Le village d'Alaba
Cours gratuits > Forum > Apprendre le français || En basMessage de fatiati51 posté le 23-02-2020 à 22:34:05 (S | E | F)
Bonjour,
s'il vous plaît, pouvez vous m'aider à corriger ce texte ? merci d'avance.
Le village d’Alaba,
Les vacances dernières, en plein été, j’ai passé une semaine en Tanzanie. Dans le village d’Alaba, où la vie passait lentement, comme si le jour comptait plus de trente-six heures, comme si les aiguilles de la montre semblaient cesser de bouger. Le silence et le calme régnaient dans l’espace, à l’exception de l’aboiement d’un chien ou du coquerico d’un coq. Ils donnaient l’impression que le village est inhabité. Rien ne lui offrait de la vitalité que la prairie verdoyante parsemée de fleurs multicolores parfumées et les oiseaux chanteurs d’une symphonie fantastique qui plaît au goût.
À vrai dire, il était inhabité, tous avaient voyagé à la ville pour chercher un emploi, sauf les femmes, les plus âgés et les enfants qui y étaient restés. Ce triplet s’occupait de toutes les besognes domestiques. Dès l’aube, les enfants guidaient les troupeaux vers la prairie pour brouter de l’herbe. Les plus âgés coopéraient pour la culture des terres, tandis que les femmes ramassaient les bois pour le feu, se chargeaient des petits et en même temps préparaient la nourriture. La même routine se répétait chaque jour. En bref, la monotonie est la caractéristique de ce village.
L’ennui, n’était pas le seul caractère de ce petit village, à celui-ci s’ajoutait la modestie, elle s’apercevait clairement sur toutes les facettes de la vie villageoise. À la modestie du niveau de vie se joignait la modestie des rêves et des ambitions. Même le plus ambitieux parmi eux avait des rêves qui se réduisirent à l’avoir de trois ou quatre vaches au plus. Le manque de moyens financiers et la simplicité de la pensée et de l’architecture des habitations octroyaient à la vie une dimension primitive. Comme si la machine de la modernisation n’avait jamais passé par là.
Les maisons ont été bâties de roches taillées et cimentées avec de l’argile. Tout le village a été parcouru d’un réseau de pistes formé de pierres taillées juxtaposées. Ce réseau routier ne signifiait pas un luxe ; au contraire, c’est un besoin imposé par les précipitations abondantes qui, avec de l’argile, formaient de la boue ce qui entravait la circulation.
Quoique la pauvreté soit visible partout, la richesse en bonnes mœurs l’emporte sur tout. Les relations entre les gens sont fondées sur des qualités ultimes qui valorisent l’être humain, entre autres : la solidarité, l’entraide mutuelle et l’altruisme. Une organisation sociale qui n’a pas de semblable, sauf dans les mythes adoptant l’idéalisme. Les plus âgés, en tant que la génération la plus sage, formaient un conseil pour concerter et discuter les affaires du village. Ils établissaient des lois, basées sur la répartition égalitaire des tâches, des ressources et des richesses, afin d’assurer la bonne marche de la tribu. La valorisation de la femme, le respect mutuel, les adultes doivent prendre soin des plus âgés étaient des images ancrées dans ma tête, toute personne devrait baiser la main et la tête de ceux qui sont plus âgés que lui. Des valeurs suprêmes qui manquaient dans les villes supposées modernisées.
Réponse : Le village d'Alaba de alienor64, postée le 24-02-2020 à 09:49:19 (S | E)
Bonjour fatiati51
N'oubliez pas qu'une phrase commence toujours par une majuscule)s'il vous plaît, pouvez vous m'aider à corriger ce texte ? (idem)merci d'avance.
Note sur les verbes impersonnels : Lien internet
Le village d’Alaba,
(Ici, préposition introduisant la durée)Les vacances dernières(devant le nom), en plein été, j’ai passé une semaine en Tanzanie.(pas de point, car ce qui suit n'est pas une phrase correctement construite : il manque la proposition principale, d'où la nécessité de supprimer le point) Dans le village d’Alaba, où la vie passait(autre verbe 's'écouler') lentement, comme si le jour comptait plus de trente-six heures, comme si les aiguilles de la montre semblaient cesser de bouger(enlever : conjuguer 'avancer' à la forme négative). Le silence et le calme régnaient dans l’espace, à l’exception de(à remplacer par le participe passé de 'troubler' suivi d'une préposition indiquant l'agent) l’aboiement d’un chien ou du(déterminant défini) coquerico(orthographe) d’un coq. Ils remplacer par un pronom démonstratif neutre ; vous accorderez le verbe) donnaient l’impression que le(préposition élidée suivie d'un déterminant indéfini) village est(enlever) inhabité. Rien ne lui offraitautre verbe : 'apporter') de la vitalité que(à remplacer par 'si ce n'est' dont vous accorderez le verbe, ainsi que son temps : il y a plusieurs sujets) la prairie verdoyante parsemée de fleurs multicolores (conjonction de coordination) parfumées et les oiseaux chanteurs(participe présent de 'chanter' ; ce verbe est transitif direct, donc non suivi de préposition)) d’une symphonie fantastique qui plaît au goût(à reformuler).
