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    Correction - Retour au village

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    Correction - Retour au village
    Message de asmaa61 posté le 09-02-2020 à 16:23:40 (S | E | F)
    Bonjour !
    S'il vous plaît, j'ai besoin de votre correction.
    Merci d'avance.


    Lorsque j'avais 7 ans j'allais au village natal de mes parents qui se situe au sud du Maroc auprès de la ville Tiznit. Après 10 ans d'absence je retourne au même place avec tout mon nostalgie pour passer des vacances d'été. Ces vacances étaient largement suffisantes pour me montrer que rien n'est comme avant. La première des choses qui attire mon attention est l'architecture qui a radicalement changée. Avant 10 ans, il y en a quelques-uns qui vivaient dans des maisons modernes et le reste vivait dans des maisons de pierres sèches et d'argile construites par amour. Maintenant, je ne vois que des copies des bâtiments mortelles et ennuyeuses qu'on voit dans la ville.  Je me sentais vraiment ettouffée lorsque j'ai vu que les maisons, les  kasbahs et les portes de bois qui étaient témoins d'une histoire pleine de blessures, d'éspoir, des joies et des malheurs devenaient des épaves oubliés. Également, j'ai vu que les rituelles sont cassés; avant,  le thé, des gâteaux et des fruits secs étaient toujours sur la table et la maison est toujours pleine par des invités, les voisins étaient des membres de la famille. je me souviens bien les réunions des femmes chaque jour après la prière de Asr pour préparer le huile d'argan en chantant des chansons berbères qui me fascinent mais maintenant cela n'est plus existé. ainsi, le beuglement des vâches,le braiment de l'âne, le bêlement des moutons et le chant des oisaux et des coqs à l'aube ne sont plus éxistaient. Pourtant, la chose qui m'a donné un peu de bonheur en tant qu'une personne très attachée à la tradition est lorsque j'ai vu  que les habitants du village sont encore accrocher aux habits traditionnels. En effet, ici vous ne pouvez pas voir une femme ou une fille qui ne porte pas une jupe longue avec un long voile nommé "adal" et des babouches "idoukan", de même les hommes ne trouvaient pas leur confort sauf s'ils portent des djallabas et des "idoukan" de couleur jaune.
    Certes la ville devient facile. En fait, les femmes n'avaient plus besoin de parcourir de longues distances pour aller chercher de l'eau, la route est pavée, la scolarisation devient un droit pour les filles du village tant que les garçons mais abandonner les caractéristiques marocaines, tant dans l'architecture et les traditions que dans les valeurs, comme la solidarité et l'amour entre les gens est considéré une perte pour nous, c'est ce qui m'a beaucoup touché.
    ------------------
    Modifié par bridg le 09-02-2020 16:51
    Titre



    Réponse : Correction - Retour au village de alienor64, postée le 09-02-2020 à 20:15:52 (S | E)
    Bonsoir asmaa61
    Participe passé avec 'avoir' : Lien internet
    L'élision : Lien internet

