ne comprit ni d’où venait ce manuscrit ni qui l’avait écrit. Puis, il décida de lui répondre pour savoir à qui il s’adressait.
    Le lendemain, il obtint une réponse. Elle disait qu’elle voulait le voir et ce fut ainsi qu’il pourrait tout comprendre.
    En se retrouvant à l’endroit où ils s’étaient fixés rendez-vous, il regarda venir vers lui une jeune femme d’une beauté éblouissante avec un sourire irrésistible.
    Elle se présenta à lui et le salua, puis l’invita à venir dans un endroit calme pour se parler.
    Dès qu'ils commencèrent à échanger quelques paroles, il comprit qu’elle l’aimait depuis longtemps sans qu’il s’en soit aperçu.
    Le temps passait et ces deux célibataires se connaissaient de plus en plus, jusqu’au jour où il la demanda en mariage.
    Il devint très heureux et oublia tous les malheurs qu’il avait vécus.
    Quant à son ex-épouse, puisque tout le monde connaissait cette histoire, personne n’accepta de l’épouser et elle resta célibataire le reste de sa vie.

    Merci beaucoup alienor64 et bernard02



    Réponse: Narration de alienor64, postée le 30-04-2015 à 01:20:56 (S | E)
    Bonsoir Bernard02

    'C'est pourquoi j'avais bien vu le 'Alors qu'ils commencèrent' qui n'était pas du plus heureux effet, mais j'ai préféré ne pas vous en parler pour ne pas vous exposer à ces risques liés à la reprise d'un texte'

    ---Votre intention est certes louable, mais, si j'ai signalé cette erreur de conjugaison, c'est uniquement pour respecter la syntaxe des temps et non pour quelque autre raison d'ordre 'esthétique'(effet 'heureux ou malheureux '!) qui ici, n'était pas d'actualité. Ce texte si bien rédigé, dès le départ, par Benjelloun, méritait qu'on ne néglige pas cette anomalie, puisque vous ne l'avez pas fait pour d'autres concordances de temps et de modes. A ce sujet, voici un lien utile pour l'emploi de l'imparfait et du passé simple :
    Lien internet


    Bonne soirée !




    Réponse: Narration de alienor64, postée le 30-04-2015 à 01:26:16 (S | E)
    Bonsoir Benjelloun

    'Dès qu'ils commencèrent à échanger quelques paroles, il comprit qu’elle l’aimait depuis longtemps sans qu’il s’en soit aperçu.'

    ---Cette fois-ci, c'est très bien ! Votre phrase est grammaticalement correcte !

    Bonne continuation !



    Réponse: Narration de bernard02, postée le 30-04-2015 à 15:13:47 (S | E)
    Bonjour alienor64,
    '(à l'imparfait ; le passé simple aurait été correct avec 'Dès que')', et c'est justement le 'Dès qu'ils' au passé simple au lieu du 'Après qu'ils' (comme vous l'avez écrit vous-même) que j'aurais préféré, mais je n'ai pas voulu signaler cette subtilité à un apprenant, pour les raisons que j'ai énoncées dans mes messages antérieurs.
    Cordialement.



    Réponse: Narration de benjelloun1989, postée le 30-04-2015 à 16:54:01 (S | E)
    Bonjour Bernard02,
    Je travaille toujours en privilégiant les copier-coller et je corrige seulement les dernières fautes signalées.
    Par contre, je veux comprendre une chose. Est-ce possible d'utiliser le passé composé dans une narration comme la mienne.
    Je vous pose cette question parce que vous m'avez dit que je peux utiliser soit le passé composé soit le passé simple:
    "demande en mariage (passé simple ou passé composé)."
    Et merci d'avance.
    Merci également à alienor64 de m'avoir encouragé.



    Réponse: Narration de bernard02, postée le 30-04-2015 à 22:04:35 (S | E)
    Bonsoir,
    Par contre, je veux comprendre une chose. Est-ce possible d'utiliser le passé composé dans une narration comme la mienne.
    Je vous pose cette question parce que vous m'avez dit que je peux utiliser soit le passé composé soit le passé simple: "demande en mariage (passé simple ou passé composé)."
    Bien sûr que vous pouvez utiliser le passé composé ou le passé simple dans la phrase concernée : il l'a demandée en mariage, ou il la demanda en mariage...
    Les deux solutions sont acceptables ici, contrairement à l'imparfait qui ne le serait pas, et rappelez-vous bien qu'il y a souvent plusieurs façons de s'exprimer correctement, ne vous laissez pas emporter par des nuances car ceci risquerait de vous conduire à reprendre un texte trop longtemps, pour remplacer des propositions correctes par d'autres propositions qui le seraient autant mais pas plus, et ainsi d'oublier peut-être de corriger une vraie faute.
    Cordialement.

    -------------------
    Modifié par bernard02 le 01-05-2015 01:04





    Réponse: Narration de benjelloun1989, postée le 01-05-2015 à 00:27:56 (S | E)
    Je comprends bien, merci pour l'explication.




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