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    Apéro de la rue

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    Apéro de la rue
    Message de atwulf posté le 19-03-2015 à 17:22:19 (S | E | F)
    Bonjour
    J'aimerais être aidé à corriger la rédaction que j'ai écrite pour m'entraîner en vue de l'examen Delf B1. La consigne est d'écrire une expérience amusante vécue dans la ville où j'habite pour la rubrique "Instantanés" du journal de mon entreprise. Tout conseil est le bienvenu. Merci d'avance.

    Je vais raconter ici, dans cet "instantané", ce qui m'est arrivé samedi dernier : ce n'est pas pour me vanter d'être bon cuisinier, mais... ma glace faite maison a été pourtant drôlement appréciée !
    C'était une invitation adressée à tous les gens du quartier. Pas d'obligation, pas de contrainte, une fête dans la rue sans aucune prétention, je ne devais que préparer, comme les autres invités, quelque chose à partager : "bon, j'utiliserai enfin la machine à faire des glaces que m'ont offert mes parents !" et j'ai décidé d'y aller.
    L'endroit était très simple, des gens tranquilles de tous âges, qui se connaissaient à peine et qui étaient là pour passer du temps oubliant les soucis. Il y avait des tables et des chaises sur un tournant de la rue, ça grouillait de gens qui allaient et venaient des jardins à côté. En arrivant avec ma glace, on m'a fait entrer dans un salon au rez-de-chaussez qui s'ouvrait sur un jardin à coté de la rue. Dans le salon il y avait de tables bourrées de tout : jus de fruit, vin mousseux, du salé et du sucré... J'ai déballé tout de suite ma glace en la repartissant dans plusieurs assiettes en plastique.
    On entendait un fond musical remplissant l'air chaud de la soirée, car les gens ne bavardaient pas trop. Je n'entendais que, au loin, des gens qui parlaient tout haut. Mais comme la voix s'approchait je compris qu'il s'agissait de deux personnes se disputant. J'ai distingué bientôt la voix d'une femme bien fâchée contre un dénommé Julien qui l'aurait trahie, mais on n'entendait pas l'autre qui pourtant devait chercher à la calmer car en franchissant l'entrée du jardin elle dit : "Non salaud ! Ce ne sont que conneries, traître !" Deux femmes, près de moi, disaient à mi-voix qu'elle était la fille du propriétaire de la maison. En fait elle entra décidée dans le salon et saisit au vol un gros chou à la crème, le tira en direction de celui qui devait être Julien et qui venait tout juste d'entrer après elle. Mais le chou, et la crème, aboutirent sur le front d'une fillette qui demeurait près de l'entrée du salon. La gamine qui n'avait rien suivi de la querelle, sans trop y songer saisit une de mes glaces et la lança sur le visage de la femme qui, désolée, s'était immobilisée. Moi aussi, j'étais étonné et désolé pour ma glace, quand tout à coup sentis une gifle me couper le souffle.. mais en vérité je m'aperçus que c'était de la crème ! En effet tout le monde était en train de se tirer dessus quelque chose à manger : des sandwiches, des viennoiseries... tous finirent par rire à gorge déployée!


    Réponse: Apéro de la rue de jij33, postée le 20-03-2015 à 13:52:17 (S | E)
    Bonjour Atwulf