À vrai dire, il était inhabité, tous avaient voyagé(autre verbe : ce n'est pas un voyage, mais un départ) à la ville pour chercher un emploi, sauf les femmes, les plus âgésmettez un nom devant cet adjectif) et les enfants qui y étaient restés(enlever). Ce triplet(autre mot) s’occupait de toutes les besognes domestiques. Dès l’aube, les enfants guidaient les troupeaux vers la prairie pour brouter de l’herbe(mettre un seul verbe dont la signification est celle de ce qui est souligné). Les plus âgés coopéraient pour(autre verbe 'aider' suivi d'une préposition) la culture des terres, tandis que les femmes ramassaient les(déterminant partitif) bois pour le feu, se chargeaient des petits et en même temps préparaient la nourriture. La même(déterminant démonstratif) routine se répétait chaque jour. En bref, la monotonie est(autre temps) la caractéristique de ce village.
L’ennui,(pas de virgule) n’était pas le seul caractère de ce petit village, à celui-ci(enlever ; mettre la forme impersonnelle du verbe 'ajouter' sans oublier le pronom personnel complément mis pour 'à l'ennui' : voir lien sur les verbes impersonnels) s’ajoutait la modestie, elle s’apercevait clairement sur(autre préposition) toutes les facettes de la vie villageoise. À la modestie du niveau de vie se joignait la modestie des rêves et des ambitions. Même le plus ambitieux parmi eux(à remplacer par 'villageois' précédé d'un déterminant indéfini et suivi d'un pronom relatif sujet) avait des rêves qui se réduisirent(enlever : conjuguer 'voir' suivi de 'se réduire', le sujet du verbe étant 'les villageois'; mettre devant le verbe le pronom personnel COD représentant 'les rêves') à l’avoir de (enlever : mettre 'posséder') trois ou quatre vaches au plus(précédé de 'tout' et à placer après le verbe). Le manque de moyens financiers et la simplicité de la pensée(autre mot) et de l’architecture des habitations octroyaient(autre verbe 'donner') à la vie une dimension primitive. Comme si la machine de la modernisation n’avait passé(autre auxiliaire) jamais passé par là.
Commencez par corriger cette partie de votre texte. Vous entreprendrez la correction de l'autre quand celle-ci sera terminée.
Bonne correction
Réponse : Le village d'Alaba de fatiati51, postée le 25-02-2020 à 00:17:08 (S | E)
Bonjour,
Merci pour l'intérêt porté à mon message, j'ai corrigé le texte suivant vos directives.
Pendant les dernières vacances, en plein été, j’ai passé une semaine en Tanzanie ; dans le village d’Alaba, où la vie s’écoulait lentement, comme si le jour comptait plus de trente-six heures, comme si les aiguilles de la montre semblaient ne pas avançait. Le silence et le calme régnaient dans l’espace, troublé par l’aboiement d’un chien ou le cocorico d’un coq. Cela donnait l’impression d’un village inhabité. Rien ne lui apportait de la vitalité si ce n’étaient la prairie verdoyante parsemée de fleurs multicolores et parfumées et les oiseaux chantant une symphonie fantastique que les auditeurs admiraient.
À vrai dire, il était inhabité, tous partaient à la ville pour chercher un emploi, sauf les femmes, les hommes plus âgés et les enfants. Ces personnes s’occupaient de toutes les besognes domestiques. Dès l’aube, les enfants guidaient les troupeaux vers la prairie pour paitre. Les plus âgés s’entraidaient à la culture des terres, tandis que les femmes ramassaient du bois pour le feu, se chargeaient des petits et en même temps préparaient la nourriture. Cette routine se répétait chaque jour. En bref, la monotonie était la caractéristique de ce village.
L’ennui n’était pas le seul caractère de ce petit village, il lui s’ajoutait la modestie, elle s’apercevait clairement dans toutes les facettes de la vie villageoise. À la modestie du niveau de vie se joignait la modestie des rêves et des ambitions. Même le plus ambitieux des villageois qui avait des rêves les tout voyaient se réduire à la possession de trois ou quatre vaches. Le manque de moyens financiers et la simplicité des préoccupations et de l’architecture des habitations donnaient à la vie une dimension primitive. Comme si la machine de la modernisation n’était jamais passée par là.
