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    L'avare sous la côte de Valère

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    L'avare sous la côte de Valère
    Message de tya posté le 12-01-2014 à 21:00:44 (S | E | F)
    Bonjours.
    J'ai rédigé une lettre pour raconter l'histoire de l'avare sous la côte de Valère.
    Pourriez-vous m'aider à la correction de l'orthographe, de la grammaire et de la syntaxe, s'il vous plaît ?
    Merci beaucoup!!!

    Mon cher ami,
    Excuse-moi de ne pas t’avoir écrit plutôt. Plusieurs événements m’ont rencontré récemment et je ne peux pas attendre à partager la grande joie avec toi, mon cher ami. Je suis maintenant le mari d’une charmante fille, Élise, ma bien-aimée, et j’ai trouvé mon père et ma sœur qui je pense soient décédés! Il est sans doute le ciel, qu’il n’appartient qu’à lui de faire des miracles ! Je suis bienheureux maintenant, mon cher ami !

    Souviens-tu que je t’ai dit que j’ai sauva une belle fille dans l’eau ? J’ai tombé amoureux d’elle au premier coup. Pour la voir, j’ai revêtu de l’emploi de domestique de son père. Mon cher ami, un domestique chez monsieur Harpagon est une torture, crois-moi. L’excès de son avarice, et la manière austère dont il vit avec ses enfants…sur ce chapitre nous n’en pouvons jamais dire de bien. Afin d’acquérir sa tendresse, Je me déguise de masque de sympathie et de rapports de sentiments pour lui plaire et joue avec lui le personnage tous les jours. C’est sans doute le dieu d’amour me rend d’endurer de tout.

    Monsieur Harpagon, à vrai dire, est un esclave pitoyable de l’argent. Il voulait donner sa fille, ma chère Élise, en mariage à seigneur Anselme. Quel père dans ce monde veut épouser sa chère fille un homme presque de son âge ? La raison ? Sans dot ! Mon cher ami, je ne le croyais pas non plus quand je l’entendais mais cela est vrai. Oui, c’est la raison. Ridicule ? Mais cette raison est si parfaite pour monsieur Harpagon qu’il veut elle l’épouser immédiatement. Dédaigner cette grande inégalité d’âge, d’humeur et de sentiments, il rendait ce mariage une vraie tragédie. Tel père ! Mais qu’est-ce que je peux faire ? Je suis seulement un intendant! Je ne peux faire rien à sauver mon amour encore une fois. Je dois être modéré dans mes paroles et lui persuader euphémiquement. En même temps, mon cœur est brisé. Mon cher ami, comment je souhaite je puisse fuir avec elle !

    Pour monsieur Harpagon lui-même, il a tombé amoureux avec son fils, Cléante, de la même femme, Mariane, qui j’ai trouvé plus tard ma sœur. Quelle plaisanterie! Pour fixer le mariage entre mon amour et seigneur Anselme et le mariage entre monsieur lui-même et Mariane, monsieur Harpagon a décidé de tous inviter à diner. C’est rarement vu. Mais nous pouvons prévoir qu’il n’y a ni la collation ni des bons plats, même le vin est limité.

    Le même jour, dans l’après-midi, un grand accident a arrivé. Monsieur Harpagon a perdu sa cassette, une cassette avec dix mille écus ! Il est presque fou d’avoir perdu si beaucoup d’argent. Que tu voies son visage ! Peu de temps après, un commissaire est venu pour trouver le voleur. Je n’ai aucune idée qui soit si courageux d’oser voler l’argent d’Harpagon, mais à vrai dire, mon cher ami, je lui loue profondément dans mon cœur.

    Quand je suis passé par la chambre de monsieur Harpagon, il m’a vu et m’a injurié en tirant mon bras envers la chambre. Il frémissait de colère et m’a hurlé pourquoi j’ai abusé de son bonté et l’ai trahi. J’étais affolé. Je crois qu’il a déjà découvert l’affaire d’Élise et moi, ainsi j’ai décidé d’être franc. Je lui ai dit que c’est le dieu qui porte les excuses de tout ce qu’il fait faire, c’est l’amour qui me pousse de poursuivre le trésor le plus précieux du monde pour moi. Mais il semblait de plus en plus fâché et m’appelait un « voleur ». Mon cher ami, un voleur ! Bien qu’Élise soit un trésor unique, je ne suis pas un voleur. Nous sommes aimés mutuellement. Je lui prie de m’accorder Élise, parce que nous sommes déjà engagés d’être l’un à l’autre à jamais. Mais il m’a demandé si j’avais la touché et pourquoi je me brouille sa fille. Finalement, il a compris que sa fille et moi a signé une promesse de mariage et j’ai compris qu’il a tenu pour certain que j’étais le voleur qui a volé sa cassette.
    -------------------
    Modifié par bridg le 12-01-2014 21:11


    Réponse: L'avare sous la côte de Valère de tya, postée le 13-01-2014 à 04:28:16 (S | E)
    Voici la partie suivante, merci beaucoup!

    Monsieur Harpagon débordait de colère et invectivait Élise. Mon amour, ma charmante, pauvre Élise a pleuré aux genoux d’Harpagon. Même le ciel va pardonner notre faute et permettre notre amour en voyant cette scène. Mais l’Harpagon est un homme sans entrailles. Il a le cœur le plus dur du monde qui n’aime rien d’autres que son argent.

    En ce moment-là, la porte est ouverte et un homme est entré. C’est seigneur Anselme qui serait le mari d’Élise. Je devrais lui détester, mais je ne sais pourquoi je me sens d’une intimité quand je l’ai vu. Monsieur Harpagon lui a dit ceux qui ont passé et hurlé que je devais être chargé. Quelle humiliation ! Lorsqu’on saura ce que je suis…En mettant fièrement mon chapeau, j’ai leur déclaré que j’étais le fils d’un homme à qui tout Naples est connu. Je suis le fils de don Thomas d’Alburci. Seigneur Anselme m’a contesté immédiatement. Il semblait qu’il lui connaissait bien. Mais il croyait que j’ai menti parce que don Thomas d’Alburci avec ses enfants et sa femme ont déjà décédé dans un accident sur la mer au moins seize ans avant. Oui, c’est vrai. Nous avons rencontré un naufrage. Mais moi, je lui disais, le fils de don Thomas d’Alburci, fut sauvé par un vaisseau espagnol. Le capitaine espagnol, un cachet de rubis de mon père et un bracelet d’agate de ma mère, tous peuvent assurer que ce que j’ai dit est la vérité.

    Soudainement, Mariane a cri. Elle m’a embarrassé en disant qu’elle est ma sœur. Pauvre Mariane, elle a sauvé avec maman par les pirates et d’être esclave pour dix ans. A vrai dire, je me sens encore bien touché maintenant quand je me souviens de revoir ma sœur sous telle situation. En ce moment-là, seigneur Anselme nous a embarrassés brutalement. Il a devenu fort ému. « O ciel ! Quels sont les traits de ta puissance ! »Il a crié excité. Oui, mon cher ami, seigneur Anselme est mon père ! J’ai trouvé mon père et ma sœur dans une même journée !

