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Cours gratuits > Forum > Apprendre le français || En basMessage de gls posté le 15-12-2017 à 12:45:47 (S | E | F)
Bonjour tout le monde,
Pouvez-vous m’aider à corriger ce texte s’il vous plaît ? merci d’avance.
Un bolide tomba dans une forêt et creusa un trou géant. Des cries des animaux et des personnes occupaient le lieu. Je bondis de mon lit et arpentai furieusement dans ma chambre. « Heureusement : c’était un rêve», criai-je. Je bus un verre d’eau et je regagnai mon matelas chaud. Demain j’aurai du pain sur la planche, donc j’avais besoin de dormir, mais ce rêve effrayant m’empêcha de sommeiller. J’allumai la télévision, mes yeux se fermèrent et s’ouvrirent automatiquement. A côté de cette forêt situait une ville gouvernée par un souverain oppressif. Elle était entourée d’un mur solide et très élevé. Personne ne pouvait entrer ou quitter cette ville sans autorisation du roi. Un jour, il décida d’aller se promener dans la forêt avec son ministre qui était un homme sage et juste. « L’émotion infirme la règle » dit le roi. « J’adore le calme, l’organisation, l’air frais » continua-t-il en observant les arbres et les oiseaux qui chantaient joyeusement dans la nature. Après l’explosion, plusieurs animaux avait été morts, leurs os étaient encore dispersés sur le sol. C’était grâce au mur que ses habitants restaient vivants à l’exception de ceux qui étaient hors de la ville au moment de l’éclatement. Le ministre le suivit sans dire aucun mot. Ils montèrent sur un grand rocher surplombant sur la ville, « c’est moi qui a construit cette perle, regarde, elle est magnifique », dit le roi. « Excuse-moi sa majesté, vous êtes correct, vous avez participé à la renaissance de cette ville, mais le peuple a eu un rôle crucial dans ce projet, l’exemple le plus éloquent : le médecin veille sur la santé, sans lui on va souffrir de tas de maladies. Le policier assure la sécurité, sans lui les voleurs seront plus nombreux et notre vie sera menacée. Le professeur enseigne les enfants, sans lui l’analphabétisme se multipliera et l’éducation se disparaitra. L’ouvrier, le menuisier, le maçon… fabriquent et construisent les objets dont on a besoin, sans eux notre vie sera difficile. Le paysan laboure la terre, sans lui on ne trouve rien à manger, tout est clair comme le jour, construire un Etat a besoin de tout le monde», dit le ministre. Le roi le regarda d’un regard pénétrant et menaçant ; il l’avait l’air angoissé et ordonna le ministre de rester à la forêt. De retour à son palais, il tomba dans « le trou de bolide », et mourut. Une fin épouvantable pour ce tyran. Quelques jours plus tard, la paix et la justice répandirent dans la ville.
Merci.
Réponse : Texte de gerondif, postée le 15-12-2017 à 15:32:32 (S | E)
Bonjour
Vous êtes sûr que c'est un bolide (une voiture rapide) et pas plutôt un astéroïde, une météorite ?
je voulais vous demander, y-a-t-il un courant littéraire, une tradition qui vous fasse dans votre pays écrire des textes qui ressemblent aux "paraboles" qu'on nous enseignait au catéchisme pour nous apprendre les valeurs de la religion ou de la société, le respect des parents, des autres, la sagesse.... Je trouve que souvent, les textes venant d'Afrique (du Nord) ont ce parfum.
Réponse : Texte de gls, postée le 15-12-2017 à 16:14:28 (S | E)
bonsoir
je crois que le mot bolide est un synonyme du mot météorite.
l'essentiel pour moi est l'écriture et l'expression en français. si vous avez un sujet à nous présenter, je n'ai pas de problème, je peux essayer d'écrire un texte sur votre sujet.
merci.
Réponse : Texte de gerondif, postée le 15-12-2017 à 16:38:46 (S | E)
Bonjour
Ah oui, je m'étais focalisé sur le sens moderne.