Réponse : Le village d'Alaba de alienor64, postée le 25-02-2020 à 11:44:53 (S | E)
Bonjour fatiati51
La ponctuation : Lien internet
Lien internet
Comparatif et superlatif : Lien internet
Pronoms En et Y : Lien internet
La phrase négative : Lien internet
Pendant les dernières vacances, en plein été, j’ai passé une semaine en Tanzanie ;(pourquoi cette ponctuation ? Enlevez-la, ! Je vous mets deux liens sur la valeur et la fonction des signes de ponctuation : lisez-le) dans le village d’Alaba, où la vie s’écoulait lentement, comme si le jour comptait plus de trente-six heures, comme si les aiguilles de la montre semblaient ne pas avançait(forme négative incorrecte : voir lien et erreur de temps : quand deux verbes se suivent, le second se met à l'infinitif ; ici, le premier verbe est 'semblaient'). Le silence et le calme régnaient dans l’espace, troublé(accord) (ici, mettez un adverbe synonyme de 'uniquement' : ne recopiez pas cette indication) par l'aboiement(un seul aboiement ?) d’un chien ou le cocorico d’un coq. Cela donnait l’impression d’un village inhabité. Rien ne lui apportait de la vitalité si ce n’étaient la prairie verdoyante parsemée de fleurs multicolores et parfumées et les oiseaux chantant une symphonie fantastique que les auditeurs(ce mot convient pour désigner les personnes qui assistent à un concert, à une conférence ou qui écoutent une émission radiophonique, mais pas à celles qui se promènent dans un village. Autre mot) admiraient(autre verbe). (de à : proposition à construire différemment. Remplacez le pronom relatif COD par le pronom relatif sujet représentant 'une symphonie fantastique' suivi du verbe 'charmer' avec pour COD le nom qui remplacera 'les auditeurs')
À vrai dire, il était inhabité, tous partaient(autre temps du passé ; l'imparfait indique que l'action est en train de se réaliser ; or, si le village est inhabité, l'action n'a plus cours ; elle a eu lieu dans le passé et n'est plus d'actualité) à la ville pour chercher un emploi, sauf les femmes, les hommes plus âgés(il faut un superlatif et non un comparatif : voir lien) et les enfants. Ces personnes s’occupaient de toutes les besognes domestiques. Dès l’aube, les enfants guidaient les troupeaux vers la prairie pour paitre(accent circonflexe). Les plus âgés s’entraidaient(autre verbe : 'aider') à la culture des terres, tandis que les femmes ramassaient du bois pour le feu, se chargeaient des petits et en même temps préparaient la nourriture. Cette routine se répétait chaque jour. En bref, la monotonie était la caractéristique de ce village.
L’ennui n’était pas le seul caractère(autre mot : 'particularité' : c'est un nom féminin, donc, accord du déterminant et de l'adjectif qualificatif) de ce petit village, il lui(incorrect : avec un verbe à la forme impersonnelle, il faut un autre pronom, celui qui correspond au groupe nominal 'à l'ennui', c'est-à-dire introduit par la préposition 'à' : voir lien) s’ajoutait la modestie,(point-virgule) elle s’apercevait clairement dans toutes les facettes de la vie villageoise. À la modestie du niveau de vie(virgule) se joignait la modestie des rêves et des ambitions. Même le plus ambitieux des villageois qui avait des rêves les tout(lisez bien l'indication dans la correction précédente ; vous aviez écrit 'au plus' ; pourquoi l'avoir supprimé ? Lisez ce que je vous avais indiqué et corrigez) voyaient (sujet : 'le plus ambitieux') se réduire à la possession de trois ou quatre vaches. Le manque de moyens financiers et la simplicité des préoccupations et de l’architecture des habitations donnaient à la vie une dimension primitive. Comme si la machine de la modernisation n’était jamais passée par là.
Bonne journée
Réponse : Le village d'Alaba de fatiati51, postée le 26-02-2020 à 19:11:57 (S | E)
Merci pour l'intérêt porté à mon message, j'ai corrigé le texte suivant vos directives.
Pendant les dernières vacances, en plein été, j’ai passé une semaine en Tanzanie dans le village d’Alaba. Là où la vie s’écoulait lentement, comme si le jour comptait plus de trente-six heures, comme si les aiguilles de la montre semblaient ne pas avancer. Le silence et le calme régnaient dans l’espace, troublés par les aboiements d’un chien ou le cocorico d’un coq. Cela donnait l’impression d’un village inhabité. Rien ne lui apportait de la vitalité si ce n’étaient la prairie verdoyante parsemée de fleurs multicolores et parfumées et les oiseaux chantant une symphonie fantastique qui charmait aux passants.
À vrai dire, il était inhabité, tous partirent à la ville pour chercher un emploi, sauf les femmes, les hommes les plus âgés et les enfants. Ces personnes s’occupaient de toutes les besognes domestiques. Dès l’aube, les enfants guidaient les troupeaux vers la prairie pour paître. Les plus âgés s’aidaient à la culture des terres, tandis que les femmes ramassaient du bois pour le feu, se chargeaient des petits et en même temps préparaient la nourriture. Cette routine se répétait chaque jour. En bref, la monotonie était la caractéristique de ce village.
L’ennui n’était pas la seule particularité de ce petit village, à lui il s’ajoutait la modestie ; elle s’apercevait clairement sur toutes les facettes de la vie villageoise. À la modestie du niveau de vie, se joignait la modestie des rêves et des ambitions. Même le plus ambitieux des villageois qui avait des rêves les voyait tout se réduire à la possession de trois ou quatre vaches au plus. Le manque de moyens financiers et la simplicité de la pensée et de l’architecture des habitations octroyaient à la vie une dimension primitive. Comme si la machine de la modernisation n’avait jamais passé par là.
