La morale -aide
Cours gratuits > Forum > Apprendre le français || En basMessage de jerbiadel posté le 02-01-2014 à 14:47:32 (S | E | F)
Bonjour,Voulez vous m’aider à corriger ce sujet, s'il vous plaît ?
Sujet : l’un des rôles de l’école est d’enseigner la morale.
Un des plus grandes énigmes qui se pose de nos jours, l’école doit-il jouer le rôle d’enseigner la morale ? Quels sont les causes et les limites qu’on donne aux enseignants pour jouer ce rôle ?
Une première position reconnait que l’enseignement de la morale à l’école c’est la tache la plus primordiale des enseignants. Ces gens évoquent plusieurs raisons pour soutenir leurs opinions. En effet, ils considèrent que l’enfant nait et grandi rien que pour être un bon citoyen. Il se conduit aux normes et aux valeurs fondées par la société, par la religion, par les coutumes, par la culture, les lois, par les origines,… et par les traditions.
Une deuxième position rejette cette idée et suggère aux enseignants l’obligation de se limiter à éduquer les sciences pures, les langues, la littérature, les mathématiques, la philosophie …et plus généralement de s’occuper de donner à leurs élèves une formation académique afin qu’ils puissent jouer, dans la future, leurs rôle dans le développement de la société qu’ils appartiennent. Pour eux la société est la seule responsable du rôle dit éthique.
Enfin, la troisième réclame qu’il devait avoir une coopération bilatérale entre l’école et la société capable de jouer un rôle de cataplasme pour les questions les plus problématiques. Selon cette position une éducation propre ne peut être construite que lorsque le sujet qui l’a reçoit est capable de faire la différence entre les valeurs fondamentales, entre le bien et le mal.
Personnellement, je vois que l’école est un des plus importants établissements de la société qui joue des rôles fondamentaux, au présent ainsi qu’à la venir, dans vie de l’humanité. Parmi ces importants rôles est celui d’enseigner la morale. Mais le problème qui se pose, quels sont les limites qu’on doit respectés dans ce rôle ?
Certes, l’enseignement des sciences : mathématiques, littératures, philosophie … etc, est de très grande importance mais en se limitant a ces faits on craint de former que des automates qui ne seront pas capables de différencier entre le mal et le bien, entre le juste et l’injuste.
C’est vrai aussi que si notre éducation se base essentiellement sur l’enseignement de la morale provoquera des énormes problèmes tels que l’extrémisme religieux, la non liberté de l’Homme, la création d’un modèles d’état, …etc.
Pour conclure, j’estime que l’idée la plus raisonnable c’est de créer une atmosphère saine et favorable entre parents et enseignants afin de s’on sortir de ce conflit et de trouver le bon sens. C’est-a-dire trouves des solutions raisonnables et réalisables à la suite d’une véritable discussion sereine. En outre, ces solutions doivent être l’expression d’un compromis fiable légitime et juste.
Je vous en remercie.
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Modifié par mariebru le 03-01-2014 13:46
Réponse: La morale -aide de jij33, postée le 02-01-2014 à 21:51:37 (S | E)
Bonsoir
Voici quelques indications pour vous aider à corriger. Je ne suis pas sûre d'avoir le temps d'aller jusqu'au bout...
Un des plus grandes énigmes qui se pose de nos jours (ajouter le verbe être à la 3ème personne du singulier et remplacer la virgule par le signe deux-points), l’école doit-il (accord)
Une première position reconnait que l’enseignement de la morale à l’école (virgule) c’est la tache (accent)
Une deuxième position rejette cette idée et suggère aux enseignants l’obligation de se limiter à éduquer (verbe de la famille d' "enseignant") les sciences pures, les langues, la littérature, les mathématiques, la philosophie …et plus généralement de s’occuper de donner à leurs élèves une formation académique afin qu’ils puissent jouer, dans la future , leurs rôle dans le développement de la société
Enfin, la troisième (la troisième quoi ? Incompréhensible) réclame qu’il devait avoir une coopération bilatérale entre l’école et la société capable de jouer un rôle de cataplasme pour les questions les plus problématiques (reformuler de à : phrase manquant de clarté). Selon cette position une éducation propre (autre adjectif) ne peut être construite que lorsque le sujet qui l’a (en un seul mot) reçoit est capable de faire la différence entre les valeurs fondamentales, entre le bien et le mal.