    Qui a volé la cassette ? Il n’est plus d’importance. Après tout, monsieur Harpagon a trouvé sa cassette sans perdu un écu. Élise et moi, Mariane et Cléante, nous allons marier. Grâce au ciel !

    Comme le temps me paraît longtemps depuis que je ne te voir plus! Mon cher ami, je t’écrire pour t’inviter à participer la cérémonie de notre mariage. Elle sera organisée le samedi prochain dans le château de mon père. Tu me manques, mon cher ami. Je bien souhaite de te voie.
    Je t’embarrasse.

    Valère



    Réponse: L'avare sous la côte de Valère de tya, postée le 13-01-2014 à 10:48:18 (S | E)
    Pourriez-vous m'aider à la correction, s'il vous plaît? Merci
    Est-ce que cela est un peu trop longue? La correction d'une petite partie est aussi très bonne! Merci à tous:)



    Réponse: L'avare sous la côte de Valère de tya, postée le 13-01-2014 à 11:10:40 (S | E)
    Bonjour à tous! Je l'ai corrigé moi-même. Pourriez-vous m'aider à ma correction, s'il vous plaît? Je pense que il est plus comprenhisble qu'avant.


    Mon cher ami,
    Excuse-moi de ne pas t’avoir écrit plutôt. Depuis que je suis entré chez Harpagon comme un intendant, plusieurs événements m’ont rencontré. Je ne peux pas attendre à partager la grande joie avec toi. J’ai maintenant épousé une charmante fille, Élise, ma bien-aimée, et j’ai trouvé mon père et ma sœur! Il est sans doute le ciel, qu’il n’appartient qu’à lui de faire des miracles ! Je suis bienheureux maintenant, mon cher ami !
    Souviens-tu de la fille je l’ai sauvé dans l’eau ? J’ai tombé amoureux d’elle au premier coup. Pour la voir, j’ai revêtu de l’emploi de domestique de son père. Mon cher ami, un domestique chez monsieur Harpagon était une torture, crois-moi. L’excès de son avarice, et la manière austère dont il vit avec ses enfants…sur ce chapitre nous n’en pouvons jamais dire de bien. Afin d’acquérir sa tendresse, Je me déguisais de masque de sympathie et de rapports de sentiments pour lui plaire et joue avec lui le personnage tous les jours. C’est sans doute le dieu d’amour me rend d’endurer de tout.
    Monsieur Harpagon, à vrai dire, était un esclave pitoyable de l’argent. Il voulait donner sa fille, ma chère Élise, en mariage à seigneur Anselme. Quel père dans ce monde voulait épouser sa fille un homme presque de son âge ? La raison ? Sans dot ! Mon cher ami, je ne la croyais pas non plus quand je l’entendais mais cela était vrai. Oui, parce que le mariage serait sans dot. Ridicule ? Mais cette raison satisfait beaucoup monsieur Harpagon et il voulait elle lui épouser immédiatement. Dédaigner cette grande inégalité d’âge, d’humeur et de sentiments, il rendait ce mariage une vraie tragédie. Tel père ! Mais j’étais seulement un intendant! Je ne pouvais faire rien à sauver mon amour encore une fois. Je devais être modéré dans mes paroles et lui persuader euphémiquement. En même temps, mon cœur était brisé. Mon cher ami, comment je souhaitais je puisse fuir avec elle !

    Monsieur Harpagon lui-même, il a tombé amoureux de la même femme, Mariane, que son fils Cléante. Quelle plaisanterie! Pour fixer le mariage entre mon amour et seigneur Anselme et le mariage entre Harpagon lui-même et Mariane, il a décidé de les inviter à diner. Le même jour, dans l’après-midi, un grand accident a arrivé. Monsieur Harpagon a perdu sa cassette, une cassette avec dix mille écus ! Il était presque fou d’avoir perdu si beaucoup d’argent. Que tu voies son visage ! Peu de temps après, un commissaire est venu pour trouver le voleur. Je n’avais aucune idée qui soit si courageux d’oser voler l’argent d’Harpagon, mais à vrai dire, mon cher ami, je lui louais profondément dans mon cœur.
    Quand je suis passé par la chambre de monsieur Harpagon, il m’a vu et m’a injurié en tirant mon bras envers la chambre. Il frémissait de colère et m’a hurlé pourquoi j’ai abusé de son bonté et l’ai trahi. J’étais affolé. Je croyais qu’il a déjà découvert l’affaire d’Élise et moi, ainsi j’ai décidé d’être franc. Je lui ai dit que c’était le dieu qui portait les excuses de tout ce qu’il faisait faire, c’était l’amour qui me poussait de poursuivre le trésor le plus précieux du monde pour moi. Mais il semblait de plus en plus fâché et m’appelait un « voleur ». Mon cher ami, un voleur ! Bien qu’Élise soit un trésor unique, je ne suis pas un voleur. Nous étions aimés mutuellement. Je lui priais de m’accorder Élise, parce que nous étions déjà engagés d’être l’un à l’autre à jamais. Mais il m’a demandé si j’avais la touché et pourquoi je me brouillais sa fille. Finalement, il a compris que sa fille et moi avait signé une promesse de mariage et j’ai compris qu’il a tenu pour certain que j’étais le voleur qui a volé sa cassette.




    Réponse: L'avare sous la côte de Valère de tya, postée le 13-01-2014 à 11:22:42 (S | E)
    Voici la partie suivante

    Monsieur Harpagon débordait de colère et invectivait Élise. Mon amour, ma charmante, pauvre Élise a pleuré aux genoux d’Harpagon. Même le ciel ira pardonner notre faute et permettre notre amour en voyant cette scène. Mais l’Harpagon était un homme sans entrailles. Il avait le cœur le plus dur du monde qui n’aimait rien que son argent.
    En ce moment-là, la porte était ouverte et un homme est entré. C’était seigneur Anselme qui serait le mari d’Élise. Je devrais lui détester, mais je ne savais pourquoi je me sentais d’une intimité quand je l’ai vu. Monsieur Harpagon lui a dit ceux qui ont passé et hurlé que je devais être chargé. Quelle humiliation ! Lorsqu’ils sauront ce que je suis…En mettant fièrement mon chapeau, j’ai leur déclaré que j’étais le fils d’un homme à qui tout Naples est connu nommé don Thomas d’Alburci. Seigneur Anselme m’a contesté immédiatement. Il semblait qu’il bien connaissait mon père. Il croyait que j’ai menti parce qu’il a entendu dit que don Thomas d’Alburci avec ses enfants et sa femme ont déjà décédé dans un accident sur la mer au moins seize ans avant. Oui, c’était vrai, je continuais, mon père, ma mère, ma sœur et moi, nous avons rencontré un naufrage, mais moi, je lui disais, le fils de don Thomas d’Alburci, fut sauvé par un vaisseau espagnol. Le capitaine espagnol, un cachet de rubis de mon père et un bracelet d’agate de ma mère, tous peuvent assurer que ce que j’ai dit est la vérité, Je lui disais.