Réponse : Le village d'Alaba de alienor64, postée le 26-02-2020 à 20:04:32 (S | E)
Bonsoir fatiati51
'... j'ai corrigé le texte en suivant vos directives.
Pendant les dernières vacances, en plein été, j'ai passé une semaine en Tanzanie dans le village d'Alaba. Là-bas('là-bas', désigne un lieu situé plus loin de celui dans lequel vous vous trouvez actuellement)(virgule) où(enlever) la vie s'écoulait lentement, comme si le jour comptait plus de trente-six heures, comme si les aiguilles de la montre semblaient ne pas avancer. Le silence et le calme régnaient dans l'espace, (ici, adverbe : lisez ou relisez l'indication dans la correction précédente) troublés par les aboiements d'un chien ou le cocorico d'un coq. Cela donnait l'impression d'un village inhabité. Rien ne lui apportait de la vitalité si ce n'étaient la prairie verdoyante parsemée de fleurs multicolores et parfumées et les oiseaux chantant une symphonie fantastique qui charmait aux( il faut un déterminant défini car 'charmer' est un verbe transitif, donc suivi d'un COD) passants(mieux : 'les visiteurs').
À vrai dire, il était inhabité(c'est inexact, puisque vous dites plus loin qu'il reste les femmes, les enfants et les hommes les plus âgés), tous partirent(autre temps : plus-que-parfait ; l'action de 'partir' a eu lieu avant celle où vous le constatez) à la ville pour chercher un emploi, sauf les femmes, les hommes les plus âgés et les enfants. Ces personnes s'occupaient de toutes les besognes domestiques. Dès l'aube, les enfants guidaient les troupeaux vers la prairie pour paître. Les plus âgés s'aidaient(ce verbe n'est pas pronominal) à la culture des terres, tandis que les femmes ramassaient du bois pour le feu, se chargeaient des petits et en même temps préparaient la nourriture. Cette routine se répétait chaque jour. En bref, la monotonie était la caractéristique de ce village.
L'ennui n'était pas la(déterminant possessif) seule particularité de ce petit village(à enlever pour éviter la répétition trop rapprochée du mot),(autre ponctuation : point) à lui(erreur : il faut le pronom personnel COI qui correspond à 'à cela' : lisez bien le lien que je vous ai proposé dans la correction précédente et corrigez) il s'ajoutait la modestie ; elle s'apercevait clairement sur(autre préposition : déjà signalé. Vous aviez pourtant mis la bonne préposition dans votre précédent corrigé) toutes les facettes de la vie villageoise. À la modestie du niveau de vie, se joignait(se greffer) la modestie des rêves et des ambitions. Même le plus ambitieux des villageois qui avait des rêves les voyait tout(accord avec 'rêves') se réduire à la possession de trois ou quatre vaches au plus(vous n'avez toujours pas corrigé en suivant mes indications : mettez 'tout' devant 'au plus' et placez ce groupe de mots entre la préposition 'de' et 'trois', et entre deux virgules). Le manque de moyens financiers et la simplicité de la pensée(autre mot) et de l'architecture des habitations octroyaient(autre verbe: voir indication dans la correction précédente) à la vie une dimension primitive. Comme si la machine de la modernisation n'avait passé(autre auxiliaire. Vous aviez pourtant bien conjugué ce verbe dans votre précédent corrigé) jamais passé par là.
Bonne soirée
Réponse : Le village d'Alaba de fatiati51, postée le 26-02-2020 à 22:31:58 (S | E)
Bonjour,
Merci de l’intérêt porté à mon message, j'ai corrigé le texte en suivant vos conseils.
Pendant les dernières vacances, en plein été, j’ai passé une semaine en Tanzanie dans le village d’Alaba. Là-bas, la vie s’écoulait lentement, comme si le jour comptait plus de trente-six heures, comme si les aiguilles de la montre semblaient ne pas avancer. Le silence et le calme régnaient dans l’espace, troublés seulement par les aboiements d’un chien ou le cocorico d’un coq. Cela donnait l’impression d’un village inhabité. Rien ne lui apportait de la vitalité si ce n’étaient la prairie verdoyante parsemée de fleurs multicolores et parfumées et les oiseaux chantant une symphonie fantastique qui charmait les visiteurs.
À vrai dire, il était presque inhabité, tous étaient partis à la ville pour chercher un emploi, sauf les femmes, les hommes les plus âgés et les enfants. Ces personnes s’occupaient de toutes les besognes domestiques. Dès l’aube, les enfants guidaient les troupeaux vers la prairie pour paître. Les plus âgés aidaient à la culture des terres, tandis que les femmes ramassaient du bois pour le feu, se chargeaient des petits et en même temps préparaient la nourriture. Cette routine se répétait chaque jour. En bref, la monotonie était la caractéristique de ce village.