Réponse: La morale -aide de alienor64, postée le 03-01-2014 à 19:06:41 (S | E)
Bonsoir Jerbiadel
Après Jij33, je continue !
Personnellement, je vois que l’école est un des plus importants établissements( " établissements" de quoi? à préciser) de(erreur; préposition) la société(mal placé dans la phrase) qui joue des(à mettre au singulier ainsi que le nom et l'adjectif)) rôles fondamentaux, au présent ainsi qu’à la venir(orthographe), dans vie de l’humanité. Parmi ces importants(inverser: nom + adjectif) rôles est(autre verbe) celui d’enseigner la morale. Mais le problème qui se pose, quels(erreur : accord) sont les limites qu’on doit respectés(erreur ) dans ce rôle ?( Cette phrase est mal construite avec un déterminant interrogatif dans une proposition affirmative : à reformuler)
Certes, l’enseignement des sciences : mathématiques, littératures(singulier), philosophie … etc( à éviter), est de très grande importance mais en se limitant a(accent) ces faits(autre mot ) on craint de(tournure négative incorrecte) former que des automates qui ne seront pas capables de différencier entre( à enlever :" différencier " est transitif + mettre articles partitifs et enlever la conjonction) le mal et le bien, entre(idem) le juste et l’injuste.
C’est vrai( la tournure n'est pas très heureuse ! Peut être mieux formulée) aussi que si notre éducation se base essentiellement sur l’enseignement de la morale provoquera(il manque un sujet à ce verbe) des(élision) énormes problèmes tels que l’extrémisme religieux, la non liberté de l’Homme, la création d’un modèles(singulier) d’état, …etc(voir plus haut).
Pour conclure, j’estime que l’idée la plus raisonnable(virgule) c’est de créer une atmosphère saine et favorable entre parents et enseignants afin de s’on(erreur; vous auriez dû mettre un pronom réfléchi, mais ici, il est inutile) sortir de ce conflit et de trouver le bon sens. C’est-a(accent)-dire trouves(erreur) des solutions raisonnables et réalisables à la suite d’une véritable discussion sereine. En outre, ces solutions doivent être l’expression d’un compromis fiable(virgule) légitime et juste.
Bonne soirée !
Réponse: La morale -aide de jerbiadel, postée le 04-01-2014 à 10:29:29 (S | E)
Bonjour à tous, voila une correction que je viens de faire en s’appuyant les conseilles de madame alienor64 et ce celle de jij33 que je les remercie énormément de ses précieuses consignes, de leur volonté et leur sa patience. Encore merci et bravo.
J’espère que je me suis arrivé a mieux rédiger le sujet
Un des plus grandes énigmes qui se pose de nos jours est : l’école doit-elle enseigner la morale ? Quelles sont les raisons et les limites que la société les accorde aux enseignants pour jouer ce rôle ?
Une première position reconnait que l’enseignement de la morale à l’école, c’est la tache primordiale des enseignants. Les gens soutenants cette idée évoquent plusieurs raisons. En effet, ils considèrent que l’enfant nait et a grandi seulement pour être un bon citoyen qui se conduit selon les normes et les valeurs fondées par la société, par la religion, par les coutumes, par la culture, les lois, par les origines et par les traditions.
Une deuxième position rejette cette idée et suggère aux enseignants l’obligation de se limiter à enseigner les sciences pures, les langues, la littérature, les mathématiques, la philosophie et plus généralement de s’occuper de donner à leurs élèves une formation académique afin qu’ils puissent jouer, au future, leurs rôle dans le développement de la société à qu’ils appartiennent. Pour eux la société est la seule responsable du rôle dit éthique.
Enfin, la troisième position réclame qu’il devait avoir une coopération bilatérale entre l’école et la société afin de trouver des solutions aux questions les plus problématiques. Selon cette position une éducation efficace ne peut être construite que lorsque le sujet qui la reçoit est capable de faire la différence entre les valeurs fondamentales, entre le bien et le mal.
Personnellement, je vois que parmi les rôles les plus importants de l’école est celui d’enseigner la morale. Mais la question qui se pose, faut-il y respectées certaines limites ?
Certes, l’enseignement des sciences fondamentales, les mathématiques, la littérature et la philosophie, est de très grande importance mais se limiter à ces disciplines ne former que des automates qui ne seront pas capables de reconnaitre le mal et le bien, le juste et l’injuste.