    Soudainement, Mariane a cri. Elle m’a embarrassé en disant qu’elle est ma sœur. A vrai dire, je me sens encore bien touché maintenant quand je me souviens de revoir ma sœur sous telle situation. Pauvre Mariane, elle a sauvé avec maman par les pirates et d’être esclave pour dix ans. En ce moment-là, seigneur Anselme nous a embarrassés brutalement. Il a devenu fort ému. « O ciel ! Quels sont les traits de ta puissance ! »Il a crié excité. Oui, mon ami, que le ciel fasse le miracle ! Seigneur Anselme était mon père ! J’ai trouvé mon père et ma sœur dans une même journée !
    Qui a volé la cassette ? Il n’est plus d’importance. Après tout, monsieur Harpagon a trouvé sa cassette sans perdu un écu. Élise et moi, Mariane et Cléante, nous allons marier. Grâce au ciel !
    Comme le temps me paraît longtemps depuis que je ne te voir plus! Mon cher ami, je t’écrire pour t’inviter à participer la cérémonie de notre mariage. Il sera organisé le samedi prochain dans le château de mon père. Tu me manques, mon cher ami. Je bien souhaite de te voie !
    Je t’embarrasse.
    Valère


    Merci d'avance!!!






    Réponse: L'avare sous la côte de Valère de jij33, postée le 13-01-2014 à 11:51:00 (S | E)
    Bonjour tya

    Voici des propositions de correction pour le début de votre long texte. Vous avez bien résumé la pièce et montré les sentiments de Valère. Mais je ne comprends pas votre titre "l'avare sous la côte de Valère" : que voulez-vous dire ?

    Mon cher ami,
    Excuse-moi de ne pas t’avoir écrit plutôt (en deux mots). Plusieurs événements m’ont rencontré récemment (à reformuler : le verbe "rencontrer" ne convient pas ici) et je ne peux pas attendre à (autre préposition, exprimant le but) partager la (déterminant démonstratif) grande joie avec toi, mon cher ami. Je suis maintenant le mari d’une charmante fille, Élise, ma bien-aimée, et j’ai trouvé mon père et ma sœur qui je pense soient décédés (à reformuler : la relative pourrait commencer par "que"...)! Il est sans doute le ciel, qu’il n’appartient qu’à lui de faire des miracles (incorrect : il n'appartient qu'au ciel...)! Je suis bienheureux maintenant, mon cher ami !

    Souviens-tu (il manque un pronom personnel avant la forme conjuguée : verbe "se souvenir") que je t’ai dit que j’ai sauva (revoir le passé composé de "sauver") une belle fille dans (on sauve quelqu'un de quelque chose) l’eau ? J’ai (ce n'est pas le bon auxiliaire) tombé amoureux d’elle au premier coup d'œil . Pour la voir, j’ai revêtu de l’emploi de domestique de son père. Mon cher ami, un (supprimer l'article et mettre l'infinitif "être") domestique chez monsieur Harpagon est une torture, crois-moi. L’excès de son avarice, et la manière austère dont il vit avec ses enfants… sur ce chapitre nous n’en (supprimer "en") pouvons jamais dire de bien. Afin d’acquérir sa tendresse, Je (pas de majuscule) me déguise de masque de sympathie et de rapports de sentiments pour lui plaire (vous employez un peu trop les expressions de Molière : simplifiez, en vue d'un langage un peu plus contemporain) et joue avec lui le (déterminant démonstratif) personnage tous les jours. C’est sans doute le dieu d’ (préposition + article élidé)amour (introduire un pronom relatif sujet) me rend (verbe "permettre") d’endurer de tout (ordre des mots : préposition + pronom indéfini + "endurer".

    Monsieur Harpagon, à vrai dire, est un esclave pitoyable de l’argent. Il voulait donner sa fille, ma chère Élise, en mariage à (contraction de à le)seigneur Anselme. Quel père dans ce monde veut épouser (ici, employer "marier à") sa chère fille (c'est ici que vous placerez la préposition "à")un homme presque de son âge ? La raison ? Sans dot ! Mon cher ami, je ne le croyais pas non plus quand je l’entendais mais cela (employez un pronom plus court) est vrai. Oui, c’est la raison. Ridicule ? Mais cette raison est si parfaite pour monsieur Harpagon qu’il veut (corriger la construction : il veut qu'....) elle l’épouser immédiatement. Dédaigner (remplacer par un gérondif) cette grande inégalité d’âge, d’humeur et de sentiments, il rendait (verbe "faire" + préposition "de") ce mariage une vraie tragédie. Tel (remplacer par un adjectif exclamatif) père ! Mais qu’est-ce que je peux faire ? Je suis seulement un intendant! Je ne peux faire rien ("rien" avant "faire" et remplacer la préposition qui suit par une autre, qui exprimera le but)à sauver mon amour encore une fois. Je dois être modéré dans mes paroles et lui (il faut le pronom personnel COD, et non COI) persuader euphémiquement. En même temps, mon cœur est brisé. Mon cher ami, comment (autre adverbe exclamatif)je souhaite je puisse (remplacer par l'infinitif de ce verbe)
    fuir avec elle !
    Bonne correction !



    Réponse: L'avare sous la côte de Valère de jij33, postée le 13-01-2014 à 12:06:11 (S | E)
    Un nouveau bonjour, tya.

    Vous étiez en train de "corriger" votre texte quand je vous faisais des propositions pour le début, que je ne reprendrai pas ici car il contient encore bien des erreurs. Voici une partie de la suite.

    Pour monsieur Harpagon lui-même, il a (autre auxiliaire) tombé amoureux avec son fils, Cléante, de la même femme, Mariane, qui j’ai trouvé plus tard ma sœur. (à reformuler : de la même femme que son fils, Cléante. (point). Et cette jeune fille, c'est Mariane... + la suite) Quelle plaisanterie! Pour fixer le mariage entre mon amour et (article défini) seigneur Anselme et le mariage entre monsieur lui-même et Mariane, monsieur Harpagon a décidé de tous (ajouter le pronom personnel COD masculin pluriel) inviter à diner. C’est rarement vu (mal dit). Mais nous pouvons prévoir qu’il n’y a ni la collation ni des bons plats (supprimez les deux articles), même le vin est limité.

    Le même jour, dans l’après-midi, un grand accident a (autre auxiliaire) arrivé. Monsieur Harpagon a perdu sa cassette, une cassette avec dix mille écus ! Il est presque fou d’avoir perdu si beaucoup (incorrect : "tant" ou "tellement") d’argent. Que tu voies (incorrect : si + plus-que-parfait de l'indicatif) son visage ! Peu de temps après, un commissaire est venu pour trouver le voleur. Je n’ai aucune idée qui soit (à reformuler) si courageux d’oser voler l’argent d’Harpagon, mais à vrai dire, mon cher ami, je lui (pronom COD ,et non COI) loue profondément dans mon cœur.

    Bonne continuation



    Réponse: L'avare sous la côte de Valère de tya, postée le 13-01-2014 à 12:58:41 (S | E)
    Bonjour jij33, merci beaucoup pour la correction! Vous être très gentil(le)
    Sous la côté de Valère, c'est à dire je dois rédiger la lettre comme je sois Valère et raconter ses avantures sous sa côté en tenant compte son caractère et des sentiments.

    Merci encore pour la correction, voici ma correction!