L’ennui n’était pas sa seule particularité. Il s’y ajoutait la modestie ; elle s’apercevait clairement dans toutes les facettes de la vie villageoise. À la modestie du niveau de vie, se greffait la modestie des rêves et des ambitions. Même le plus ambitieux des villageois qui avait des rêves les voyait se réduire à la possession de, tout au plus, trois ou quatre vaches. Le manque de moyens financiers et la simplicité des préoccupations et de l’architecture des habitations donnaient à la vie une dimension primitive. Comme si la machine de la modernisation n’était jamais passée par là.
Je suis vraiment désolé des erreurs déjà corrigées.
Réponse : Le village d'Alaba de alienor64, postée le 27-02-2020 à 00:43:38 (S | E)
Bonsoir fatiati51
Encore un petit effort avant ... la perfection !
- Rien ne lui apportait(autre verbe : 'procurer'/'insuffler') de la vitalité...
Verbes et accords particuliers Lien internet
Pour une meilleure formulation de cette phrase, vous devez en modifier la construction :
À vrai dire, il était presque inhabité(construire différemment cette proposition avec un autre sujet et un autre verbe. Le sujet sera le nom 'habitants' précédé d'un adverbe de quantité - voir lien - et suivi du verbe 'déserter' au plus-que-parfait. N'oubliez pas de placer correctement le pronom personnel COD mis pour 'le village'),(point-virgule) tous(à remplacer par le pronom personnel sujet) étaient partis à la ville pour chercher un emploi, sauf les femmes, les hommes les plus âgés et les enfants.
Bonne soirée
Réponse : Le village d'Alaba de fatiati51, postée le 27-02-2020 à 18:27:25 (S | E)
Bonjour,
Merci de l'intérêt porté à mon message, j'ai corrigé le texte en suivant vos conseils.
Pendant les dernières vacances, en plein été, j’ai passé une semaine en Tanzanie dans le village d’Alaba. Là-bas, la vie s’écoulait lentement, comme si le jour comptait plus de trente-six heures, comme si les aiguilles de la montre semblaient ne pas avancer. Le silence et le calme régnaient dans l’espace, troublés seulement par les aboiements d’un chien ou le cocorico d’un coq. Cela donnait l’impression d’un village inhabité. Rien ne lui procurait de la vitalité si ce n’étaient la prairie verdoyante parsemée de fleurs multicolores et parfumées et les oiseaux chantant une symphonie fantastique qui charmait les visiteurs.
À vrai dire, la plupart des habitants l’avaient déserté ; ils étaient partis à la ville pour chercher un emploi, sauf les femmes, les hommes les plus âgés et les enfants. Ces personnes s’occupaient de toutes les besognes domestiques. Dès l’aube, les enfants guidaient les troupeaux vers la prairie pour paître. Les plus âgés aidaient à la culture des terres, tandis que les femmes ramassaient du bois pour le feu, se chargeaient des petits et en même temps préparaient la nourriture. Cette routine se répétait chaque jour. En bref, la monotonie était la caractéristique de ce village.
L’ennui n’était pas sa seule particularité. Il s’y ajoutait la modestie ; elle s’apercevait clairement dans toutes les facettes de la vie villageoise. À la modestie du niveau de vie, se greffait la modestie des rêves et des ambitions. Même le plus ambitieux des villageois qui avait des rêves les voyait se réduire à la possession de, tout au plus, trois ou quatre vaches. Le manque de moyens financiers et la simplicité des préoccupations et de l’architecture des habitations donnaient à la vie une dimension primitive. Comme si la machine de la modernisation n’était jamais passée par là.
Réponse : Le village d'Alaba de alienor64, postée le 27-02-2020 à 18:53:30 (S | E)
Bonsoir fatiati51
Votre texte est presque parfait ; il le sera complètement après les quelques modifications que je vous signale, bien que grammaticalement il soit tout à fait correct.
Pendant les dernières vacances, en plein été, j’ai passé une semaine en Tanzanie dans le village d’Alaba. Là-bas, la vie s’écoulait lentement, comme si le jour comptait plus de trente-six(je ne connais que des jours de vingt-quatre heures !) heures, comme si les aiguilles de la montre semblaient ne pas avancer. Le silence et le calme régnaient dans l’espace, troublés seulement par les aboiements d’un chien ou le cocorico d’un coq. Cela donnait l’impression d’un village inhabité. Rien ne lui procurait de la vitalité(mieux en fin de phrase, après 'visiteurs' et précédé d'une virgule) si ce n’étaient la prairie verdoyante parsemée de fleurs multicolores et parfumées et les oiseaux chantant une symphonie fantastique qui charmait les visiteurs.
