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Message de jod47 posté le 19-10-2010 à 19:51:03 (S | E | F)
Bonjour à tous,
Ecco una leggenda, una bella storia come la raccontano ai bambini i nonni che l’hanno sentita dai loro nonni che l’avevano anche loro sentito dai loro nonni..…che anche loro…
Si svolge in Sardegna, l’isola a forma di piede..
Voici une légende, une belle histoire comme la racontent aux enfants, les grands- parents qui l’ont entendue de leurs grands- parents, qui eux aussi l’avaient entendue de leurs grands- parents…qui eux aussi…
Cela se passe en Sardaigne, l’île en forme de pied..
-Ad ovest della Sardegna, dove si può godere del sole che tramonta sul mare, c’è la valle del fiume Temo, un tempo costellata da foreste di querce dove vivevano tanti animali selvatici.
Proprio lì, in una casetta vicina al villaggio di Bosa, viveva un pescatore che ogni giorno scendeva lungo il fiume con il suo barcone per raggiungere il mare e raccogliere nelle sue profondità azzurre il corallo rosso e il corallo bianco. Una sera mentre tornava a casa, si sentiva stanco e molto triste perchè il suo lavoro non gli permetteva di guadagnare abbastanza per i suoi sette bambini, che erano sì allegri e ubbidienti ma anche pallidi e magri, visto che il cibo che trovavano sulla tavola non era mai sufficiente per le loro bocche sempre affamate. Il pescatore, tra un sospiro e l’altro, risalendo il Temo guardava il cielo e si soffermava a osservare la forma delle nuvole, che lo incantavano perchè lui passava tanto tempo sul fondo del mare a cercare i rami di corallo che diventavano sempre più rari.
Ma quella che vide comparire all’improvviso quella sera, non era nuvola di cielo. Era polvere sollevata dal galoppo di cavalli.
Il pescatore accostò il barcone alla riva e si domandò da dove potesse provenire la mandria che aveva quasi oscurato il sole con quella nuvola. Sbarcò a terra e incuriosito , camminò e camminò fino a quando la nuvola di polvere non fu proprio sopra di lui, vicino a un minuscolo villaggio chiamato Monteleone Rocca Doria.
Fu lì, ai piedi Del Monte Germinu, che i cavalli gli si pararono davanti. Avevano garretti straordinariamente possenti, odoravano di felce e di muschio e il loro mantello era color verde acqua, della stessa tonalità dei fondali dove lui pescava il corallo.
-
« Non rattristarti- gli disse il cavallo più alto e imponente, scalpitando con i suoi zoccoli su una roccia. Da domani, ogni volta che uscirai per mare avrai più fortuna. E i tuoi figli non soffriranno più la fame. »
Il pescatore si sfregò gli occhi per capire se ciò che vedeva fosse realtà o sogno..ma in quello stesso momento i cavalli sparirono e della loro presenza restò solo la nuvola di polvere che pian piano si disperse nel cielo azzurro.
Da quel giorno, ogni volta che uscì per mare, il pescatore tornò a casa con tanti rami di corallo rosso e bianco , che permisero a lui e alla sua famiglia di non soffrire più la fame.
Brano del libro « Cammina, cammina.. » Rossana Copez.
Merci par avance à tous ceux et celles qui voudront bien participer à cette traduction,je vous donnerai la mienne début novembre;
Chaque proposition est un pas de plus...vers la progression!!
Bon travail à tous!!
Grazie in anticipio a tutte e a tutti quelli che vorranno partecipare a questa traduzione, vi darò la mia all'inizio di novembre.
Ogni proposta è un passo verso la progressione..!
Buon lavoro a tutti!!
Réponse: [Italien]Légendes sardes de enri70, postée le 19-10-2010 à 21:45:22 (S | E)
Buonasera a tutti!
Cucu, Jod!
Grazie per questo testo; questa storia è molto bella! Ecco la mia traduzione.
Bonsoir à tous!
Coucou Jod!
Merci pour ce texte; cette histoire est très belle! Voilà ma traduction.
A l'ouest de la Sardaigne, où l'on peut profiter du soleil qui se couche sur la mer, il y a la vallée du fleuve Temo, à une époque constellé de forets de chenes, où vivaient beaucoup d'animaux sauvages.