    Mon cher ami,
    Excuse-moi de ne pas t’avoir écrit plus tôt . J’ai affronté plusieurs événements et je ne peux pas attendre pour partager cette grande joie avec toi, mon cher ami. Je suis maintenant le mari d’une charmante fille, Élise, ma bien-aimée, et j’ai trouvé mon père et ma sœur qu’ils je pense soient décédés! Il n’appartient qu’au ciel de faire des miracles! Je suis bienheureux maintenant, mon cher ami !

    Tu Souviens-te que je t’ai dit que j’ai sauvé une belle fille de l’eau ? Je suis tombé amoureux d’elle au premier coup d'œil. Pour la voir, j’ai revêtu l’emploi de domestique de son père. Mon cher ami, être domestique chez monsieur Harpagon est une torture, crois-moi. L’excès de son avarice, et la manière austère dont il vit avec ses enfants… sur ce chapitre nous ne pouvons jamais dire de bien. Afin d’acquérir sa tendresse, je me déguise en sympathie pour lui plaire et joue avec lui ce personnage tous les jours. C’est sans doute le dieu de l’amour qui me permettre de tout endurer.

    Monsieur Harpagon, à vrai dire, est un esclave pitoyable de l’argent. Il voulait donner sa fille, ma chère Élise, en mariage au seigneur Anselme. Quel père dans ce monde veut marier sa chère fille à un homme presque de son âge ? La raison ? Sans dot ! Mon cher ami, je ne le croyais pas non plus quand je l’entendais mais c’est vrai. Oui, c’est la raison. Ridicule ? Mais cette raison est si parfaite pour monsieur Harpagon qu’il veut q’ elle l’épouser immédiatement. Dédaignait cette grande inégalité d’âge, d’humeur et de sentiments, il faisait de ce mariage une vraie tragédie. Quel père ! Mais qu’est-ce que je peux faire ? Je suis seulement un intendant! Je ne peux rien faire rien pour sauver mon amour encore une fois. Je dois être modéré dans mes paroles et le persuader euphémiquement. En même temps, mon cœur est brisé. Mon cher ami, que je souhaite je pouvoir fuir avec elle !
    Pour monsieur Harpagon lui-même, il est tombé amoureux de la même femme que son fils. Et cette jeune fille, j’ai trouvé plus tard, c’est ma sœur. Quelle plaisanterie! Pour fixer le mariage entre mon amour et le seigneur Anselme et le mariage entre lui-même et Mariane, monsieur Harpagon a décidé de tous les inviter à diner. C’est rare. Mais nous pouvons prévoir qu’il n’y a ni collation ni bons plats, même le vin est limité.

    Le même jour, dans l’après-midi, un grand accident est arrivé. Monsieur Harpagon a perdu sa cassette, une cassette avec dix mille écus ! Il est presque fou d’avoir perdu tellement d’argent. Si que tu eusses vu son visage ! Peu de temps après, un commissaire est venu pour trouver le voleur. Je n’ai aucune idée ce qui soit si courageux d’oser voler l’argent d’Harpagon, mais à vrai dire, mon cher ami, je le loue profondément dans mon cœur.

    Bonne journée!



    Réponse: L'avare sous la côte de Valère de jij33, postée le 13-01-2014 à 13:55:44 (S | E)
    Reprenons !
    Je comprends mieux votre titre, qui pourrait s'énoncer ainsi : l'avare, vu par Valère.

    Mon cher ami,
    Excuse-moi de ne pas t’avoir écrit plus tôt . J’ai affronté plusieurs événements et je ne peux pas attendre pour partager cette grande joie avec toi, mon cher ami. Je suis maintenant le mari d’une charmante fille (mieux :"jeune femme"), Élise, ma bien-aimée, et j’ai trouvé mon père et ma sœur qu’ils je pense soient décédés! (incorrect : que je croyais + participe) Il n’appartient qu’au ciel de faire des miracles! Je suis bienheureux maintenant, mon cher ami !

    Tu Souviens-te (inversez l'ordre des pronoms et supprimez la majuscule) que je t’ai dit que j’ai sauvé une belle fille de l’eau ? Je suis tombé amoureux d’elle au premier coup d'œil. Pour la voir, j’ai revêtu l’emploi de domestique de son père. Mon cher ami, être domestique chez monsieur Harpagon est une torture, crois-moi. L’excès de son avarice, et la manière austère dont il vit avec ses enfants… sur ce chapitre (virgule) nous ne pouvons (mieux : au futur simple) jamais dire de bien. Afin d’acquérir sa tendresse, je me déguise en sympathie pour lui plaire et joue avec lui ce personnage tous les jours. C’est sans doute le dieu de l’amour qui me permettre (au présent, 3ème personne du singulier) de tout endurer.

    Monsieur Harpagon, à vrai dire, est un esclave pitoyable de l’argent. Il voulait donner sa fille, ma chère Élise, en mariage au seigneur Anselme. Quel père dans ce monde veut marier sa chère fille à un homme presque de son âge ? La raison ? Sans dot ! Mon cher ami, je ne le croyais pas non plus quand je l’entendais mais c’est vrai. Oui, c’est la raison. Ridicule ? Mais cette raison est si parfaite pour monsieur Harpagon qu’il veut q’ elle l’épouser (subjonctif présent, 3ème personne du singulier) immédiatement. Dédaignait (au gérondif : voir à la fin) cette grande inégalité d’âge, d’humeur et de sentiments, il faisait de ce mariage une vraie tragédie. Quel père ! Mais qu’est-ce que je peux faire ? Je suis seulement un intendant! Je ne peux rien faire rien pour sauver mon amour encore une fois. Je dois être modéré dans mes paroles et le persuader euphémiquement. En même temps, mon cœur est brisé. Mon cher ami, que je souhaite je pouvoir fuir avec elle !
    Pour monsieur Harpagon lui-même, il est tombé amoureux de la même femme que son fils. Et cette jeune fille, j’ai trouvé (participe passé de "comprendre") plus tard, c’est ma sœur. Quelle plaisanterie! Pour fixer le mariage entre mon amour et le seigneur Anselme et le mariage entre lui-même et Mariane, monsieur Harpagon a décidé de tous les inviter à diner. C’est rare. Mais nous pouvons prévoir qu’il n’y a ni collation ni bons plats, même le vin est limité.

    Le même jour, dans l’après-midi, un grand accident est arrivé. Monsieur Harpagon a perdu sa cassette, une cassette avec (mieux : participe présent de "contenir") dix mille écus ! Il est presque fou d’avoir perdu tellement d’argent. Si que tu eusses vu (supprimer "que" et employez le plus-que-parfait de l'indicatif, et non du subjonctif) son visage ! Peu de temps après, un commissaire est venu pour trouver le voleur. Je n’ai aucune idée de ce qui soit si courageux d' (à remplacer par le verbe pouvoir à la 3ème pers. du sing. du conditionnel présent + être + assez courageux pour) oser voler l’argent d’Harpagon, mais à vrai dire, mon cher ami, je le loue profondément dans mon cœur.