    Je vais raconter ici, dans cet "instantané", ce qui m'est arrivé samedi dernier : ce n'est pas pour me vanter d'être bon cuisinier, mais... ma glace faite maison a été pourtant drôlement appréciée !
    C'était une invitation adressée à tous les gens du quartier. Pas d'obligation, pas de contrainte, une fête dans la rue sans aucune prétention, je ne devais que (préférer "seulement") préparer, comme les autres invités, quelque chose à partager : "bon, j'utiliserai enfin la machine à faire des glaces que m'ont offert (accord avec le COD "que", qui reprend "machine") mes parents !" et j'ai décidé d'y aller.
    L'endroit était très simple, des gens tranquilles de tous âges (il existe deux façons d'écrire ce groupe ; en le mettant au singulier, ou en ajoutant le déterminant défini pluriel entre les deux mots), qui se connaissaient à peine et qui étaient là pour passer du temps oubliant (employer le gérondif au lieu du participe présent : il manque une préposition avant "oubliant") les (déterminant possessif) soucis. Il y avait des tables et des chaises sur un tournant (plutôt "au coin de") de la rue, ça grouillait de gens qui allaient et venaient des jardins à côté (ce groupe alourdit la phrase et peut être supprimé). En arrivant (le gérondif se rapporte toujours au sujet du prochain verbe conjugué, "on" en l'occurrence : il faut donc changer la construction. Commencer par "quand") avec ma glace, on m'a fait entrer dans un salon au rez-de-chaussez qui s'ouvrait sur un jardin à co(accent) de la rue. Dans le salon (virgule) il y avait de (déterminant indéfini au pluriel) tables bourrées (trop familier : garnies ou offrant) de tout : jus de fruit, vin mousseux, du salé et du sucré... J'ai déballé tout de suite ma glace en la repartissant (accent) dans plusieurs assiettes en plastique.
    On entendait un fond musical remplissant l'air chaud de la soirée, car les gens ne bavardaient pas trop. Je n'entendais que (à déplacer après "au loin"), au loin, des gens qui parlaient tout haut. Mais comme la voix s'approchait (virgule) je compris qu'il s'agissait de deux personnes se disputant. J'ai distingué bientôt la voix d'une femme bien fâchée contre un dénommé Julien qui l'aurait trahie, mais on n'entendait pas l'autre qui pourtant devait chercher à la calmer car en franchissant l'entrée du jardin elle dit : "Non salaud ! Ce ne sont que conneries, traître ! (un peu trop trivial, me semble-t-il... On peut dire la même chose avec un vocabulaire moins grossier : sale type ou goujat pour le premier mot souligné, sornettes ou balivernes pour les suivants )" Deux femmes, près de moi, disaient à mi-voix qu'elle était la fille du propriétaire de la maison. En fait (virgule) elle entra décidée dans le salon et saisit au vol un gros chou à la crème, le tira (plutôt projeter) en direction de celui qui devait être Julien et qui venait tout juste d'entrer après elle. Mais le chou, et la crème, aboutirent sur le front d'une fillette qui demeurait (mieux : se trouver) près de l'entrée du salon. La gamine (virgule) qui n'avait rien suivi de la querelle, sans trop y songer saisit une de mes glaces et la lança sur le visage de la femme qui, désolée, s'était immobilisée. Moi aussi, j'étais étonné et désolé pour ma glace, quand tout à coup (il manque le pronom sujet) sentis une gifle me couper le souffle..(un seul point... ou trois si vous pensiez aux points de suspension) mais en vérité je m'aperçus que c'était de la crème ! En effet tout le monde était en train de se tirer dessus quelque chose à manger (remplacer par "se bombarder" en faisant les modifications nécessaires): des sandwiches, des viennoiseries... tous finirent par rire à gorge déployée (espace)!

    Bonne correction.



    Réponse: Apéro de la rue de atwulf, postée le 20-03-2015 à 21:12:19 (S | E)
    Bonsoir et merci pour vos corrections.

    Je vais raconter ici, dans cet "instantané", ce qui m'est arrivé samedi dernier : ce n'est pas pour me vanter d'être bon cuisinier, mais... ma glace faite maison a été pourtant drôlement appréciée !
    C'était une invitation adressée à tous les gens du quartier. Pas d'obligation, pas de contrainte, une fête dans la rue sans aucune prétention, je devais seulement préparer, comme les autres invités, quelque chose à partager : "bon, j'utiliserai enfin la machine à faire des glaces que m'ont offerte mes parents !" et j'ai décidé d'y aller.
    L'endroit était très simple, des gens tranquilles de tous les âges, qui se connaissaient à peine et qui étaient là pour passer du temps en oubliant leurs soucis. Il y avait des tables et des chaises au coin de la rue, ça grouillait de gens qui allaient et venaient. Quand je suis arrivé avec ma glace, on m'a fait entrer dans un salon au rez-de-chaussée qui s'ouvrait sur un jardin à côté de la rue. Dans le salon, il y avait des tables garnies de tout : jus de fruit, vin mousseux, du salé et du sucré... J'ai déballé tout de suite ma glace en la répartissant dans plusieurs assiettes en plastique.
    On entendait un fond musical remplissant l'air chaud de la soirée, car les gens ne bavardaient pas trop. Je n'entendais, au loin, que des gens qui parlaient tout haut. Mais comme la voix s'approchait, je compris qu'il s'agissait de deux personnes se disputant. J'ai distingué bientôt la voix d'une femme bien fâchée contre un dénommé Julien qui l'aurait trahie, mais on n'entendait pas l'autre qui pourtant devait chercher à la calmer car en franchissant l'entrée du jardin elle dit : "Non goujat ! Ce ne sont que sornettes, traître !" Deux femmes, près de moi, disaient à mi-voix qu'elle était la fille du propriétaire de la maison. En fait, elle entra décidée dans le salon et saisit au vol un gros chou à la crème, le projeta en direction de celui qui devait être Julien et qui venait tout juste d'entrer après elle. Mais le chou, et la crème, aboutirent sur le front d'une fillette qui se trouvait près de l'entrée du salon. La gamine, qui n'avait rien suivi de la querelle, sans trop y songer saisit une de mes glaces et la lança sur le visage de la femme qui, désolée, s'était immobilisée. Moi aussi, j'étais étonné et désolé pour ma glace, quand tout à coup je sentis une gifle me couper le souffle… mais en vérité je m'aperçus que c'était de la crème ! En effet tout le monde était en train de se bombarder avec quelque chose à manger: des sandwiches, des viennoiseries... tous finirent par rire à gorge déployée !



