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    Le premier jour d'un retraité

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    Le premier jour d'un retraité
    Message de fatiati51 posté le 14-02-2020 à 18:12:30 (S | E | F)
    Bonjour,
    S'il vous plaît, pouvez vous m'aider à corriger ce texte ? Merci d'avance.
    Le premier jour d’un retraité.
    C’est mon premier jour de retraite, assis sur une chaise en bois en mettant mes coudes sur mon bureau et en feuilletant mon journal intime. Je me souviens de quarante-deux ans de travail passés à l’école, j’étais professeur de l’enseignement primaire. La veille, l’administration a organisé une cérémonie en mon honneur. Personne n’a manqué de présence, le cadre administratif, le corps enseignant, les représentants d’élèves et les parents d’élèves, mes amis et ma famille. Tous avaient pris la parole à tour de rôle pour me remercier des efforts déployés durant cette période, me souhaiter la réalisation de mes meilleurs vœux, la santé et la prospérité… Tous avaient pris des photos pour commémorer ces instants qualifiés d’inoubliables.
    Je me souviens du jour où j’ai pris mon baccalauréat, ce jour-là, j’ai juste terminé dix-huit ans, j’ai décidé de déposer mon dossier de candidature à la direction provinciale de l’éducation pour passer le concoure des enseignants dont j’avais rêvé de devenir depuis mon enfance.
    Bien que je sois passé deux ans de stage, mon premier contact avec les élèves était inoubliable, le trac et la peur mélangés avec de la joie étaient mes sentiments éprouvés. Beaucoup de pensées avaient chevauché dans ma tête, comment seront-ils ces élèves ? Disciplinés, calmes ou des rebelles perturbateurs ? Comment vont-ils m’accueillir ? Avec amabilité ou avec hostilité ? Comment vais-je réagir face à un comportement inattendu ?
    Oh ! Comme s’il était hier, quarante-deux ans de travail sont passés rapidement, comme l’éclair. J’étais toujours entre mes élèves, de bonne heure je prenais le taxi pour arriver à l’heure, j’étais pour eux le père, la mère et le frère, je n’avais jamais senti le temps vide, le jour à l’école et le soir pour corriger leurs devoirs.
    Maintenant, je suis seul, l’ennui me tuera, je sens que je ne vaux rien. Est-ce que vraiment c’est la fin de ma vie professionnelle ? Est-ce que je dois attendre la mort ? Mais, je peux continuer à enseigner, je suis en bonne santé, physique et mental, je ne veux pas me mettre à la retraite.
    Pourquoi le ministère de l’éducation ne promulguera-il pas une loi dans laquelle il rend le départ à la retraite est lié au choix du fonctionnaire ? Pourquoi les syndicats ne défendent-ils pas cette revendication ? Pourquoi me privé de ma fonction préférée ? C’est de l’injustice, oui, c’est vraiment de l’injustice.


    Réponse : Le premier jour d'un retraité de gerold, postée le 14-02-2020 à 19:19:27 (S | E)
    Bonjour fatiati51