    Gérondif : Lien internet


    Je continue mes propositions dans un nouveau message



    Réponse: L'avare sous la côte de Valère de jij33, postée le 13-01-2014 à 14:13:41 (S | E)
    Et voici la suite... Votre récit me semble bien long, Tya ! J'espère que l'ami de Valère aura plaisir à lire sa lettre jusqu'au bout !...

    Quand je suis passé par la chambre de monsieur Harpagon, il m’a vu et m’a injurié en tirant mon bras envers la chambre (ceci n'apporte rien à votre récit : à supprimer). Il frémissait de colère et m’a hurlé (plutôt le verbe "demander" au passé composé, auquel vous pouvez ajouter le gérondif "en hurlant") pourquoi j’ai abusé de son ("bonté" est un nom féminin) bonté et l’ai trahi. J’étais affolé. Je croyais qu’il a (auxiliaire à l'imparfait déjà découvert l’affaire d’Élise et moi, ainsi j’ai décidé d’être franc. Je lui ai dit que c’était le dieu qui portait les excuses de tout ce qu’il faisait faire, (simplifier : verbe "excuser" à l'imparfait suivi de "tout"), c’était l’amour qui me poussait (on dit : pousser à) de poursuivre le trésor le plus précieux du monde pour moi. Mais il semblait de plus en plus fâché et m’appelait un « voleur ». Mon cher ami, un voleur ! Bien qu’Élise soit un trésor unique, je ne suis pas un voleur. Nous étions aimés (verbe "s'aimer" (forme pronominale) à l'imparfait) mutuellement. Je lui (pronom COD) priais de m’accorder Élise, parce que nous (il s'agit du verbe s'engager, forme pronominale : il faut donc répéter le pronom) étions déjà engagés d’être l’un à l’autre à jamais. Mais il m’a demandé si j’avais la touché (si je l'...) et pourquoi je me brouillais sa fille (peu clair : à supprimer). Finalement, il a compris que sa fille et moi avait (sujets : sa fille et moi", donc accord à revoir) signé une promesse de mariage et j’ai compris qu’il a tenu (imparfait) pour certain que j’étais le voleur qui a volé (à remplacer par une préposition) sa cassette.



    Réponse: L'avare sous la côte de Valère de jij33, postée le 13-01-2014 à 15:06:22 (S | E)
    Et voici la dernière partie ! je vais me permettre de supprimer des phrases, sans lesquelles votre récit reste tout à fait compréhensible...

    Monsieur Harpagon débordait de colère et invectivait Élise. Mon amour, ma charmante, ma pauvre Élise a pleuré aux genoux d’Harpagon. Même le ciel ira (verbes "pardonner" et "permettre" au conditionnel passé) pardonner notre faute et permettre notre amour en voyant cette scène. Mais l’Harpagon était un homme sans entrailles. Il avait le cœur le plus dur du monde qui (remplacer par une conjonction de coordination) n’aimait rien que son argent.
    En (autre préposition) ce moment-là, la porte était ouverte et un homme est entré. C’était (article défini) seigneur Anselme qui serait (mieux : allait devenir) le mari d’Élise. Je devrais lui (verbe devoir au conditionnel passé + pronom personnel COD) détester, mais je ne savais pourquoi je me sentais d’une intimité (mal dit : "proche de lui") quand je l’ai vu. Monsieur Harpagon lui a dit ceux qui ont passé et hurlé que je devais être chargé Harpagon lui a dit que j'allais être inculpé du vol de sa cassette . Quelle humiliation ! Lorsqu’ils sauront ce que je suis... En mettant fièrement mon chapeau, j’ai leur déclaré (ordre des mots : pronom sujet non élidé + leur + passé composé) que j’étais le fils d’un homme à qui tout Naples est connu (virgule) nommé don Thomas d’Alburcy. Seigneur Anselme m’a contesté immédiatement. Il semblait qu’il bien connaissait (placer l'adverbe ici) mon père. Il croyait que j’ai menti (imparfait) parce qu’il a (imparfait) entendu dit (à l'infinitif) que don Thomas d’Alburcy (employer "périr en mer seize ans plus tôt", en conjuguant le verbe au plus-que-parfait)avec ses enfants et sa femme ont déjà décédé dans un accident sur la mer au moins seize ans avant. Oui, c’était vrai, je continuais (dans une proposition incise, on pratique l'inversion du sujet : "continuais-je"), mon père, ma mère, ma sœur et moi, nous avons rencontré un naufrage, mais moi, je lui disais, (inversion du sujet dans la proposition incise) le fils de don Thomas d’Alburcy, je fut (sujet ? "je") sauvé par un vaisseau espagnol. Le capitaine espagnol, un cachet de rubis de mon père et un bracelet d’agate de ma mère, tous peuvent assurer que ce que j’ai dit est la vérité. Je lui disais.

    Soudainement, Mariane a cri (passé composé de "crier"). Elle m’a embarrassé (confusion entre "embrasser et embarrasser ?) en disant qu’elle est (imparfait) ma sœur. A vrai dire, je me sens encore bien touché (plutôt "ému") maintenant quand je me souviens de revoir ma sœur sous telle situation (peu clair : "quand je me souviens de nos retrouvailles" ?. Pauvre Mariane, elle a sauvé (passé composé passif) avec maman par les pirates et d’être esclave elles + passé composé de "être" + esclaves) pour (autre préposition, exprimant la durée) dix ans. En ce moment-là, (article défini)seigneur Anselme nous a embarrassés brutalement. Il a devenu (verbe être, à l'imparfait) fort ému. « O ciel ! Quels sont les traits de ta puissance ! »Il a crié (pas de majuscule et inversion du sujet dans cette proposition incise) excité. Oui, mon ami, que le ciel fasse le miracle ! (article) Seigneur Anselme était mon père ! J’ai trouvé (plutôt le verbe "retrouver") mon père, ma mère et ma sœur dans une même journée !
    Qui a volé la cassette ? Il n’est plus (mieux : cela n'a plus...) d’importance. Après tout, monsieur Harpagon a trouvé sa cassette sans avoir perdu un écu. Élise et moi, Mariane et Cléante, nous allons (il manque un pronom) marier. Grâce au ciel !
    Comme le temps me paraît longtemps (adjectif à la place de l'adverbe) depuis que je ne te voir (accord sujet/verbe) plus! Mon cher ami, je t’écrire (présent et non infinitif) pour t’inviter à participer (on dit "participer à")la cérémonie de notre mariage. Il sera organisé le samedi prochain dans le château de mon père. Tu me manques, mon cher ami. Je bien souhaite de te voie (infinitif) !
    Je t'embarrasse (verbe embrasser !)
    Valère

    C'est fini pour moi ! Et maintenant, c'est à vous, Tya !




    Réponse: L'avare sous la côte de Valère de tya, postée le 13-01-2014 à 15:15:33 (S | E)
    Bonjour jij33, voici ma correction! Je sais cette lettre est longue, mais je ne peut pas la couper parce que je suis demandé d'écrire cette lettre d'environ 3 pages à la fonte 12. C'est la première fois je écrit un texte si long, c'est vraiment un défi pour moi...je suis désolée si c'est un peu trop long... :)

    Mon cher ami,
    Excuse-moi de ne pas t’avoir écrit plus tôt . J’ai affronté plusieurs événements et je ne peux pas attendre pour partager cette grande joie avec toi, mon cher ami. Je suis maintenant le mari d’une charmante jeune femme, Élise, ma bien-aimée, et j’ai trouvé mon père et ma sœur que je croyais qu’ils soient décédés! Il n’appartient qu’au ciel de faire des miracles! Je suis bienheureux maintenant, mon cher ami !