À vrai dire, la plupart des habitants l’avaient déserté ; ils étaient partis à la ville pour chercher un emploi, sauf les femmes, les hommes les plus âgés et les enfants. Ces personnes s’occupaient de toutes les besognes domestiques. Dès l’aube, les enfants guidaient les troupeaux vers la prairie pour paître. Les plus âgés aidaient à la culture des terres, tandis que les femmes ramassaient du bois pour le feu, se chargeaient des petits et en même temps préparaient la nourriture(mieux : les repas). Cette routine se répétait chaque jour. En bref, la monotonie était la caractéristique de ce village.
L’ennui n’était pas sa seule particularité. Il s’y ajoutait la modestie ; elle s’apercevait clairement dans toutes les facettes de la vie villageoise. À la modestie du niveau de vie, se greffait la modestie des rêves et des ambitions. Même le plus ambitieux des villageois qui avait des rêves les voyait se réduire à la possession de, tout au plus, trois ou quatre vaches. Le manque de moyens financiers et la simplicité des préoccupations et de l’architecture des habitations donnaient à la vie une dimension primitive. Comme si la machine de la modernisation n’était jamais passée par là.
Bonne soirée
Réponse : Le village d'Alaba de fatiati51, postée le 27-02-2020 à 23:42:13 (S | E)
Bonjour,
Merci de l'intérêt porté à mon message, j'ai corrigé le texte e n suivant vos conseils.
Pendant les dernières vacances, en plein été, j’ai passé une semaine en Tanzanie dans le village d’Alaba. Là-bas, la vie s’écoulait lentement, comme si la journée comptait plus de trente-six heures, comme si les aiguilles de la montre semblaient ne pas avancer. Le silence et le calme régnaient dans l’espace, troublés seulement par les aboiements d’un chien ou le cocorico d’un coq. Cela donnait l’impression d’un village inhabité. Si ce n’étaient la prairie verdoyante parsemée de fleurs multicolores et parfumées et les oiseaux chantant une symphonie fantastique qui charmait les visiteurs, rien ne lui procurait de la vitalité.
À vrai dire, la plupart des habitants l’avaient déserté ; ils étaient partis à la ville pour chercher un emploi, sauf les femmes, les hommes les plus âgés et les enfants. Ces personnes s’occupaient de toutes les besognes domestiques. Dès l’aube, les enfants guidaient les troupeaux vers la prairie pour paître. Les plus âgés aidaient à la culture des terres, tandis que les femmes ramassaient du bois pour le feu, se chargeaient des petits et en même temps préparaient les repas. Cette routine se répétait chaque jour. En bref, la monotonie était la caractéristique de ce village.
L’ennui n’était pas sa seule particularité. Il s’y ajoutait la modestie ; elle s’apercevait clairement dans toutes les facettes de la vie villageoise. À la modestie du niveau de vie, se greffait la modestie des rêves et des ambitions. Même le plus ambitieux des villageois qui avait des rêves les voyait se réduire à la possession de, tout au plus, trois ou quatre vaches. Le manque de moyens financiers et la simplicité des préoccupations et de l’architecture des habitations donnaient à la vie une dimension primitive. Comme si la machine de la modernisation n’était jamais passée par là.
Réponse : Le village d'Alaba de alienor64, postée le 28-02-2020 à 00:44:59 (S | E)
Bonsoir fatiati51
Cette première partie du texte est à présent correcte , même si vous avez décidé qu'un jour sur Terre ne dure plus vingt-quatre heures, mais trente-six.
Maintenant, passons à la seconde partie :
Voix active et voix passive : Lien internet
Les maisons ont été bâties(autre temps : imparfait voix passive : voir lien) de roches taillées et cimentées avec de l'argile. Tout le village a été parcouru(même remarque) d'un réseau de pistes formé de pierres taillées juxtaposées. Ce réseau routier ne signifiait(à remplacer par 'être') pas un signe (ici, préposition) luxe ; au contraire, c'est(autre temps) un besoin imposé par les précipitations abondantes qui, avec de l'argile, formaient de la boue(virgule) ce qui entravait la circulation.
Quoique la pauvreté soit(autre temps du subjonctif : votre récit est au passé) visible partout, la richesse en bonnes mœurs(autres termes) l'emporte(autre temps) sur tout. Les relations entre les gens sont fondées(autre temps du passé à la voix passive : voir lien) sur des qualités ultimes qui valorisent(autre temps) l'être humain, entre autres(à remplacer par la conjonction qui introduit un exemple ; enlevez les deux points qui suivent) : la solidarité, l'entraide mutuelle et l'altruisme. Une organisation sociale qui n'a(autre temps) pas de semblable(à remplacer par : 'sa pareille'), sauf dans les mythes adoptant l'idéalisme(enlever ; en général, les mythes accentuent les qualités d'un personnage pour en faire un héros, un être idéalisé et surhumain) . Les plus âgés, en tant que(enlever ; mettre un pronom démonstratif représentant 'les plus âgés', suivi d'une préposition devant 'la génération') la génération la plus sage, formaient un conseil pour concerter(ce verbe est pronominal) et discuter les('discuter' est un verbe transitif indirect, donc suivi d'une préposition) affaires du village. Ils établissaient des lois,(pas de virgule) basées sur la répartition égalitaire des tâches, des ressources et des richesses, afin d'assurer la bonne marche de la tribu(plutôt 'communauté'). La valorisation de la femme, le respect mutuel, les adultes doivent prendre soin des plus âgés(proposition incorrecte dans cette phrase ; vous devez la construire différemment avec un pronom relatif COD ayant pour antécédent 'le soin', mot qui sera donc placé devant ce pronom relatif ; 'le soin' sera suivi du sujet 'les adultes' et du verbe 'devoir' à conjuguer + complément d'objet indirect - ou complément d'attribution) étaient des images (ici, mettez l'adverbe indiquant que l'action persiste au moment ou vous écrivez)ancrées dans ma tête,(autre signe de ponctuation) toute personne devrait(pourquoi ce conditionnel ?) baiser la main et la tête de ceux qui sont plus âgés que lui(accord). Des valeurs suprêmes qui manquaient dans les villes supposées modernisées(autre adjectif : 'modernes').