Précisément là, dans une maisonnette près du village de Bosa, vivait un pecheur qui chaque jour descendait le long du fleuve avec sa barque pour rejoindre la mer, et récolter dans ses profondeurs azur le corail rouge et le corail blanc. Un soir, alors qu'il retournait à la maison, il se sentit fatigué et très triste parce que son travail ne lui permettait pas de gagner assez pour ses sept enfants qui étaient si joyeux et obéissants mais aussi pales et maigres, vu que la nourriture qu'ils trouvaient sur la table n'était jamais assez suffisante pour leurs bouches toujours affamées. Le pecheur, entre deux soupirs, en remontant le Temo regardait le ciel et s'arreta pour observer la forme des nuages qui l'enchantaient, parce qu'il passait beaucoup de temps au fond de la mer à chercher des rameaux de corail qui devenaient de plus en plus rares.Mais quelque chose arriva à l'improviste ce soir là, il n'y avait pas un nuage dans le ciel. Il y avait de la poussière due au galop de chevaux. Le pecheur accosta sa barque sur la rive, il se demandait d'où pouvait provenir le troupeau qui avait quasiment obscursi le soleil avec cette poussière. Il descendit à terre, et curieux, marcha et marcha jusqu'à ce que le nuage de poussière fut exactement au dessus de lui, près d'un minuscule village appelé Monteleone Rocca Doria. Ce fut là, au pied du mont Germinu que les chevaux s'étaient arretés. Ils avaient le jarret extraordinairement puissant, une odeur de fougère et de musc, et leur pelage était vert d'eau, du meme ton que les fonds où lui péchait les coraux. " Ne sois pas triste, lui dit le cheval le plus grand et le plus imposant, tout en piétinant un rocher avec ses sabots. Dès demain, chaque fois que tu sortiras en mer, tu auras beaucoup de chance. Et tes enfants ne souffriront plus de la faim!"
Le pécheur se frotta les yeux, pour comprendre si ce qu'il voyait était la réalité ou un reve, mais au meme moment, les chevaux disparurent, et de leur présence ne resta que le nuage de poussière qui tout doucement se dissipa dans le ciel azur. A partir de ce jour, chaque fois qu'il sortait en mer, le pecheur retournait à la maison avec de nombreux rameaux de corail rouge et blanc qui leur permattaient, à lui et à sa famille de ne plus souffrir de la faim.
Extrait du livre " marche, marche " de Rossana Copez.
Réponse: [Italien]Légendes sardes de marjna, postée le 20-10-2010 à 22:38:47 (S | E)
Buonasera a tutti!
Grazie Jod per questa ulteriore leggenda italiana, provo a tradurla...
Bonsoir à tous !
Merci jod pour cette autre légende italienne, j’essaie de la traduire...
À l'ouest de la Sardaigne, où on peut apprécier le soleil qui se couche sur la mer, il y a la vallée du fleuve Temo, autrefois jalonnée de forêts de chênes où vivaient beaucoup d'animaux sauvages.
Ici même, dans une petite maison voisine du village de Bosa, vivait un pêcheur qui chaque jour descendait le long du fleuve avec son embarcation pour rejoindre la mer et recueillir dans ses profondeurs bleues le corail rouge et le corail blanc. Un soir pendant qu'il retournait chez lui, il se sentait fatigué et très triste parce que son travail ne lui permettait pas de gagner assez pour ses sept enfants, qui étaient si gais et obéissants, mais aussi pâles et maigres, étant donné que la nourriture qu’ils trouvaient sur la table n'était jamais suffisante pour leurs bouches toujours affamées. Le pêcheur, soupirant, en remontant le Temo regardait le ciel et il s'arrêtait pour observer la forme des nuages qui l'enchantaient parce qu'il passait beaucoup de temps au fond de la mer à chercher les branches de corail qui devenaient toujours plus rares.
Mais celui qu’il vit apparaître tout à coup ce soir-là n’était pas un nuage du ciel. C’était de la poussière soulevée par le galop des chevaux.
Le pêcheur approcha l’embarcation de la rive et il se demanda d'où pouvait provenir le troupeau qui avait presque obscurci le soleil avec ce nuage. Il débarqua à terre et intrigué, marcha et marcha jusqu'à ce que le nuage de poussière fût vraiment au dessus de lui, à côté d'un village minuscule nommé Monteleone Rocca Doria.