    Réponse: Apéro de la rue de jij33, postée le 20-03-2015 à 23:24:25 (S | E)
    Bonsoir,
    Une retouche sur un ou deux points que j'ai omis de vous signaler et ce sera parfait.

    Je vais raconter ici, dans cet "instantané", ce qui m'est arrivé samedi dernier : ce n'est pas pour me vanter d'être bon cuisinier, mais... ma glace faite maison a été pourtant drôlement appréciée !
    C'était une invitation adressée à tous les gens du quartier. Pas d'obligation, pas de contrainte, une fête dans la rue sans aucune prétention, je devais seulement préparer, comme les autres invités, quelque chose à partager : "bon, j'utiliserai enfin la machine à faire des glaces que m'ont offerte mes parents !" et j'ai décidé d'y aller.
    L'endroit était très simple, des gens tranquilles de tous les âges, qui se connaissaient à peine et qui étaient là pour passer du temps en oubliant leurs soucis. Il y avait des tables et des chaises au coin de la rue, ça grouillait de gens qui allaient et venaient. Quand je suis arrivé avec ma glace, on m'a fait entrer dans un salon au rez-de-chaussée qui s'ouvrait sur un jardin à côté de la rue. Dans le salon, il y avait des tables garnies de tout : jus de fruit, vin mousseux, du salé et du sucré... J'ai déballé tout de suite ma glace en la répartissant dans plusieurs assiettes en plastique.
    On entendait un fond musical remplissant l'air chaud de la soirée, car les gens ne bavardaient pas trop. Je n'entendais, au loin, que des gens qui parlaient tout haut. Mais comme la voix s'approchait, je compris qu'il s'agissait de deux personnes se disputant. J'ai distingué bientôt la voix d'une femme bien fâchée contre un dénommé Julien qui l'aurait trahie, mais on n'entendait pas l'autre qui pourtant devait chercher à la calmer car en franchissant l'entrée du jardin elle dit : "Non goujat ! Ce ne sont que sornettes, traître !" Deux femmes, près de moi, disaient à mi-voix qu'elle était la fille du propriétaire de la maison. En fait, elle entra (pour une meilleure compréhension, ajouter "d'un pas" et accorder l'adjectif qui suit) décidée dans le salon et saisit au vol un gros chou à la crème, le projeta en direction de celui qui devait être Julien et qui venait tout juste d'entrer après elle. Mais le chou, et la crème, aboutirent sur le front d'une fillette qui se trouvait près de l'entrée du salon. La gamine, qui n'avait rien suivi de la querelle, sans trop y songer saisit une de mes glaces et la lança sur le visage de la femme qui, désolée, s'était immobilisée. Moi aussi, j'étais étonné et désolé pour ma glace, quand tout à coup je sentis une gifle me couper le souffle… mais en vérité je m'aperçus que c'était de la crème ! En effet tout le monde était en train de se bombarder avec quelque chose à manger: des sandwiches, des viennoiseries... (Majuscule car on change de thème) tous finirent par rire à gorge déployée !
    Bonne fin de semaine et !



    Réponse: Apéro de la rue de atwulf, postée le 20-03-2015 à 23:43:10 (S | E)
    Merci beaucoup et bonne fin de semaine à vous aussi !




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