Bonne correction
Réponse : Le village d'Alaba de fatiati51, postée le 29-02-2020 à 17:32:12 (S | E)
Bonjour,
Merci de l'intérêt porté à mon message, j'ai corrigé le texte en suivant vos conseils.
Les maisons étaient bâties de roches taillées et cimentées avec de l’argile. Tout le village était parcouru d’un réseau de pistes formé de pierres taillées juxtaposées. Ce réseau routier n’est pas un signe de luxe ; au contraire, c’était un besoin imposé par les précipitations abondantes qui, avec de l’argile, formaient de la boue, ce qui entravait la circulation.
Quoique la pauvreté fusse visible partout, la richesse en bonnes qualités l’emportait sur tout. Les relations entre les gens étaient fondées sur des principes ultimes qui valorisaient l’être humain, comme la solidarité, l’entraide mutuelle et l’altruisme. Une organisation sociale qui n’avait sa pareille, sauf dans les mythes. Les plus âgés, ceux de la génération la plus sage, formaient un conseil pour se concerter et discuter des affaires du village. Ils établissaient des lois basées sur la répartition égalitaire des tâches, des ressources et des richesses, afin d’assurer la bonne marche de la communauté. La valorisation de la femme, le respect mutuel, le soin que les adultes devaient prendre des plus âgés étaient des images encore ancrées dans ma tête ; toute personne devait baiser la main et la tête de ceux qui sont plus âgés qu’elle. Des valeurs suprêmes qui manquaient dans les villes supposées modernes.
Réponse : Le village d'Alaba de alienor64, postée le 29-02-2020 à 18:21:22 (S | E)
Bonjour fatiati51
Conjugaison de 'être' : Lien internet
- COmplément d'objet direct, indirect et second : Lien internet
Les maisons étaient bâties de roches taillées et cimentées avec de l'argile. Tout le village était parcouru d'un réseau de pistes formé de pierres taillées juxtaposées. Ce réseau routier n'est(autre temps) pas un signe de luxe ; au contraire, c'était un besoin imposé par les précipitations abondantes qui, avec de l'argile, formaient de la boue, ce qui entravait la circulation.
Quoique la pauvreté fusse(erreur : voir lien) visible partout, la richesse en bonnes qualités(expression maladroite, bien que l'on comprenne ce que vous voulez dire ; parlez plutôt de 'respect des valeurs humaines') l'emportait sur tout. Les relations entre les gens étaient fondées sur des qualités ultimes qui valorisaient l'être humain, comme la solidarité, l'entraide mutuelle(pléonasme : 'l'entraide' est une aide mutuelle) et l'altruisme. Une organisation sociale qui n'avait sa pareille, sauf dans les mythes. Les plus âgés, ceux de la génération la plus sage, formaient un conseil pour se concerter et discuter des affaires du village. Ils établissaient des lois basées sur la répartition égalitaire des tâches, des ressources et des richesses, afin d'assurer la bonne marche de la communauté. La valorisation de la femme, le respect mutuel, le soin que les adultes devaient prendre(enlever) des(autre déterminant pour introduire le complément d'objet second : voir lien) plus âgés étaient(autre temps : les souvenirs du passé demeurent dans votre présent) des images encore ancrées dans ma tête ; toute personne devait baiser la main et la tête de ceux(féminin : vous parlez de personnes) qui sont(autre temps) plus âgés qu'elle. Des valeurs suprêmes qui manquaient dans les villes supposées modernes.
Bonne fin de semaine
Réponse : Le village d'Alaba de fatiati51, postée le 29-02-2020 à 23:15:34 (S | E)
Bonjour,
Merci de l'intérêt porté à mon message, j'ai corrigé le texte en suivant vos conseils.
Les maisons étaient bâties de roches taillées et cimentées avec de l’argile. Tout le village était parcouru d’un réseau de pistes formé de pierres taillées juxtaposées. Ce réseau routier n’était pas un signe de luxe ; au contraire, c’était un besoin imposé par les précipitations abondantes qui, avec de l’argile, formaient de la boue, ce qui entravait la circulation.