De même( Ici j'ai un doute ) si notre éducation se base essentiellement sur l’enseignement de la morale, elle provoquera plusieurs problèmes tels que l’extrémisme religieux, la non-liberté de l’Homme et la création d’un modèle d’état.
Pour conclure, j’estime que l’idée la plus raisonnable, c’est de créer une atmosphère saine et favorable entre parents et enseignants afin de sortir de ce conflit et de trouver le bon sens. C’est-à-dire trouver des solutions raisonnables et réalisables à la suite d’une véritable discussion sereine. En outre, ces solutions doivent être l’expression d’un compromis fiable, légitime et juste.
Réponse: La morale -aide de jij33, postée le 04-01-2014 à 12:19:02 (S | E)
Bonjour jerbiadel
C'est vraiment mieux ! Encore un petit effort... et ce sera très bien. Ma première lecture ayant été un peu trop rapide, je ne vous ai pas signalé, au début de votre texte, deux erreurs que vous allez devoir corriger cette fois...
Un (erreur non vue à première lecture : se rapporte à énigme, au féminin) des plus grandes énigmes qui se pose (accord avec "énigmes", donc au pluriel) de nos jours est : l’école doit-elle enseigner la morale ? Quelles sont les raisons et les limites que la société
Une première position reconnait que l’enseignement de la morale à l’école, c’est la tache (accent) primordiale des enseignants. Les gens soutenants (participe présent, invariable)cette idée évoquent plusieurs raisons. En effet, ils considèrent que l’enfant nait et a grandi (présent de l'indicatif, 3ème personne du singulier) seulement pour être un bon citoyen qui se conduit selon les normes et les valeurs fondées par la société, par la religion, par les coutumes, par la culture, les lois, par les origines et par les traditions.
Une deuxième position rejette cette idée et suggère aux enseignants l’obligation de se limiter à enseigner les sciences pures, les langues, la littérature, les mathématiques, la philosophie et (virgule) plus généralement (virgule) de s’occuper de donner à leurs élèves une formation académique afin qu’ils puissent jouer, au future (vous avez sans doute voulu dire "dans le futur"), leurs (s'accorde avec rôle, singulier) rôle dans le développement de la société à qu (la préposition est bonne, mais il faut employer ensuite un relatif composé : lequel, laquelle, lesquels, lesquelles etc.)’ils appartiennent. Pour eux la société est la seule responsable du rôle dit éthique.
Enfin, la troisième position réclame qu’il devait (au présent, et il faut ajouter un pronom, que l'on trouve dans "il y a") avoir une coopération bilatérale entre l’école et la société afin de trouver des solutions aux questions les plus problématiques. Selon cette position (virgule) une éducation efficace ne peut être construite que lorsque le sujet qui la reçoit est capable de faire la différence entre les valeurs fondamentales, entre le bien et le mal.
Je laisse à alienor64 le soin de vous prodiguer ses conseils pour la suite. Il nous arrive de former équipe...
Bonne continuation.
Réponse: La morale -aide de alienor64, postée le 04-01-2014 à 12:48:25 (S | E)
Bonjour Jerbiadel
Après les indications judicieuses apportées par Jij pour la première partie de votre texte, voici la suite !
Personnellement, je vois que parmi les rôles les plus importants de l’école est(autre verbe: erreur déjà signalée) celui d’enseigner la morale. Mais la question qui se pose,(enlevez la virgule et mettez un verbe dont le sujet est "la question"et faites-le suivre de deux points explicatifs : ) faut-il y respectées(erreur: voir la règle : "quand deux verbes se suivent...") certaines limites ?
Certes, l’enseignement des sciences fondamentales, les(article partitif) mathématiques, la(idem) littérature et la (idem)philosophie, est de très grande importance mais se limiter à ces disciplines ne former(à conjuguer) que des automates qui ne seront pas capables de reconnaitre(accent) le mal et le bien, le juste et l’injuste.( Il est dommage que vous n'ayez pas continué avec le verbe " différencier " pour en comprendre la construction . On dit : " différencier une chose d'une autre chose " et " faire la différence entre une chose et une autre chose").