    Te souviens-tu que je t’ai dit que j’ai sauvé une belle fille de l’eau ? Je suis tombé amoureux d’elle au premier coup d'œil. Pour la voir, j’ai revêtu l’emploi de domestique de son père. Mon cher ami, être domestique chez monsieur Harpagon est une torture, crois-moi. L’excès de son avarice, et la manière austère dont il vit avec ses enfants… sur ce chapitre, nous ne pourrons jamais dire de bien. Afin d’acquérir sa tendresse, je me déguise en sympathie pour lui plaire et joue avec lui ce personnage tous les jours. C’est sans doute le dieu de l’amour qui me permet de tout endurer.

    Monsieur Harpagon, à vrai dire, est un esclave pitoyable de l’argent. Il voulait donner sa fille, ma chère Élise, en mariage au seigneur Anselme. Quel père dans ce monde veut marier sa chère fille à un homme presque de son âge ? La raison ? Sans dot ! Mon cher ami, je ne le croyais pas non plus quand je l’entendais mais c’est vrai. Oui, c’est la raison. Ridicule ? Mais cette raison est si parfaite pour monsieur Harpagon qu’il veut q’ elle l’épouse immédiatement. Dédaignant cette grande inégalité d’âge, d’humeur et de sentiments, il faisait de ce mariage une vraie tragédie. Quel père ! Mais qu’est-ce que je peux faire ? Je suis seulement un intendant! Je ne peux rien faire pour sauver mon amour encore une fois. Je dois être modéré dans mes paroles et le persuader euphémiquement. En même temps, mon cœur est brisé. Mon cher ami, que je souhaite je pouvoir fuir avec elle !
    Pour monsieur Harpagon lui-même, il est tombé amoureux de la même femme que son fils. Et cette jeune fille, j’ai compris plus tard, c’est ma sœur. Quelle plaisanterie! Pour fixer le mariage entre mon amour et le seigneur Anselme et le mariage entre lui-même et Mariane, monsieur Harpagon a décidé de tous les inviter à diner. C’est rare. Mais nous pouvons prévoir qu’il n’y a ni collation ni bons plats, même le vin est limité.

    Le même jour, dans l’après-midi, un grand accident est arrivé. Monsieur Harpagon a perdu sa cassette, une cassette contient dix mille écus ! Il est presque fou d’avoir perdu tellement d’argent. Si tu avais vu son visage ! Peu de temps après, un commissaire est venu pour trouver le voleur. Je n’ai aucune idée de qui pourrait être assez courageux pour oser voler l’argent d’Harpagon, mais à vrai dire, mon cher ami, je le loue profondément dans mon cœur.

    Quand je suis passé par la chambre de monsieur Harpagon, il m’a vu et m’a injurié. Il frémissait de colère et m’a demandé pourquoi j’ai abusé de sa bonté et l’ai trahi. J’étais affolé. Je croyais qu’il avait déjà découvert l’affaire d’Élise et moi, ainsi j’ai décidé d’être franc. Je lui ai dit que c’était le dieu qui tout excusait, c’était l’amour qui me poussait à poursuivre le trésor le plus précieux du monde pour moi. Mais il semblait de plus en plus fâché et m’appelait un « voleur ». Mon cher ami, un voleur ! Bien qu’Élise soit un trésor unique, je ne suis pas un voleur. Nous nous aimions mutuellement. Je le priais de m’accorder Élise, parce que nous nous étions déjà engagés d’être l’un à l’autre à jamais. Mais il m’a demandé si je l’avais la touchée. Finalement, il a compris que sa fille et moi avaient signé une promesse de mariage et j’ai compris qu’il tenait pour certain que j’étais le voleur de sa cassette.

    Merci encore! Bonne journée!



    Réponse: L'avare sous la côte de Valère de tya, postée le 13-01-2014 à 15:17:36 (S | E)
    Je vais corriger la dernière partie toute de suite! Merci beaucoup!!!



    Réponse: L'avare sous la côte de Valère de jij33, postée le 13-01-2014 à 15:39:54 (S | E)
    Hello, Tya !
    Je sais cette lettre est longue, mais je ne peux pas la couper parce que (je suis demandé) l'on m'a demandé d'écrire cette lettre d'environ 3 pages à la fonte 12. C'est la première fois (je écrit) que j'écris un texte si long, c'est vraiment un défi pour moi...je suis désolée si c'est un peu trop long...

    Mon cher ami,
    Excuse-moi de ne pas t’avoir écrit plus tôt . J’ai affronté plusieurs événements et je ne peux pas attendre pour partager cette grande joie avec toi, mon cher ami. Je suis maintenant le mari d’une charmante jeune femme, Élise, ma bien-aimée, et j’ai trouvé mon père,ma mère et ma sœur que je croyais qu’ils soient décédés (que je croyais morts)! Il n’appartient qu’au ciel de faire des miracles! Je suis bienheureux maintenant, mon cher ami ! Valère retrouve toute sa famille : n'oubliez pas la mère...

    Te souviens-tu que je t’ai dit que j’ai sauvé une belle fille de l’eau ? Je suis tombé amoureux d’elle au premier coup d'œil. Pour la voir, j’ai revêtu l’emploi de domestique de son père. Mon cher ami, être domestique chez monsieur Harpagon est une torture, crois-moi. L’excès de son avarice, et la manière austère dont il vit avec ses enfants… sur ce chapitre, nous ne pourrons jamais dire de bien. Afin d’acquérir sa tendresse, je me déguise en sympathie pour lui plaire et joue avec lui ce personnage tous les jours. C’est sans doute le dieu de l’amour qui me permet de tout endurer.

    Monsieur Harpagon, à vrai dire, est un esclave pitoyable (il vaut mieux placer l'adjectif avant le nom) de l’argent. Il voulait donner sa fille, ma chère Élise, en mariage au seigneur Anselme. Quel père dans ce monde veut marier sa chère fille à un homme presque de son âge ? La raison ? Sans dot ! Mon cher ami, je ne le croyais pas non plus quand je l’entendais mais c’est vrai. Oui, c’est la raison. Ridicule ? Mais cette raison est si parfaite pour monsieur Harpagon qu’il veut q’ (erreur déjà signalée...) elle l’épouse immédiatement. En dédaignant cette grande inégalité d’âge, d’humeur et de sentiments, il faisait de ce mariage une vraie tragédie. Quel père ! Mais qu’est-ce que je peux faire ? Je suis seulement un intendant! Je ne peux rien faire pour sauver mon amour encore une fois. Je dois être modéré dans mes paroles et le persuader euphémiquement. En même temps, mon cœur est brisé. Mon cher ami, que je souhaite je pouvoir fuir avec elle !
    Pour monsieur Harpagon lui-même, il est tombé amoureux de la même femme que son fils. Et cette jeune fille, j’ai compris plus tard, c’est ma sœur. Quelle plaisanterie! Pour fixer le mariage entre mon amour et le seigneur Anselme et le mariage entre lui-même et Mariane, monsieur Harpagon a décidé de tous les inviter à diner. C’est rare. Mais nous pouvons prévoir qu’il n’y a ni collation ni bons plats, même le vin est limité.