Ce fut là, au pied du Mont Germinu, que les chevaux se placèrent devant lui. Ils avaient des jarrets extraordinairement puissants, il émanait d’eux une odeur de fougère et de mousse et leur robe était d’une couleur verte comme l’eau, de la même teinte que les fonds où il pêchait le corail.
- Ne t’attriste pas - lui dit le cheval le plus grand et imposant, en piaffant avec ses sabots sur une roche. À partir de demain, chaque fois que tu sortiras en mer tu auras plus de bonheur. Et tes enfants ne souffriront plus de la faim.” Le pêcheur se frotta les yeux pour comprendre si ce qu’il voyait était réalité ou rêve..mais dans le même moment les chevaux disparurent et de leur présence resta seulement le nuage de poussière qui tout doucement s’évanouit dans le ciel bleu.
À partir de ce jour-là, chaque fois qu'il sortit en mer, le pêcheur retourna chez lui avec beaucoup de branches de corail rouge et blanc, qui permirent à lui et à sa famille de ne plus souffrir de la faim.
Extrait du livre “Cammina, cammina... ' Rossana Copez.
grazie jod
Réponse: [Italien]Légendes sardes de mondets, postée le 21-10-2010 à 18:27:18 (S | E)
Buonasera a tutti! Grazie mille jod per questa leggenda, mi piacciono molto questi racconti popolari; sai se c’è una versione in lingua sarda?
Bonsoir à tous! Merci beaucoup jod pour cette légende, j’aime beaucoup ces récits populaires; sais-tu s’il y a une version en sarde?
À l'ouest de la Sardaigne, où l’on peut profiter du soleil qui se couche sur la mer, s’étend la vallée de la rivière Temo, jadis parsemée de forêts de chênes où vivaient de nombreux animaux sauvages.
Ici même, dans une maisonnette proche du village de Bosa, vivait un pêcheur qui descendait chaque jour la rivière avec sa barge pour rejoindre la mer et ramasser dans ses profondeurs bleues le corail rouge et le corail blanc. Un soir comme il rentrait chez lui, il se sentait fatigué et bien triste car son travail ne lui permettait pas de gagner suffisamment pour ses sept enfants, qui étaient si joyeux et obéissants, mais aussi pâles et maigres, étant donné que la nourriture qu’ils trouvaient sur la table n'était jamais suffisante pour leurs bouches toujours affamées. Le pêcheur, entre deux soupirs, remontait le Temo et regardait le ciel, il s'arrêtait pour observer la forme des nuages qui le ravissaient car il passait beaucoup de temps au fond de la mer à chercher les branches de corail qui devenaient toujours plus rares.
Mais celui qu’il vit apparaître soudain ce soir-là n'était pas un nuage du ciel. C’était de la poussière soulevée par le galop de chevaux.
Le pêcheur accosta sa barge au bord et se demanda d'où pouvait provenir le troupeau qui avait presque obscurci le soleil avec ce nuage. Il débarqua à terre et intrigué, marcha longuement jusqu'à ce que le nuage de poussière fût vraiment sur lui, près d'un tout petit village appelé Monteleone Rocca Doria.
Ce fut là, au pied du Mont Germinu, que les chevaux surgirent devant lui. Ils avaient les jarrets extraordinairement puissants, ils sentaient les fougères et la mousse et leur robe avait la couleur de l’eau verte, de la même nuance que les fonds où il pêchait le corail.
" Ne sois pas triste “ lui dit le cheval le plus grand et imposant, en piaffant de ses sabots sur une roche. À partir de demain, chaque fois que tu iras en mer tu auras davantage de chance et tes enfants ne souffriront plus de la faim.”
Le pêcheur se frotta les yeux pour comprendre si ce qu’il voyait était la réalité ou un rêve..mais au même moment les chevaux disparurent et de leur présence demeura seulement le nuage de poussière qui se dissipa lentement dans le ciel bleu.
De ce jour, chaque fois qu'il sortit en mer, le pêcheur revint chez lui avec beaucoup de branches de corail rouge et de corail blanc, qui leur permirent à lui et à sa famille de ne plus souffrir de la faim.
Extrait du livre “Cammina, cammina... " Rossana Copez.