De même( Ici j'ai un doute ) si notre éducation se base essentiellement sur l’enseignement de la morale, elle provoquera( autre verbe : "pouvoir entraîner " par exemple ) plusieurs problèmes tels que l’extrémisme religieux, la non-liberté de l’Homme et la création d’un modèle d’état.
Pour conclure, j’estime que l’idée la plus raisonnable, c’est de créer une atmosphère saine et favorable entre parents et enseignants afin de sortir de ce conflit et de trouver le bon sens.(enlever ce point; autre ponctuation) C’est-à-dire trouver des solutions raisonnables et réalisables à la suite d’une véritable discussion sereine. En outre, ces solutions doivent être l’expression d’un compromis fiable, légitime et juste.
Bonne journée !
Réponse: La morale -aide de jerbiadel, postée le 04-01-2014 à 18:01:50 (S | E)
Bonjour à tous
d’Après les indications judicieuses apportées par Jij et par alienor64 j’ai reproduis mon texte, J’espère que je me suis arrivé a mieux rédiger le sujet encore merci de votre patience.
Une des plus grandes énigmes qui se posent de nos jours est : l’école doit-elle enseigner la morale ? Quelles sont les raisons et les limites que la société accorde aux enseignants pour jouer ce rôle ?
Une première position reconnait que l’enseignement de la morale à l’école, c’est la tâche primordiale des enseignants. Les gens soutenaient cette idée évoquent plusieurs raisons. En effet, ils considèrent que l’enfant nait et agrandit seulement pour être un bon citoyen qui se conduit selon les normes et les valeurs fondées par la société, par la religion, par les coutumes, par la culture, les lois, par les origines et par les traditions.
Une deuxième position rejette cette idée et suggère aux enseignants l’obligation de se limiter à enseigner les sciences pures, les langues, la littérature, les mathématiques, la philosophie et, plus généralement, de s’occuper de donner à leurs élèves une formation académique afin qu’ils puissent jouer, dans le futur, leur rôle dans le développement de la société à laquelle ils appartiennent. Pour eux la société est la seule responsable du rôle dit éthique.
Enfin, la troisième position réclame qu’il doit y avoir une coopération bilatérale entre l’école et la société afin de trouver des solutions aux questions les plus problématiques. Selon cette position, une éducation efficace ne peut être construite que lorsque le sujet qui la reçoit est capable de faire la différence entre les valeurs fondamentales, entre le bien et le mal.
Personnellement, je vois que l’école joue un rôle fondamental, au présent ainsi qu’à l’avenir, dans la vie de l’humanité. Un de ses rôles est d’enseigner la morale. Mais la question qui se pose, l’enseigner : faut-il y respecter certaines limites ?
Certes, l’enseignement des sciences fondamentales, mathématiques, littérature et philosophie, est de très grande importance mais se limiter à ces disciplines ne forment que des automates qui ne seront pas capables de différencier le mal et le bien, le juste et l’injuste.
De même si notre éducation se base essentiellement sur l’enseignement de la morale, elle peut entraîner plusieurs problèmes tels que l’extrémisme religieux, la non-liberté de l’Homme et la création d’un modèle d’état.
Pour conclure, j’estime que l’idée la plus raisonnable, c’est de créer une atmosphère saine et favorable entre parents et enseignants afin de sortir de ce conflit et de trouver le bon sens : C’est-à-dire trouver des solutions raisonnables et réalisables à la suite d’une véritable discussion sereine. En outre, ces solutions doivent être l’expression d’un compromis fiable, légitime et juste.
Bonne journée !
Réponse: La morale -aide de jij33, postée le 04-01-2014 à 18:36:32 (S | E)
Bonsoir
Peu à peu, votre texte s'est amélioré. Il ne reste plus grand-chose à y modifier.
Une des plus grandes énigmes qui se posent de nos jours est : l’école doit-elle enseigner la morale ? Quelles sont les raisons (personnellement, j'aurais employé "devoirs"ou "obligations") et les limites que la société accorde (avec le verbe "imposer", votre phrase prendrait sens...) aux enseignants pour jouer ce rôle ?
Une première position reconnait que l’enseignement de la morale à l’école, c’est la tâche primordiale des enseignants. Les gens soutenaient (erreur : vous avez remplacé sans raison le participe présent, invariable, par un imparfait) cette idée évoquent plusieurs raisons. En effet, ils considèrent que l’enfant nait et agrandit (verbe "grandir", et non agrandir!) seulement pour être un bon citoyen qui se conduit selon les normes et les valeurs fondées par la société, par la religion, par les coutumes, par la culture, les lois, par les origines et par les traditions.