    C’est mon premier jour de retraite, commencez une autrte phrase assis sur une chaise en bois virgule en mettant mes employez l'article défini coudes sur mon bureau virgule et en feuilletant conjuguez ce verbe au présent de l'indicatif mon journal intime. Je me souviens de quarante-deux ans de travail passés erreur d'accord à l’école, autre ponctuation j’étais professeur de l’enseignement primaire. La veille, l’administration a organisé une cérémonie en mon honneur. Personne n’a manqué de présence on ne dit pas "manquer de présence", le cadre administratif, le corps enseignant, les représentants d’ contractez "de" et l'article défini élèves et les parents d’élèves, mes amis et ma famille. Tous avaient passé composé (il n'y a pas d'antériorité par rapport à une autre action passée) pris la parole à tour de rôle pour me remercier des efforts déployés durant cette période, me souhaiter la réalisation de mes meilleurs vœux un peu maladroit, la santé et la prospérité… Tous avaient idem pris des photos pour commémorer ces instants qualifiés d’inoubliables.
    Je me souviens du jour où j’ai pris ce verbe ne convient pas mon baccalauréat, ce jour-là, j’ai juste terminé employez le passé proche avec "venir" à l'imparfait et le verbe "avoir" dix-huit ans, j’ai décidé de déposer mon dossier de candidature à la direction provinciale de l’éducation pour passer le concoure orthographe des enseignants dont, ce que j’avais rêvé de devenir depuis mon enfance.
    Bien que je sois passé l'auxiliaire serait "avoir", mais ce verbe ne convient pas ici deux ans de stage, mon premier contact avec les élèves était autre temps du passé inoubliable, le trac et la peur mélangés avec de la joie étaient mes article défini sentiments éprouvés faites une proposition relative avec ce verbe conjugué à l'imparfait. Beaucoup de pensées avaient chevauché employez ce verbe à la forme pronominale dans ma tête deux points, comment seront-ils mieux : employez le conditionnel (futur dans le passé) ces élèves ? Disciplinés, calmes ou des rebelles perturbateurs ? Comment vont-ils imparfait m’accueillir ? Avec amabilité ou avec hostilité ? Comment vais-jeidem réagir face à un comportement inattendu ?
    Oh ! Comme s’il "si" suivi d'un pronom démonstratif était hier, quarante-deux ans de travail sont passés autre auxiliaire rapidement, comme l’éclair. J’étais toujours entre autre préposition mes élèves, de bonne heure je prenais le taxi pour arriver à l’heure, j’étais pour eux le père, la mère et le frère, je n’avais passé composé jamais senti le temps vide cherchez une autre formulation (par exemple avec "n'avoir rien à faire"), le jour à l’école et le soir pour corriger leurs devoirs.
    Maintenant, je suis seul, l’ennui me tuera, je sens que je ne vaux rien. Est-ce que vraiment c’est la fin de ma vie professionnelle ? Est-ce que je dois attendre la mort ? Mais, je peux continuer à enseigner, je suis en bonne santé, physique et mental accord, je ne veux pas me mettre à la employez un autre verbe, c'est l'administration qui vous met à la retraite retraite.
    Pourquoi le ministère de l’éducation ne promulguera-t-il le conditionnel conviendrait mieux pas une loi dans laquelle il rend le départ à la retraite est conditionnel lié au choix du fonctionnaire ? Pourquoi les syndicats ne défendent-ils pas cette revendication ? Pourquoi me privé ce n'est pas un participe passé de ma fonction préférée ? C’est de l’injustice, oui, c’est vraiment de l’injustice.

    Corrigez le texte, puis repostez-le s'il vous plaît.



    Réponse : Le premier jour d'un retraité de fatiati51, postée le 14-02-2020 à 22:33:52 (S | E)
    Bonjour,
    Merci de l'intérêt porté à mon message, j'ai corrigé le texte en suivant vos conseils.
    Le premier jour d’un retraité.
    Inversement à mon habitude, je me lève tard, en effet, ce jour n’est pas comme les autres, car c’est mon premier jour de retraite. Assis sur une chaise en bois, les coudes sur mon bureau, je feuillette mon journal intime. Je me souviens de quarante-deux ans de travail passé à l’école ; j’étais professeur de l’enseignement primaire. La veille, l’administration a organisé une cérémonie en mon honneur. Personne ne s’est absenté, le cadre administratif, le corps enseignant, les représentants des élèves et les parents d’élèves, mes amis et ma famille. Tous ont pris la parole à tour de rôle pour me remercier des efforts déployés durant cette période, me souhaiter les meilleurs vœux, la santé et la prospérité… Tous ont pris des photos pour commémorer ces instants qualifiés d’inoubliables.
    Je me souviens du jour où j’ai obtenu mon baccalauréat, ce jour-là, je venais d’avoir dix-huit ans, j’ai décidé de déposer mon dossier de candidature à la direction provinciale de l’éducation pour passer le concours des enseignants, ce que j’avais rêvé de devenir depuis mon enfance.
    Bien que j’aie fait deux ans de stage, mon premier contact avec les élèves est inoubliable, le trac et la peur mélangés avec de la joie étaient les sentiments que j’éprouvais. Beaucoup de pensées m’avaient chevauché dans ma tête : comment seraient-ils ces élèves ? Disciplinés, calmes ou des rebelles perturbateurs ? Comment iraient-ils m’accueillir ? Avec amabilité ou avec hostilité ? Comment irais-je réagir face à un comportement inattendu ?
    Oh ! Comme si c’était hier, quarante-deux ans de travail ont passé rapidement, comme l’éclair. J’étais toujours avec mes élèves, de bonne heure je prenais le taxi pour arriver à l’heure, j’étais pour eux le père, la mère et le frère, j’ai toujours le temps occupé, le jour à l’école et le soir pour corriger leurs devoirs.
    Maintenant, je suis seul, l’ennui me tuera, je sens que je ne vaux rien. Est-ce que vraiment c’est la fin de ma vie professionnelle ? Est-ce que je dois attendre la mort ? Mais, je peux continuer à enseigner, je suis en bonne santé, physique et mentale, je ne veux pas me renvoyer à la retraite.
    Pourquoi le ministère de l’éducation ne promulguerait-il pas une loi dans laquelle le départ à la retraite aurait lié au choix du fonctionnaire ? Pourquoi les syndicats ne défendent-ils pas cette revendication ? Pourquoi me priver de ma fonction préférée ? C’est de l’injustice, oui, c’est vraiment de l’injustice.