Quoique la pauvreté ait été visible partout, le respect des valeurs humaines l’emportait sur tout. Les relations entre les gens étaient fondées sur des qualités ultimes qui valorisaient l’être humain, comme la solidarité, l’entraide et l’altruisme. Une organisation sociale qui n’avait sa pareille, sauf dans les mythes. Les plus âgés, ceux de la génération la plus sage, formaient un conseil pour se concerter et discuter des affaires du village. Ils établissaient des lois basées sur la répartition égalitaire des tâches, des ressources et des richesses, afin d’assurer la bonne marche de la communauté. La valorisation de la femme, le respect mutuel, le soin que les adultes devaient aux plus âgés eurent été des images encore ancrées dans ma mémoire ; toute personne devait baiser la main et la tête de celles qui étaient plus âgés qu’elle. Des valeurs suprêmes qui manquaient dans les villes supposées modernes.
Réponse : Le village d'Alaba de alienor64, postée le 01-03-2020 à 16:07:30 (S | E)
Bonjour fatiati51
Concordance des temps : Lien internet
Lien internet
Les maisons étaient bâties de roches taillées et cimentées avec de l’argile. Tout le village était parcouru d’un réseau de pistes formé de pierres taillées juxtaposées. Ce réseau routier n’était pas un signe de luxe ; au contraire, c’était un besoin imposé par les précipitations abondantes qui, avec de l’argile, formaient de la boue, ce qui entravait la circulation.
Quoique la pauvreté ait été(mieux, autre temps du subjonctif : imparfait. Voir liens sur la concordance des temps) visible partout, le respect des valeurs humaines l’emportait sur tout. Les relations entre les gens étaient fondées sur des qualités ultimes qui valorisaient l’être humain, comme la solidarité, l’entraide et l’altruisme. Une organisation sociale qui n’avait sa pareille, sauf dans les mythes. Les plus âgés, ceux de la génération la plus sage, formaient un conseil pour se concerter et discuter des affaires du village. Ils établissaient des lois basées sur la répartition égalitaire des tâches, des ressources et des richesses, afin d’assurer la bonne marche de la communauté. La valorisation de la femme, le respect mutuel, le soin que les adultes devaient aux plus âgés eurent été(pourquoi ce passé antérieur ??? Avez-vous bien lu l'indication dans la correction précédente ? Si ces images sont 'encore ancrées' dans votre mémoire au moment où vous écrivez ce texte, quel temps devez-vous mettre ?) des images encore ancrées dans ma mémoire ; toute personne devait baiser la main et la tête de celles qui étaient plus âgés(accord) qu’elle. Des valeurs suprêmes qui manquaient(ces 'valeurs suprêmes' manquent-elles toujours ou ne manquent-elles plus ? Le temps employé pour le verbe indique qu'elles manquaient, mais ne manquent plus. Est-ce vraiment ce que vous volez exprimer ?) dans les villes supposées modernes.
Bon dimanche
Réponse : Le village d'Alaba de fatiati51, postée le 01-03-2020 à 16:31:04 (S | E)
Bonjour,
Merci de l'intérêt porté à mon message,je suis très reconnaissant, j'ai corrigé le texte en suivant vos conseils.
Les maisons étaient bâties de roches taillées et cimentées avec de l’argile. Tout le village était parcouru d’un réseau de pistes formé de pierres taillées juxtaposées. Ce réseau routier n’était pas un signe de luxe ; au contraire, c’était un besoin imposé par les précipitations abondantes qui, avec de l’argile, formaient de la boue, ce qui entravait la circulation.
Quoique la pauvreté fût visible partout, le respect des valeurs humaines l’emportait sur tout. Les relations entre les gens étaient fondées sur des qualités ultimes qui valorisaient l’être humain, comme la solidarité, l’entraide et l’altruisme. Une organisation sociale qui n’avait sa pareille, sauf dans les mythes. Les plus âgés, ceux de la génération la plus sage, formaient un conseil pour se concerter et discuter des affaires du village. Ils établissaient des lois basées sur la répartition égalitaire des tâches, des ressources et des richesses, afin d’assurer la bonne marche de la communauté. La valorisation de la femme, le respect mutuel, le soin que les adultes devaient aux plus âgés sont des images encore ancrées dans ma mémoire ; toute personne devait baiser la main et la tête de celles qui étaient plus âgées qu’elle. Des valeurs suprêmes qui manquaient dans les villes supposées modernes.
Réponse : Le village d'Alaba de alienor64, postée le 01-03-2020 à 17:09:09 (S | E)
Bravo, fatiati51 ! Votre texte est désormais correct.
Bonne continuation
Réponse : Le village d'Alaba de fatiati51, postée le 01-03-2020 à 19:12:26 (S | E)
Merci infiniment alienor64, je suis très reconnaissant.
Réponse : Le village d'Alaba de alienor64, postée le 01-03-2020 à 23:11:14 (S | E)
Avec plaisir, fatiati51
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