Une deuxième position rejette cette idée et suggère aux enseignants l’obligation de se limiter à enseigner les sciences pures, les langues, la littérature, les mathématiques, la philosophie et, plus généralement, de s’occuper de donner à leurs élèves une formation académique afin qu’ils puissent jouer, dans le futur, leur rôle dans le développement de la société à laquelle ils appartiennent. Pour eux la société est la seule responsable du rôle dit éthique.
Enfin, la troisième position réclame ( les verbes "affirmer" ou "prétendre" conviendraient mieux) qu’il doit y avoir une coopération bilatérale entre l’école et la société afin de trouver des solutions aux questions les plus problématiques. Selon cette position, une éducation efficace ne peut être construite que lorsque le sujet qui la reçoit est capable de faire la différence entre les valeurs fondamentales, entre le bien et le mal.
Bonne fin de correction.
Réponse: La morale -aide de alienor64, postée le 04-01-2014 à 19:09:24 (S | E)
Bonsoir Jerbiadel
Personnellement, je vois(mieux :" je constate") que l’école joue un rôle fondamental, au présent ainsi qu’à l’avenir(On peut mieux dire : " dans le présent et le jouera aussi dans le futur"), dans( autre préposition exprimant le but ) la vie(il s'agit davantage "d'évolution" ) de l’humanité. Un de ses rôles est d’enseigner la morale. Mais la question qui se pose, l’enseigner(à enlever; mettre le verbe " être" au présent de l'indicatif) : faut-il y(enlever) respecter certaines limites ?
Certes, l’enseignement des sciences fondamentales, (ici,il manque un article partitif) mathématiques, (idem)littérature et (idem)philosophie, est de(" d'une ") très grande importance mais se limiter à ces disciplines ne forment( sujet de ce verbe: " se limiter"; donc : verbe au singulier et au futur, comme vous l'avez fait pour le verbe de la subordonnée) que des automates qui ne seront pas capables de différencier le mal et le bien, le juste et l’injuste.( Voir les précédentes indications pour la construction de " différencier ")
De même(virgule) si notre éducation se base essentiellement sur l’enseignement de la morale, elle peut entraîner plusieurs problèmes tels que l’extrémisme religieux, la non-liberté de l’Homme et la création d’un modèle d’état.
Pour conclure, j’estime que l’idée la plus raisonnable, c’est de créer une atmosphère saine et favorable entre parents et enseignants afin de sortir de ce conflit et de trouver le bon sens : C(pas de majuscule)’est-à-dire trouver des solutions raisonnables et réalisables à la suite d’une véritable discussion sereine. En outre, ces solutions doivent être l’expression d’un compromis fiable, légitime et juste.
Bonne soirée !
Réponse: La morale -aide de jerbiadel, postée le 04-01-2014 à 22:06:55 (S | E)
Bonjour à tous
D’après les indications judicieuses apportées par Jij et par alienor64 j’ai reproduis mon texte, J’espère que je suis arrivé enfin a mieux rédiger le sujet. Encore 1000 merci de votre patience.
Une des plus grandes énigmes qui se posent de nos jours est : l’école doit-elle enseigner la morale ? Quelles sont les obligations et les limites que la société impose aux enseignants pour jouer ce rôle ?
Une première position reconnait que l’enseignement de la morale à l’école, c’est la tâche primordiale des enseignants. Les gens soutenant cette idée évoquent plusieurs raisons. En effet, ils considèrent que l’enfant nait et grandit seulement pour être un bon citoyen qui se conduit selon les normes et les valeurs fondées par la société, par la religion, par les coutumes, par la culture, les lois, par les origines et par les traditions.
Une deuxième position rejette cette idée et suggère aux enseignants l’obligation de se limiter à enseigner les sciences pures, les langues, la littérature, les mathématiques, la philosophie et, plus généralement, de s’occuper de donner à leurs élèves une formation académique afin qu’ils puissent jouer, dans le futur, leur rôle dans le développement de la société à laquelle ils appartiennent. Pour eux la société est la seule responsable du rôle dit éthique.