    Le même jour, dans l’après-midi, un grand accident est arrivé. Monsieur Harpagon a perdu sa cassette, une cassette contient ("qui contient" ou "contenant") dix mille écus ! Il est presque fou d’avoir perdu tellement d’argent. Si tu avais vu son visage ! Peu de temps après, un commissaire est venu pour trouver le voleur. Je n’ai aucune idée de qui pourrait être assez courageux pour oser voler l’argent d’Harpagon, mais à vrai dire, mon cher ami, je le loue profondément dans mon cœur.

    Quand je suis passé par la chambre de monsieur Harpagon, il m’a vu et m’a injurié. Il frémissait de colère et m’a demandé pourquoi j’ai abusé de sa bonté et l’ai trahi. J’étais affolé. Je croyais qu’il avait déjà découvert l’affaire d’Élise et moi (un peu maladroit : vous pourriez dire "mon amour pour Elise"), ainsi (plutôt : aussi) j’ai décidé d’être franc. Je lui ai dit que c’était le dieu qui tout (pronom après le verbe) excusait, c’était l’amour qui me poussait à poursuivre le trésor le plus précieux du monde pour moi. Mais il semblait de plus en plus fâché et m’appelait un « voleur ». Mon cher ami, un voleur ! Bien qu’Élise soit un trésor unique, je ne suis pas un voleur. Nous nous aimions mutuellement. Je le priais de m’accorder Élise, parce que nous nous étions déjà engagés d’être l’un à l’autre à jamais. Mais il m’a demandé si je l’avais la touchée. Finalement, il a compris que sa fille et moi avaient (sujets : sa fille et moi : le verbe doit donc être à la première personne du pluriel) signé une promesse de mariage et j’ai compris qu’il tenait pour certain que j’étais le voleur de sa cassette.

    Voilà pour cette partie ! C'est beaucoup mieux, mais il reste encore quelques retouches à apporter...



    Réponse: L'avare sous la côte de Valère de tya, postée le 13-01-2014 à 15:50:05 (S | E)
    Merci beaucoup pour votre patience jij33! Vous êtes très très gentil(le)!! Thank you sooooo much!!

    Voci ma correction pour la dernière partie...

    Monsieur Harpagon débordait de colère et invectivait Élise. Mon amour, ma charmante, ma pauvre Élise a pleuré aux genoux d’Harpagon. Même le ciel aurait pardonné notre faute et permis notre amour en voyant cette scène. Mais Harpagon était un homme sans entrailles. Il avait le cœur le plus dur du monde et n’aimait rien que son argent.

    A ce moment-là, la porte était ouverte et un homme est entré. C’était le seigneur Anselme qui allait devenir le mari d’Élise. J’aurais dû le détester, mais je ne savais pourquoi je me sentais proche de lui quand je l’ai vu. Harpagon lui a dit que j'allais être inculpé du vol de sa cassette. Quelle humiliation ! Lorsqu’ils sauront ce que je suis... En mettant fièrement mon chapeau, je leur ai déclaré que j’étais le fils d’un homme à qui tout Naples est connu, nommé don Thomas d’Alburcy. Seigneur Anselme a contesté immédiatement. Il semblait qu’il connaissait bien mon père. Il croyait que j’ai mentais parce qu’il avait entendu dire que don Thomas d’Alburcy avait péri en mer seize ans plus tôt avec ses enfants et sa femme. Oui, c’était vrai, continuais-je, mon père, ma mère, ma sœur et moi, nous avons rencontré un naufrage, mais moi, lui disais-je, le fils de don Thomas d’Alburcy, je fus sauvé par un vaisseau espagnol. Le capitaine espagnol, un cachet de rubis de mon père et un bracelet d’agate de ma mère, tous peuvent assurer que ce que j’ai dit est la vérité.

    Soudainement, Mariane a crié. Elle m’a embrassé en disant qu’elle était ma sœur. A vrai dire, je me sens encore bien ému maintenant quand je me souviens de nos retrouvailles. Pauvre Mariane, elle a été sauvée avec maman par les pirates et elles ont été esclaves pendant dix ans. A ce moment-là, le seigneur Anselme nous a embrassés brutalement. Il était fort ému. « O ciel ! Quels sont les traits de ta puissance ! » a crié-il excité. Oui, mon ami, que le ciel fasse le miracle ! Le Seigneur Anselme était mon père ! J’ai retrouvé mon père, ma mère et ma sœur dans une même journée !

    Qui a volé la cassette ? Cela n’est plus d’importance. Après tout, monsieur Harpagon a trouvé sa cassette sans avoir perdu un écu. Élise et moi, Mariane et Cléante, nous allons tous marier. Grâce au ciel !
    Comme le temps me paraît long depuis que je ne te vois plus! Mon cher ami, je t’écris pour t’inviter à participer à la cérémonie de notre mariage. Il sera organisé samedi prochain dans le château de mon père. Tu me manques, mon cher ami. Je souhaite te voir!
    Je t'embrasse
    Valère

    Bonne journée!



    Réponse: L'avare sous la côte de Valère de tya, postée le 13-01-2014 à 15:59:38 (S | E)
    Voici la correction de la première partie. Merci Jij33! You really saved my life!!

    Mon cher ami,
    Excuse-moi de ne pas t’avoir écrit plus tôt . J’ai affronté plusieurs événements et je ne peux pas attendre pour partager cette grande joie avec toi, mon cher ami. Je suis maintenant le mari d’une charmante jeune femme, Élise, ma bien-aimée, et j’ai trouvé mon père, ma mère et ma sœur que je croyais que je croyais morts! Il n’appartient qu’au ciel de faire des miracles! Je suis bienheureux maintenant, mon cher ami !
    Te souviens-tu que je t’aie dit que j’ai sauvé une belle fille de l’eau ? Je suis tombé amoureux d’elle au premier coup d'œil. Pour la voir, j’ai revêtu l’emploi de domestique de son père. Mon cher ami, être domestique chez monsieur Harpagon est une torture, crois-moi. L’excès de son avarice, et la manière austère dont il vit avec ses enfants… sur ce chapitre, nous ne pourrons jamais dire de bien. Afin d’acquérir sa tendresse, je me déguise en sympathie pour lui plaire et joue avec lui ce personnage tous les jours. C’est sans doute le dieu de l’amour qui me permet de tout endurer.