    Réponse : Le premier jour d'un retraité de gerold, postée le 16-02-2020 à 12:18:01 (S | E)
    Bonjour

    Le premier jour d’un retraité.
    Inversement à mon habitude, je me lève tard point En effet, ce jour n’est pas comme les autres, car c’est mon premier jour de retraite. Assis sur une chaise en bois, les coudes sur mon bureau, je feuillette mon journal intime. Je me souviens de ajoutez un déterminant démonstratif quarante-deux ans de travail passéerreur de ma part, c'est bien "passés" accordé avec "ans* à l’école ; j’étais professeur de l’enseignement primaire. La veille, l’administration a organisé une cérémonie en mon honneur. Personne ne s’est absenté c'est correct, mais cela donne l'impression que certaines personnes sont parties au cours de la cérémonie, parlez plutôt de la présence que de l'absence le cadre administratif, le corps enseignant, les représentants des élèves et les parents d’élèves, mes amis et ma famille. Tous ont pris la parole à tour de rôle pour me remercier des efforts déployés durant cette période, me souhaiter les plutôt un possessif meilleurs vœux, la santé et la prospérité… Tous ont pris des photos pour commémorer ces instants qualifiés d’inoubliables.
    Je me souviens du jour où j’ai obtenu mon baccalauréat point , ce jour-là, je venais d’avoir dix-huit ans, j’ai décidé de déposer mon dossier de candidature à la direction provinciale de l’éducation pour passer le concours des enseignants, ce que j’avais rêvé de devenir depuis mon enfance.
    Bien que j’aie fait deux ans de stage, mon premier contact avec les élèves est passé simple ou passé composé inoubliable, le trac et la peur mélangés avec de la joie étaient les sentiments que j’éprouvais. Beaucoup de pensées m’avaient chevauché "se chevaucher" dans ma tête : comment seraient-ils virgule ces élèves ? Disciplinés, calmes ou des rebelles perturbateurs ? Comment iraient "aller" employé comme auxiliaire du futur proche ne se conjugue qu'au présent et à l'imparfait-ils m’accueillir ? Avec amabilité c'est un mot que l'on n'associe pas aux enfants, cherchez un synonyme ou avec hostilité ? Comment irais-je réagir face à un comportement inattendu ?
    Oh ! Comme si c’était hier, quarante-deux ans de travail ont passé rapidement, comme l’éclair. J’étais toujours avec mes élèves, de bonne heure je prenais le taxi pour arriver à l’heure, j’étais pour eux le père, la mère et le frère, j’ai toujours le temps occupé"être occupé", le jour à l’école et le soir pour corriger leurs devoirs.
    Maintenant, je suis seul, l’ennui me tuera, je sens que je ne vaux rien. Est-ce que vraiment c’est la fin de ma vie professionnelle ? Est-ce que je dois attendre la mort ? Mais, je peux continuer à enseigner, je suis en bonne santé, physique et mentale, je ne veux pas me renvoyer cela voudrait dire que cela dépend de vous, employez le verbe "mettre" au passif à la retraite.
    Pourquoi le ministère de l’éducation ne promulguerait-il pas une loi dans laquelle le départ à la retraite aurait lié c'est un passif au choix du fonctionnaire ? Pourquoi les syndicats ne défendent-ils pas cette revendication ? Pourquoi me priver de ma fonction préférée ? C’est de l’injustice, oui, c’est vraiment de l’injustice.