Réponse: [Italien]Légendes sardes de zaza63, postée le 23-10-2010 à 18:37:11 (S | E)
Grazie jod per questa bella legenda sarda.
Merci Jod pour cette belle légende sarde.
A l'ouest de la Sardaigne, là où l'on peut profiter du coucher de soleil dans la mer, est la vallée du Temo, jadis recouverte de forêts de chênes où vivaient de nombreux animaux sauvages.
Et c'est ici, dans une petite maison près du village de Bosa, que vivait un pêcheur, qui chaque jour descendait le fleuve avec son bateau pour rejoindre la mer et cueillir dans ses bleues profondeurs le corail rouge et blanc. Un soir, en rentrant chez lui, il sentit la fatigue et une grande tristesse l'envahir, car son travail ne lui permettait même pas de gagner assez pour faire vivre ses sept enfants, qui étaient si joyeux, si obéissants, mais si pâles et si malingres, la nourriture qu'ils trouvaient sur la table n'étant jamais assez abondante pour leurs bouches toujours affamées. Le pêcheur, tout en soupirant, regardait le ciel en remontant le fleuve, et s'attardait pour observer la forme des nuages qui l'enchantaient, car lui passait tout son temps à chercher au fond de la mer les branches de corail toujours plus rares.
Mais le nuage qui lui apparut tout à coup ce soir ne venait pas du ciel. C'était de la poussière soulevée par le galop des chevaux. Le pêcheur amarra le bateau à la rive, se demandant bien d'où pouvait venir ce troupeau qui avait quasiment recouvert le sol avec ce nuage. Il sauta à terre, et interloqué, marcha et marcha jusqu'à ce que le nuage de poussière le recouvrît entièrement ; il était arrivé à proximité d'un tout petit village appelé Monteleone Rocca Doria.
Et là, au pied du Mont Germinu, les chevaux arrivèrent face à lui. Leurs jarrets étaient incroyablement puissants, ils sentaient la fougère, la mousse, et leur robe était vert d'eau, tout comme les fonds marins où il pêchait le corail.
"Ne sois pas triste", lui dit le plus grand et le plus imposant des chevaux, ses sabots piaffant sur les cailloux. Dès demain, chaque fois que tu iras en mer, tu auras chaque fois plus de chance. Et tes enfants n'auront plus jamais à souffrir de la faim".
Le pêcheur se frotta les yeux pour tenter de comprendre si sa vue ne lui jouait pas des tours... mais au même moment les chevaux disparurent et il ne resta plus d'eux que le nuage de poussière qui petit à petit se dispersa dans le bleu du ciel.
Depuis ce jour, chaque fois qu'il sortit en mer, le pêcheur revint chez lui avec tant de branches de corail rouge et blanc, que lui et sa famille ne souffirent ainsi plus jamais de la faim.
Réponse: [Italien]Légendes sardes de lisa81, postée le 26-10-2010 à 11:06:43 (S | E)
Ciao Jod, grazie per questa leggenda, adoro la Sardegna!!!
eccoci quà
Sur la cote (j'arrive pas à mettre le chapeau) ouest de la sardaigne, où l'on peut profiter du coucher du soleil sur la mer,s'étend la vallée du fleuve Temo, qui, il y a longtemps, était bordée de forets () de chenes ()où vivaient de nombreux animaux sauvages.
à cet endroit précis, dans une modeste maison près du village de Bosa,vivait un pecheur () qui, chaque jour, descendait le fleuve avec son bateau pour rejoindre la mer et recueillir de ses profondeurs turquoises le corail rouge et le corail blanc. Un soir, alors qu'il rentrait chez lui, il se sentit fatigué et triste parce que son travail ne lui permettait pas de gagner suffisamment pour ses sept enfants qui étaient certes joyeux et obéissants mais aussi pales () et maigres étant donné que la nourriture qu'ils trouvaient sur la table n'était jamais suffisante pour leur bouches jamais rassasiées. Le pecheur ( encore), entre deux soupirs, alors qu'il remontait le Temo, regardait le ciel et s'attardait à observer la forme des nuages; elle l'enchantait, parce qu'il passait beaucoup de temps dans les fonds marins à chercher les récifs de corail qui se faisaient de plus en plus rares.