    Lorsque j'avais 7(en lettres) ans (virgule) j'allais(avec cet imparfait, vous indiquez que cette action se répétait dans le passé ; c'est donc un imparfait d'habitude. Si c'est le cas et pour être précise, faites-le suivre d'un adverbe ou d'une indication de temps : 'souvent'/ 'tous les dimanches'/ 'deux fois par an'... Si ce n'est pas le cas et que vous n'êtes allée qu'une fois dans ce village, conjuguez ce verbe au passé composé. À vous de dire ce qui vous convient) au village natal de mes parents qui se situe(enlever) au sud du Maroc auprès('auprès de' s'emploie surtout pour des personnes ; 'près de') de la ville (ici, préposition) Tiznit. Après 10(en lettres) ans d'absence(virgule) je retourne(il faut un temps du passé : passé composé, car la phrase qui suit fait référence au passé) au même place(autre mot) avec tout mon(accord avec 'nostalgie', mais mieux : à remplacer par un adverbe de quantité suivi d'une préposition) nostalgie pour passer des vacances d'été. Ces vacances étaient largement suffisantes pour me montrer que rien n'estautre temps) comme avant. La première des choses qui attire(autre temps) mon attention est(autre temps) l'architecture qui a radicalement changée(voir accord du participe passé avec l'auxiliaire 'avoir' et autre temps composé du passé). Avant(incorrect dans cette expression ; à enlever. C'est après 'ans' que vous devez mettre un adverbe qui signifie 'avant dans le temps'/ 'avant cela') 10en lettres) ans, il y en(pourquoi ce pronom ? Il ne remplace aucun nom ; à enlever) aautre temps) quelques-uns (remplacer 'uns' par un nom) qui vivaient dans des maisons modernes et le reste vivait dans des maisons de pierres sèches et d'argile construites par(autre préposition, celle qui indique un accompagnement) amour(est-ce le bon mot ?). Maintenant, je ne vois que des copies des bâtiments (virgule) mortelles et ennuyeuses(virgule)(ici, pronom démonstratif mis pour 'les copies des bâtiments) qu'on voit dans la ville. Je me sentais vraiment ettouffée(orthographe) lorsque j'ai vu que les maisons, les kasbahs et les portes de bois qui étaient (ici, déterminant défini) témoins d'une histoire pleine de blessures, d'éspoir(pas d'accent), des(préposition) joies et des(idem) malheurs devenaient des épaves oubliés(accord avec 'épaves'). Également, j'ai vu que les rituelles(orthographe : il faut le nom, non cet adjectif) sont cassés;(espace devant un point-virgule) avant, le thé,des(déterminant défini) gâteaux et des(déterminant défini) fruits secs étaient toujours sur la table et la maison est(autre temps) toujours pleine par desenlever ; mettre une préposition élidée) invités, les voisins étaient des membres de la famille. Majuscule en début de phrase)je me souviens bien les(déterminant contracté : contraction de 'de + le') réunions des(préposition) femmes chaque jour après la prière de Asr pour préparer le(à élider) huile d'argan en chantant des chansons berbères qui me fascinent(autre temps)(virgule) mais maintenant cela n'est plus existé('maintenant' indique le présent ; conjuguez 'exister' au présent de l'indicatif et à la forme négative). (début de phrase : majuscule)ainsi, le beuglement des vâches(pas d'accent),le braiment de l'âne, le bêlement des moutons et le chant des oisaux(orthographe) et des coqs à l'aube ne sont plus éxistaient(erreur : conjuguez 'exister' au présent de l'indicatif). Pourtant, la chose qui m'a donné un peu de bonheur en tant qu'une(ne laissez que la conjonction, sans l'élision) personne très attachée à la tradition(virgule) (ici, mettre le pronom élidé c', pour former le présentatif : c'est) est lorsque j'ai vu que les habitants du village sont (autre temps) encore accrocher(pas d'infinitif : c'est un verbe à un temps composé ; de plus, autre verbe ;: 'attacher') aux habits traditionnels. En effet, ici vous ne pouvez pas voir une femme ou une fille qui ne porte pas une jupe longue avec un long voile nommé "adal" et des babouches "idoukan", de même (ici, conjonction de subordination) les hommes (ici, pronom relatif sujet) ne trouvaient(autre temps) pas leur confort sauf s'ils portent des djallabas et des "idoukan" de couleur jaune.
    Certes la vie à la ville devient facile. En fait, les femmes n'avaient(autre temps) plus besoin de parcourir de longues distances pour aller chercher de l'eau, la route est pavée, la scolarisation devient un droit pour les filles du village tant que(erreur ; il faut une conjonction qui exprime la comparaison suivie de 'pour') les garçons (virgule) mais abandonner les caractéristiques marocaines, tant dans l'architecture et les traditions que dans les valeurs, comme la solidarité et l'amour entre les gens est considéré (ici, conjonction qui exprime la comparaison) une perte pour nous, c'est ce qui m'a beaucoup touché(accord,; si vous êtes du féminin).

    Bonne correction.



    Réponse : Correction - Retour au village de asmaa61, postée le 09-02-2020 à 20:56:57 (S | E)
    Merci beacoup.💚
    Lorsque j'avais sept ans, j'ai allé au village natal de mes parents  au sud du Maroc près de la ville de Tiznit. Après dix ans d'absence, j'ai  retourné au même lieu  avec beacoup de nostalgie pour passer des vacances d'été. Ces vacances étaient largement suffisantes pour me montrer que rien n'était comme avant. La première des choses qui attirait mon attention était l'architecture qui a radicalement changé. Dix ans avant, il y  avait quelques habitants qui vivaient dans des maisons modernes et le reste vivait dans des maisons de pierres sèches et d'argile construites avec amour. Maintenant, je ne vois que des copies des bâtiments mortelles et ennuyeuses, celles qu'on voit dans la ville. Je me sentais vraiment etouffée lorsque j'ai vu que les maisons, les kasbahs et les portes de bois qui étaient les témoins d'une histoire pleine de blessures, d'espoir, dujoies et du malheurs devenaient des épaves oubliées. Également, j'ai vu que les rituels sont cassés;  avant, le thé,les gâteaux et les fruits secs étaient toujours sur la table et la maison était toujours pleine des invités, les voisins étaient des membres de la famille. Je me souviens bien des réunions de les femmes chaque jour après la prière de Asr pour préparer l'huile d'argan en chantant des chansons berbères qui me fascinaiennt, mais maintenant cela n'existent plus. Ainsi, le beuglement des vaches ,le braiment de l'âne, le bêlement des moutons et le chant des oiseaux et des coqs à l'aube n'existent plus. Pourtant, la chose qui m'a donné un peu de bonheur en tant que personne très attachée à la tradition,c'est lorsque j'ai vu que les habitants du village étaient  encore ettaché aux habits traditionnels. En effet, ici vous ne pouvez pas voir une femme ou une fille qui ne porte pas une jupe longue avec un long voile nommé "adal" et des babouches "idoukan", de même que les hommes qui ne trouvent pas leur confort sauf s'ils portent des djallabas et des "idoukan" de couleur jaune.
    Certes la vie devient facile. En fait, les femmes n'ont plus besoin de parcourir de longues distances pour aller chercher de l'eau, la route est pavée, la scolarisation devient un droit pour les filles du village comme pour les garçons, mais abandonner les caractéristiques marocaines, tant dans l'architecture et les traditions que dans les valeurs, comme la solidarité et l'amour entre les gens est considéré comme une perte pour nous, c'est ce qui m'a beaucoup touchée.