    Réponse : Le premier jour d'un retraité de fatiati51, postée le 17-02-2020 à 16:54:10 (S | E)
    Bonjour,
    merci pour l'intérêt porté à mon message, j'ai corrigé le texte suivant vos consignes.
    Le premier jour d’un retraité.
    Inversement à mon habitude, je me lève tard. En effet, ce jour n’est pas comme les autres, car c’est mon premier jour de retraite. Assis sur une chaise en bois, les coudes sur mon bureau, je feuillette mon journal intime. Je me souviens de ces quarante-deux ans de travail passés à l’école ; j’étais professeur de l’enseignement primaire. La veille, l’administration a organisé une cérémonie en mon honneur. Tous étaient présent, le cadre administratif, le corps enseignant, les représentants des élèves et les parents d’élèves, mes amis et ma famille. Tous ont pris la parole à tour de rôle pour me remercier des efforts déployés durant cette période, me souhaiter mes meilleurs vœux, la santé et la prospérité… Tous ont pris des photos pour commémorer ces instants qualifiés d’inoubliables.
    Je me souviens du jour où j’ai obtenu mon baccalauréat ; ce jour-là, je venais d’avoir dix-huit ans, j’ai décidé de déposer mon dossier de candidature à la direction provinciale de l’éducation pour passer le concours des enseignants, ce que j’avais rêvé de devenir depuis mon enfance.
    Bien que j’aie fait deux ans de stage, mon premier contact avec les élèves fut inoubliable, le trac et la peur mélangés avec de la joie étaient les sentiments que j’éprouvais. Beaucoup de pensées se chevaucher dans ma tête : comment seraient-ils, ces élèves ? Disciplinés, calmes ou des rebelles perturbateurs ? Comment vont-ils m’accueillir ? Avec courtoisie ou avec hostilité ? Comment vais-je réagir face à un comportement inattendu ?
    Oh ! Comme si c’était hier, quarante-deux ans de travail ont passé rapidement, comme l’éclair. J’étais toujours avec mes élèves, de bonne heure je prenais le taxi pour arriver à l’heure, j’étais pour eux le père, la mère et le frère, j’étais tout le temps occupé, le jour à l’école et le soir pour corriger leurs devoirs.
    Maintenant, je suis seul, l’ennui me tuera, je sens que je ne vaux rien. Est-ce que vraiment c’est la fin de ma vie professionnelle ? Est-ce que je dois attendre la mort ? Mais, je peux continuer à enseigner, je suis en bonne santé, physique et mentale, je ne veux pas être mis à la retraite.
    Pourquoi le ministère de l’éducation ne promulguerait-il pas une loi dans laquelle le départ à la retraite serait lié au choix du fonctionnaire ? Pourquoi les syndicats ne défendent-ils pas cette revendication ? Pourquoi me priver de ma fonction préférée ? C’est de l’injustice, oui, c’est vraiment de l’injustice.



    Réponse : Le premier jour d'un retraité de gerold, postée le 18-02-2020 à 11:57:55 (S | E)
    Bonjour

    Inversement utilisez un adverbe de la famille de "contre"* à mon habitude, je me lève tard. En effet, ce jour n’est pas comme les autres, car c’est mon premier jour de retraite. Assis sur une chaise en bois, les coudes sur mon bureau, je feuillette mon journal intime. Je me souviens de ces quarante-deux ans de travail passés à l’école ; j’étais professeur de l’enseignement primaire. La veille, l’administration a organisé une cérémonie en mon honneur. Tous étaient présent accord (ou "Tous étaient là"), le cadre administratif, le corps enseignant, les représentants des élèves et les parents d’élèves, mes amis et ma famille. Tous ont pris la parole à tour de rôle pour me remercier des efforts déployés durant cette période, me souhaiter mesleurs meilleurs vœux, la santé et la prospérité… Tous ont pris des photos pour commémorer/rappeler** ces instants qualifiés d’inoubliables.
    Je me souviens du jour où j’ai obtenu mon baccalauréat ; ce jour-là, je venais d’avoir dix-huit ans, j’ai décidé de déposer mon dossier de candidature à la direction provinciale de l’éducation pour passer le concours des enseignants, ce que j’avais rêvé de devenir depuis mon enfance.
    Bien que j’aie fait deux ans de stage, mon premier contact avec les élèves fut inoubliable, le trac et la peur mélangés avec (ou "à") de la joie étaient les sentiments que j’éprouvais. Beaucoup de pensées se chevaucherconjuguez ce verbe à l'imparfait dans ma tête : comment seraient-ils, ces élèves ? Disciplinés, calmes ou des rebelles perturbateurs ? Comment vont-ils l'imparfait conviendrait mieux m’accueillir ? Avec courtoisie ou avec hostilité ? Comment vais-je réagir face à un comportement inattendu ?
    Oh ! Comme si c’était hier, quarante-deux ans de travail ont passé rapidement, comme l’éclair. J’étais toujours avec mes élèves, de bonne heure je prenais le taxi pour arriver à l’heure, j’étais pour eux le père, la mère et le frère, j’étais tout le temps occupé, le jour à l’école et le soir pour corriger leurs devoirs.
    Maintenant, je suis seul, l’ennui me tuera, je sens que je ne vaux rien. Est-ce que vraiment c’est la fin de ma vie professionnelle ? Est-ce que je dois attendre la mort ? Mais "Mais" est une conjonction de coordination, or il n'y a pas de phrases à coordonner ici, employez plutôt ici un adverbe, je peux continuer à enseigner, je suis en bonne santé, physique et mentale, je ne veux pas être mis à la retraite.
    Pourquoi le ministère de l’éducation ne promulguerait-il pas une loi dans laquelle le départ à la retraite serait lié au choix du fonctionnaire ? Pourquoi les syndicats ne défendent-ils pas cette revendication ? Pourquoi me priver de ma fonction préférée ? C’est de l’injustice, oui, c’est vraiment de l’injustice.