Mais celui qu'il vit apparaitre () brusquement ce soir là, n'était pas un nuage qui venait du ciel. C'était de la poussière soulevée par des chevaux au galop.
Le pecheur () accosta son bateau au rivage, et se demanda d'où pouvait bien provenir le troupeau qui avait presque caché le soleil avec ce nuage. Il mit pied sur la terre ferme et, sa curiosité piquée, il marcha et marcha encore jusqu'à ce que le nuage de poussière fut vraiment au dessus de lui, près d'un minuscule village qui s'appellait Monteleone Rocca Doria.
Ce fut là, aux pieds du Mont Germinu, que les chevaux lui apparurent devant les yeux. Leurs jarets étaient extraordinairement puissants, ils avaient un parfum de fougère et de musc et leur robe était turquoise, de la meme (re) tonalité que les fonds où il pechait()le corail.
-"Ne soit-plus triste - lui dit le plus grand et le plus imposant des chevaux en piaffant de ses sabots sur une roche. A partir de demain, chaque fois que tu sortiras en mer, tu auras plus de chance. Et tes enfants mangeront toujours à leur faim."
Le pecheur () se frotta les yeux pour comprendre si ce qu'il voyait était réel ou imaginaire...mais, à ce meme ()moment, les chevaux disparurent et, de leur présence, il ne resta que le nuage de poussière qui, peu à peu déjà, se dissipait dans le bleu du ciel.
Depuis ce jour, à chacune de ses sorties en mer, le pêcheur rapportait à la maison des bancs de corail rouge et de corail blanc en quantité telle ,que sa famille et lui ne souffirent plus jamais de la faim.
NB: Je suis désolée mais impossible de mettre les accents circonflexes aujourd'hui !!!
Réponse: [Italien]Légendes sardes de jod47, postée le 26-10-2010 à 11:24:15 (S | E)
Merci lisa... non è grave...! faremo senza "cappello"!!! ;
Cucù mondets, penso che debbano esistere in lingua sarda ma io le ho soltanto in italiano! mi dispiace!
ce n'est pas grave lisa..nous ferons "sans chapeau"!!, coucou mondets, je pense qu'elles doivent exister en langue sarde mais moi je ne les ai qu'en italien..je suis désolée!
Réponse: [Italien]Légendes sardes de jod47, postée le 08-11-2010 à 11:20:33 (S | E)
Bonjour à tous,
Un grand merci à vous tous qui avez participé à cette traduction!!
Chacun d'entre vous a apporté sa "nuance personelle" , que ce soit avec ou sans .."chapeau" !!( "^") ) ornée d'images ( merci marjna ) ou en simple texte ..merci encore!!
Voici donc avec un peu de retard..ma propre traduction,semblable à celles proposées!
-A l’ouest de la Sardaigne, où l’on peut jouir du soleil qui se couche sur la mer, il y a la vallée du Temo, jadis arborée de forêts de chênes dans lesquelles vivaient de nombreux animaux sauvages.
A cet endroit précis, dans une petite maison proche du village de Bosa, vivait un pêcheur qui chaque jour descendait le long du fleuve avec sa barque pour rejoindre la mer et recueillir dans ses profondeurs bleues, le corail rouge et le corail blanc. Un soir pendant qu’il retournait chez lui, il se sentait fatigué et très triste parce que son travail ne lui permettait pas de gagner assez pour ses sept enfants qui étaient si gais et obéissants mais aussi pâles et maigres vu que la nourriture trouvée sur la table n’était jamais assez suffisante pour leurs bouches toujours affamées.
Le pêcheur, entre deux soupirs, remontant le Temo regardait le ciel et s’arrêtait pour observer la forme des nuages qui l’enchantaient parce que lui, passait beaucoup de temps au fond de la mer à chercher des branches de corail, lesquelles devenaient toujours plus rares. Mais ce soir-là, ce qu’il vit apparaître à l’improviste n’était pas un nuage céleste . C’était de la poussière soulevée par le galop de chevaux.
Le pêcheur rapprocha la barque de la rive et se demanda d’où pouvait bien provenir le troupeau qui, avec ce nuage, avait presque obscurci le soleil. Il débarqua et curieux marcha, marcha jusqu’au moment où le nuage de poussière fut exactement au-dessus de lui à côté d’un minuscule village appelé : Monteleone Rocca Doria. Ce fut là, au pied du Mont Germinu que les chevaux surgirent devant lui. Ils avaient des jarrets extraordinairement puissants, ils sentaient bon la fougère et le musc et leur robe était couleur vert d’eau, de la même couleur que celle des profondeurs où il pêchait le corail.