    Monsieur Harpagon, à vrai dire, est un pitoyable esclave de l’argent. Il voulait donner sa fille, ma chère Élise, en mariage au seigneur Anselme. Quel père dans ce monde veut marier sa chère fille à un homme presque de son âge ? La raison ? Sans dot ! Mon cher ami, je ne le croyais pas non plus quand je l’entendais mais c’est vrai. Oui, c’est la raison. Ridicule ? Mais cette raison est si parfaite pour monsieur Harpagon qu’il veut qu’ elle l’épouse immédiatement. En dédaignant cette grande inégalité d’âge, d’humeur et de sentiments, il faisait de ce mariage une vraie tragédie. Quel père ! Mais qu’est-ce que je peux faire ? Je suis seulement un intendant! Je ne peux rien faire pour sauver mon amour encore une fois. Je dois être modéré dans mes paroles et le persuader euphémiquement. En même temps, mon cœur est brisé. Mon cher ami, que je souhaite pouvoir fuir avec elle !
    Pour monsieur Harpagon lui-même, il est tombé amoureux de la même femme que son fils. Et cette jeune fille, j’ai compris plus tard, c’est ma sœur. Quelle plaisanterie! Pour fixer le mariage entre mon amour et le seigneur Anselme et le mariage entre lui-même et Mariane, monsieur Harpagon a décidé de tous les inviter à diner. C’est rare. Mais nous pouvons prévoir qu’il n’y a ni collation ni bons plats, même le vin est limité.

    Le même jour, dans l’après-midi, un grand accident est arrivé. Monsieur Harpagon a perdu sa cassette, une cassette qui contient dix mille écus ! Il est presque fou d’avoir perdu tellement d’argent. Si tu avais vu son visage ! Peu de temps après, un commissaire est venu pour trouver le voleur. Je n’ai aucune idée de qui pourrait être assez courageux pour oser voler l’argent d’Harpagon, mais à vrai dire, mon cher ami, je le loue profondément dans mon cœur.

    Quand je suis passé par la chambre de monsieur Harpagon, il m’a vu et m’a injurié. Il frémissait de colère et m’a demandé pourquoi j’ai abusé de sa bonté et l’ai trahi. J’étais affolé. Je croyais qu’il avait découvert mon amour pour Elise, aussi j’ai décidé d’être franc. Je lui ai dit que c’était tout le dieu qui excusait, c’était l’amour qui me poussait à poursuivre le trésor le plus précieux du monde pour moi. Mais il semblait de plus en plus fâché et m’appelait un « voleur ». Mon cher ami, un voleur ! Bien qu’Élise soit un trésor unique, je ne suis pas un voleur. Nous nous aimions mutuellement. Je le priais de m’accorder Élise, parce que nous nous étions déjà engagés d’être l’un à l’autre à jamais. Mais il m’a demandé si je l’avais la touchée. Finalement, il a compris que sa fille et moi avions signé une promesse de mariage et j’ai compris qu’il tenait pour certain que j’étais le voleur de sa cassette.



    Réponse: L'avare sous la côte de Valère de jij33, postée le 13-01-2014 à 16:23:15 (S | E)
    Mais non, Tya, je ne vous sauve pas la vie ! Mais je vais aller tout de suite faire une longue promenade pour oxygéner mon cerveau, afin de sauver la mienne!

    Mon cher ami,
    Excuse-moi de ne pas t’avoir écrit plus tôt . J’ai affronté plusieurs événements et je ne peux pas attendre pour partager cette grande joie avec toi, mon cher ami. Je suis maintenant le mari d’une charmante jeune femme, Élise, ma bien-aimée, et j’ai trouvé mon père, ma mère et ma sœur que je croyais que je croyais morts! Il n’appartient qu’au ciel de faire des miracles! Je suis bienheureux maintenant, mon cher ami !
    Te souviens-tu que je t’aie dit que j’ai sauvé une belle fille de l’eau ? Je suis tombé amoureux d’elle au premier coup d'œil. Pour la voir, j’ai revêtu l’emploi de domestique de son père. Mon cher ami, être domestique chez monsieur Harpagon est une torture, crois-moi. L’excès de son avarice, et la manière austère dont il vit avec ses enfants… sur ce chapitre, nous ne pourrons jamais dire de bien. Afin d’acquérir sa tendresse, je me déguise en sympathie pour lui plaire et joue avec lui ce personnage tous les jours. C’est sans doute le dieu de l’amour qui me permet de tout endurer.

    Monsieur Harpagon, à vrai dire, est un pitoyable esclave de l’argent. Il voulait donner sa fille, ma chère Élise, en mariage au seigneur Anselme. Quel père dans ce monde veut marier sa chère fille à un homme presque de son âge ? La raison ? Sans dot ! Mon cher ami, je ne le croyais pas non plus quand je l’entendais mais c’est vrai. Oui, c’est la raison. Ridicule ? Mais cette raison est si parfaite pour monsieur Harpagon qu’il veut qu’ elle l’épouse immédiatement. En dédaignant cette grande inégalité d’âge, d’humeur et de sentiments, il faisait de ce mariage une vraie tragédie. Quel père ! Mais qu’est-ce que je peux faire ? Je suis seulement un intendant! Je ne peux rien faire pour sauver mon amour encore une fois. Je dois être modéré dans mes paroles et le persuader euphémiquement. En même temps, mon cœur est brisé. Mon cher ami, que je souhaite pouvoir fuir avec elle !
    Pour monsieur Harpagon lui-même, il est tombé amoureux de la même femme que son fils. Et cette jeune fille, j’ai compris plus tard, c’est ma sœur. Quelle plaisanterie! Pour fixer le mariage entre mon amour et le seigneur Anselme et le mariage entre lui-même et Mariane, monsieur Harpagon a décidé de tous les inviter à diner. C’est rare. Mais nous pouvons prévoir qu’il n’y a ni collation ni bons plats, même le vin est limité.

    Le même jour, dans l’après-midi, un grand accident est arrivé. Monsieur Harpagon a perdu sa cassette, une cassette qui contient dix mille écus ! Il est presque fou d’avoir perdu tellement d’argent. Si tu avais vu son visage ! Peu de temps après, un commissaire est venu pour trouver le voleur. Je n’ai aucune idée de qui pourrait être assez courageux pour oser voler l’argent d’Harpagon, mais à vrai dire, mon cher ami, je le loue profondément dans mon cœur.

    Quand je suis passé par la chambre de monsieur Harpagon, il m’a vu et m’a injurié. Il frémissait de colère et m’a demandé pourquoi j’ai abusé de sa bonté et l’ai trahi. J’étais affolé. Je croyais qu’il avait découvert mon amour pour Elise, aussi j’ai décidé d’être franc. Je lui ai dit que c’était tout le dieu qui excusait tout, c’était l’amour qui me poussait à poursuivre le trésor le plus précieux du monde pour moi. Mais il semblait de plus en plus fâché et m’appelait un « voleur ». Mon cher ami, un voleur ! Bien qu’Élise soit un trésor unique, je ne suis pas un voleur. Nous nous aimions mutuellement. Je le priais de m’accorder Élise, parce que nous nous étions déjà engagés d’être l’un à l’autre à jamais. Mais il m’a demandé si je l’avais la (supprimer ce mot) touchée. Finalement, il a compris que sa fille et moi avions signé une promesse de mariage et j’ai compris qu’il tenait pour certain que j’étais le voleur de sa cassette.



    Réponse: L'avare sous la côte de Valère de tya, postée le 14-01-2014 à 03:18:43 (S | E)
    Bonjour jij33! J'ai corrigé les fautes Je vous remercie pour votre aide et la correction!
    Bonne journée!




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