    Réponse : Correction - Retour au village de alienor64, postée le 09-02-2020 à 23:45:53 (S | E)
    Bonsoir asmaa61
    Voix active, voix passive : Lien internet
    Gérondif et participe présent : Lien internet

    Lorsque j'avais sept ans, j'ai allé(aux temps composés, 'aller' se conjugue avec l'auxiliaire 'être') au(à remplacer par une préposition suivie du déterminant défini) village natal de mes parents au sud du Maroc près de la ville de Tiznit. Après dix ans d'absence, j'ai retourné(autre auxiliaire pour ce verbe) au(enlever ; mettre une préposition suivie d'un déterminant démonstratif) même lieu(autre mot : 'endroit') avec beacoup(orthographe) de nostalgie pour passer des vacances d'été. Ces vacances étaient largement suffisantes pour me montrer que rien n'était plus comme avant. La première des choses qui attirait(autre temps : passé composé) mon attention était l'architecture qui a(autre temps pour cet auxiliaire : le verbe 'changer' doit être au plus-que-parfait)) radicalement changé. Dix ans avant(autre adverbe ; lisez bien l'indication dans la correction précédente), il y avait(enlever) quelques habitants qui(enlever) vivaient dans des maisons modernes et le reste('le reste' n'est pas une expression très heureuse pour parler de personnes) vivait dans des maisons de pierres sèches et d'argile construites avec amour. Maintenant, je ne vois que des copies des bâtiments mortelles et ennuyeuses(après le nom que ces adjectifs qualifient ; de plus, 'mortelles' ne convient pas), celles qu'on voit dans la ville. Je me sentais vraiment étouffée(autre mot) lorsque j'ai vu que les maisons, les kasbahs et les portes de bois qui étaient les témoins d'une histoire pleine de blessures, d'espoir, du(erreur : 'du' est un déterminant partitif ; il faut une préposition) joies et du(idem) malheurs devenaient des épaves oubliées. Également,(enlever ; à remplacer par un autre adverbe qui marque l'égalité et à mettre entre l'auxiliaire et le participe passé) j'ai vu que les rituels sont cassés(autre temps : imparfait ou passé composé à la voix passive : voir lien);(erreur d'espace : voir le lien dans la correction précédente pour pouvoir corriger) avant, le thé,(erreur d'espace)les gâteaux et les fruits secs étaient toujours sur la table et la maison était toujours pleine des(erreur déjà signalée : voir indication dans la correction précédente et le lien sur l'élision) invités, les voisins étaient (ici, mettre une conjonction qui exprime la comparaison) des membres de la famille. Je me souviens bien des réunions de les (erreur : ne laisser que la préposition) femmes chaque jour après la prière de Asr pour préparer l'huile d'argan (virgule) en chantant(participe présent et non gérondif : voir lien) des chansons berbères qui me fascinaiennt(orthographe), mais maintenant cela n'existent(sujet de verbe : 'cela') plus. Ainsi, le beuglement des vaches ,(erreur d'espace : voir lien dans la correction précédente)le braiment de l'âne, le bêlement des moutons et le chant des oiseaux et des coqs à l'aube n'existent(autre verbe pour éviter une répétition rapprochée du mot : 'se faire entendre') plus. Pourtant, la chose qui m'a donné un peu de bonheur en tant que personne très attachée à la tradition,(erreur d'espace)c'est lorsque j'ai vu que les habitants du village étaient encore ettaché(orthographe + accord) aux habits traditionnels. En effet, ici vous ne pouvez pas voir une femme ou une fille qui ne porte pas une jupe longue avec un long voile nommé "adal" et des babouches "idoukan", de même que les(déterminant indéfini) hommes qui ne trouvent pas leur confort sauf s'ils portent(à remplacer par la préposition qui marque l'absence, la privation, suivie du verbe à infinitif) des djallabas(c'est orthographe arabe, la française est légèrement différente : un dictionnaire vous l'indiquera) et des "idoukan" de couleur jaune.
    Certes la vie devient facile (où donc la vie devient-elle facile ?). En fait, les femmes n'ont plus besoin de parcourir de longues distances pour aller chercher de l'eau, la route est pavée, la scolarisation devient un droit pour les filles du village comme pour les garçons, mais abandonner les caractéristiques marocaines, tant dans l'architecture et les traditions que dans les valeurs, comme la solidarité et l'amour entre les gens est considéré comme une perte pour nous, c'est ce qui m'a beaucoup touchée.

    Bonne soirée.




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