Enfin, la troisième position prétende qu’il doit y avoir une coopération bilatérale entre l’école et la société afin de trouver des solutions aux questions les plus problématiques. Selon cette position, une éducation efficace ne peut être construite que lorsque le sujet qui la reçoit est capable de faire la différence entre les valeurs fondamentales, entre le bien et le mal.
Personnellement, je constate que l’école joue un rôle fondamental, dans le présent et le jouera aussi dans le futur, pour évoluer l’etre humain. Un de ses rôles est d’enseigner la morale. Mais la question qui se pose est : faut-il respecter certaines limites ?
Certes, l’enseignement des sciences fondamentales, des mathématiques, de littérature et de philosophie, est d’une très grande importance mais se limiter à ces disciplines ne formera que des automates qui ne seront pas capables de différencier un mal du bien, un juste de l’injuste. De même, si notre éducation se base essentiellement sur l’enseignement de la morale, elle peut entraîner plusieurs problèmes tels que l’extrémisme religieux, la non-liberté de l’Homme et la création d’un modèle d’état.
Pour conclure, j’estime que l’idée la plus raisonnable, c’est de créer une atmosphère saine et favorable entre parents et enseignants afin de sortir de ce conflit et de trouver le bon sens : c’est-à-dire trouver des solutions raisonnables et réalisables à la suite d’une véritable discussion sereine. En outre, ces solutions doivent être l’expression d’un compromis fiable, légitime et juste.
Bonne soirée !
Réponse: La morale -aide de alienor64, postée le 04-01-2014 à 23:04:54 (S | E)
Bonsoir Jerbiadel
La première partie de votre texte est presque parfaite. La seconde , un peu moins !
Une des plus grandes énigmes qui se posent de nos jours est : l’école doit-elle enseigner la morale ? Quelles sont les obligations et les limites que la société impose aux enseignants pour jouer ce rôle ?
Une première position reconnait(accent) que l’enseignement de la morale à l’école, c’est la tâche primordiale des enseignants. Les gens soutenant cette idée évoquent plusieurs raisons. En effet, ils considèrent que l’enfant nait(accent) et grandit seulement pour être un bon citoyen qui se conduit selon les normes et les valeurs fondées par la société, par la religion, par les coutumes, par la culture, les lois, par les origines et par les traditions.
Une deuxième position rejette cette idée et suggère aux enseignants l’obligation de se limiter à enseigner les sciences pures, les langues, la littérature, les mathématiques, la philosophie et, plus généralement, de s’occuper de donner à leurs élèves une formation académique afin qu’ils puissent jouer, dans le futur, leur rôle dans le développement de la société à laquelle ils appartiennent. Pour eux la société est la seule responsable du rôle dit éthique.
Enfin, la troisième position prétende(orthographe; verbe "prétendre", 3ème personne singulier, indicatif présent) qu’il doit y avoir une coopération bilatérale entre l’école et la société afin de trouver des solutions aux questions les plus problématiques. Selon cette position, une éducation efficace ne peut être construite que lorsque le sujet qui la reçoit est capable de faire la différence entre les valeurs fondamentales, entre le bien et le mal.
Personnellement, je constate que l’école joue un rôle fondamental, dans le présent et le jouera aussi dans le futur, pour évoluer(incorrect: "faire évoluer"/ "participer à l'évolution de") l’etre(accent) humain. Un de ses rôles est d’enseigner la morale. Mais la question qui se pose est : faut-il respecter certaines limites ?
Certes, l’enseignement des sciences fondamentales, des mathématiques, de la littérature et de la philosophie, est d’une très grande importance mais se limiter à ces disciplines ne formera que des automates qui ne seront pas capables de différencier un(article défini) mal du bien, un(article défini ; vous l'avez pourtant mis devant le mot suivant) juste de l’injuste. De même, si notre éducation se base essentiellement sur l’enseignement de la morale, elle peut entraîner plusieurs problèmes tels que l’extrémisme religieux, la non-liberté de l’Homme et la création d’un modèle d’état.
Pour conclure, j’estime que l’idée la plus raisonnable, c’est de créer une atmosphère saine et favorable entre parents et enseignants afin de sortir de ce conflit et de trouver le bon sens , c’est-à-dire trouver des solutions raisonnables et réalisables à la suite d’une véritable discussion sereine. En outre, ces solutions doivent être l’expression d’un compromis fiable, légitime et juste.
Bonne soirée !
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