« Ne sois pas triste lui dit le cheval le plus grand et le plus imposant tout en piaffant avec ses sabots sur un rocher. A partir de demain chaque fois que tu sortiras en mer tu auras plus de chance et tes fils ne souffriront plus de la faim. » Le pêcheur se frotta les yeux pour comprendre si ce qu’il voyait était songe ou réalité, mais à cet instant les chevaux disparurent et il ne resta de leur présence que le nuage de poussière qui peu à peu se dissipa dans le ciel bleu.
A dater de ce jour, chaque fois qu’il sortit en mer, le pêcheur rentra chez lui avec tant de branches de corail rouge et blanc qu’elles lui permirent à lui et à sa famille de ne plus souffrir de la faim.
Merci fiofio pour tes judicieux conseils..!
Réponse: [Italien]Légendes sardes de gigliola, postée le 08-11-2010 à 17:20:44 (S | E)
Grazie, Jod , per questa bella leggenda sarda che racconterò ai miei (ormai) quattro nipotini, che la racconteranno ai loro ... ... ...
Merci , Jod pour cette belle légende sarde que je raconterai à mes ( désormais ) quatre petits enfants , qui la raconteront à leurs ... ... ...
Sur la côte ouest de la Sardaigne , où l'on peut savourer les bienfaits des derniers rayons du soleil qui se couche sur la mer , s'étend la vallée creusée par le fleuve Temo , qui jadis foisonnait de forêts de chênes qui abritaient en grand nombre tant d'animaux sauvages .
C'est là très précisément que , dans une maisonnette toute proche du village de Bosa , ... ... ...
Jod , faisant un retour en arrière pour vérifier le texte italien , je m'aperçois seulement que tu as posté ta version ... la mienne devient superflue !
Réponse: [Italien]Légendes sardes de rita12, postée le 15-11-2010 à 18:56:14 (S | E)
Ciao Jod, merci pour cette belle légende.
Je rattrape mon retard!
Un soir pendant qu'il rentrait chez lui se sentant fatigué et très triste parce que son travail ne lui permettait pas de gagner suffisamment pour nourrir ses sept enfants, qui étaient si gaies et obéissants mais aussi pâles et maigre vu que ce qu'il y avait sur la table n'était pas suffisant pour leur bouche toujours affamée. Le pêcheur entre un soupir et l'autre, remontant le Temo regardait le ciel et s'arrêtait pour observer la forme des nuages, qui l'enchantaient perce que lui passait tellement de temps au fond de la mer pour rechercher les branches de corail qui devenaient de plus en plus rares.
Mais celui qu'il vit apparaître à l'improviste ce soir là n'était pas un nuage de ciel. C'était la poussière soulevée par un galop de chevaux.
Le pêcheur accosta la barque et marcha jusqu'à ce que le nuage de poussière fut juste au dessus de sa tête, à coté d'un minuscule village appelé Monteleone Rocca Doria.
Ce fut là, aux pieds du Monte Germinu, que les chevaux surgirent. Leurs jarrets étaient extraordinairement puissants, ils sentaient la fougère et la mousse et leur manteaux avaient la couleur de l'eau verte, de la même tonalité des fonds où lui pêchait le corail.
-” Ne sois pas triste lui dit le cheval le plus grand et puissant, piaffant avec ses sabots sur une roche. A partir de demain, chaque fois que tu sortiras en mer tu auras plus de chance. Et tes enfants ne souffriront plus de la faim....
Le pêcheur se frotta les yeux afin de voir si ce qu'il voyait était réalité ou rêve... Mais à ce même instant les chevaux disparurent et de leur présence il ne resta que le nuage de poussière qui peu à peu se dispersa dans le ciel bleu.
Depuis ce jour, chaque fois qu'il sortit en mer, le pêcheur rentra chez lui avec beaucoup de branches de corail rouge et de corail blanc, qui lui permirent à lui et sa famille de ne plus souffrir de faim.
“Cammina, cammina” Rossana Copez.
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