    * "Inversement" s'emploie sans complément, on ne dit donc pas "inversement à".
    ** Des photos ne peuvent pas "commémorer" quoi que ce soit. "Commémorer" signifie "célébrer un événement passé".

    -------------------
    Modifié par gerold le 18-02-2020 11:58





    Réponse : Le premier jour d'un retraité de fatiati51, postée le 18-02-2020 à 18:39:11 (S | E)
    Merci infiniment pour vos explications précieuses,j'ai corrigé le texte suivant vos recommandations.
    Le premier jour d’un retraité.
    Contrairement à mon habitude, je me lève tard. En effet, ce jour n’est pas comme les autres, car c’est mon premier jour de retraite. Assis sur une chaise en bois, les coudes sur mon bureau, je feuillette mon journal intime. Je me souviens de ces quarante-deux ans de travail passés à l’école ; j’étais professeur de l’enseignement primaire. La veille, l’administration a organisé une cérémonie en mon honneur. Tous étaient présents, le cadre administratif, le corps enseignant, les représentants des élèves et les parents d’élèves, mes amis et ma famille. Tous ont pris la parole à tour de rôle pour me remercier des efforts déployés durant cette période, me souhaiter leurs meilleurs vœux, la santé et la prospérité… Tous ont pris des photos pour se rappeler ces instants qualifiés d’inoubliables.
    Je me souviens du jour où j’ai obtenu mon baccalauréat ; ce jour-là, je venais d’avoir dix-huit ans, j’ai décidé de déposer mon dossier de candidature à la direction provinciale de l’éducation pour passer le concours des enseignants, ce que j’avais rêvé de devenir depuis mon enfance.
    Bien que j’aie fait deux ans de stage, mon premier contact avec les élèves fut inoubliable, le trac et la peur mélangés avec de la joie étaient les sentiments que j’éprouvais. Beaucoup de pensées se chevauchaient dans ma tête : comment seraient-ils, ces élèves ? Disciplinés, calmes ou des rebelles perturbateurs ? Comment allaient-ils m’accueillir ? Avec courtoisie ou avec hostilité ? Comment allais-je réagir face à un comportement inattendu ?
    Oh ! Comme si c’était hier, quarante-deux ans de travail ont passé rapidement, comme l’éclair. J’étais toujours avec mes élèves, de bonne heure je prenais le taxi pour arriver à l’heure, j’étais pour eux le père, la mère et le frère, j’étais tout le temps occupé, le jour à l’école et le soir pour corriger leurs devoirs.
    Maintenant, je suis seul, l’ennui me tuera, je sens que je ne vaux rien. Est-ce que vraiment c’est la fin de ma vie professionnelle ? Est-ce que je dois attendre la mort ? D’ailleurs, je peux continuer à enseigner, je suis en bonne santé, physique et mentale, je ne veux pas être mis à la retraite.
    Pourquoi le ministère de l’éducation ne promulguerait-il pas une loi dans laquelle le départ à la retraite serait lié au choix du fonctionnaire ? Pourquoi les syndicats ne défendent-ils pas cette revendication ? Pourquoi me priver de ma fonction préférée ? C’est de l’injustice, oui, c’est vraiment de l’injustice.



    Réponse : Le premier jour d'un retraité de gerold, postée le 19-02-2020 à 10:48:15 (S | E)
    Bonjour

    ... D’ailleurs, je peux continuer à enseigner, je suis en bonne santé, physique et mentale, je ne veux pas être mis à la retraite. Je pensais plutôt à "pourtant", pour garder l'idée que vous aviez exprimée par "mais" : "pourtant, je peux continuer à enseigner"

    Votre texte me semble parfait maintenant.




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