Peu importe le sujet que vous traitez, je trouve simplement que ce genre de texte ressemble à une parabole.
erreurs en bleu
Un bolide tomba dans une forêt et creusa un trou géant(on trouve aussi béant). Des cries(je crie, tu cries mais des cris. Comment des cris peuvent-ils occuper un lieu ?) des animaux et des personnes occupaient le lieu. Je bondis de mon lit et arpentai furieusement dans(en trop) ma chambre. « Heureusement :(virgule) c’était un rêve», criai-je. Je bus un verre d’eau et je regagnai mon matelas chaud(pourquoi que le matelas et pas les draps ou les couvertures , On dit en français "mon lit douillet"). Demain j’aurai du pain sur la planche, donc j’avais besoin de dormir, mais ce rêve effrayant m’empêcha de sommeiller. J’allumai la télévision, mes yeux se fermèrent et s’ouvrirent automatiquement(grammaticalement correct mais ça n'a pas trop de sens, on dit souvent "javais du mal à garder les yeux ouverts devant l'écran, je "piquais du nez devant l'écran). A côté de cette forêt situait une ville gouvernée par un souverain oppressif. Elle était entourée d’un mur solide et très élevé. Personne ne pouvait entrer ou quitter cette ville sans autorisation du roi. Un jour, il décida d’aller se promener dans la forêt avec son ministre qui était un homme sage et juste. « L’émotion infirme la règle (correct mais que voulez-vous dire par là ?) » dit le roi. « J’adore le calme, l’organisation, l’air frais » continua-t-il en observant les arbres et les oiseaux qui chantaient joyeusement dans la nature. Après l’explosion, plusieurs animaux avait été(un imparfait va suffire) morts, leurs os étaient encore dispersés sur le sol. C’était grâce au mur que ses habitants restaient(plus que parfait) vivants à l’exception de ceux qui étaient hors de la ville au moment de l’éclatement (plutôt l'impact ou l'explosion). Le ministre le suivit sans dire aucun mot ( variante plus courante : sans mot dire). Ils montèrent sur un grand rocher surplombant sur(à ôter) la ville, « c’est moi qui a(accord) construit cette perle, regarde, elle est magnifique », dit le roi. « Excuse-moi sa majesté(il faut vouvoyer le roi), vous êtes correct(anglicisme , you are right ? en français on a faim, soif, raison ou tort), vous avez participé à la renaissance de cette ville, mais le peuple a eu un rôle crucial dans ce projet, l’exemple le plus éloquent : le médecin veille sur la santé, sans lui on va souffrir de tas de (mettez plutot d' + article indéfini) maladies. Le policier assure la sécurité, sans lui les voleurs *seront plus nombreux et notre vie *sera menacée (*le conditionnel irait bien aussi). Le professeur enseigne les(enseigner à quelqu'un) enfants, sans lui l’analphabétisme se multipliera et l’éducation se(verbe non réfléchi) disparaitra (^sur le i). L’ouvrier, le menuisier, le maçon… fabriquent et construisent les objets dont on a besoin, sans eux notre vie *sera difficile. Le paysan laboure la terre, sans lui on ne trouve rien à manger, tout est clair comme le jour, Pour construire un Etat, on a besoin de tout le monde», dit le ministre. Le roi le regarda d’un regard pénétrant et menaçant ; il l’(en trop) avait l’air angoissé et ordonna le(on ordonne à quelqu'un de faire quelque chose) ministre de rester à la forêt. De retour à(plutôt dans. son palais, il tomba dans « le trou de(à changer) bolide », et mourut. Une fin épouvantable (oui, mais est-ce si épouvantable puisque c'était un tyran ?) pour ce tyran. Quelques jours plus tard, la paix et la justice (verbe réfléchi)répandirent (se répandre se dit d'un liquide ou d'une épidémie. Il vaudrait mieux utiliser revenir ou faire son retour dans, ou régner à nouveau dans) dans la ville.
M
Réponse : Texte de gls, postée le 17-12-2017 à 00:59:56 (S | E)
bonsoir gerondif et merci beaucoup
***Un météorite tomba dans une forêt et creusa un trou béant. Des cris des animaux et des personnes étaient entendus dans tous les lieux. Je bondis de mon lit et arpentai furieusement ma chambre. « Heureusement, c’était un rêve», criai-je. Je bus un verre d’eau et je regagnai mon lit douillet. Demain j’aurai du pain sur la planche, donc j’avais besoin de dormir, mais ce rêve effrayant m’empêcha de sommeiller. J’allumai la télévision, mais javais du mal à garde les yeux ouverts devant l'écran. A côté de cette forêt situait une ville gouvernée par un souverain oppressif. Elle était entourée d’un mur solide et très élevé. Personne ne pouvait entrer ou quitter cette ville sans autorisation du roi. Un jour, il décida d’aller se promener dans la forêt avec son ministre qui était un homme sage et juste. « L’émotion infirme la règle ( ce roi n'utilise pas ses émotions, la pitié pour gouverner) » dit le roi. « J’adore le calme, l’organisation, l’air frais » continua-t-il en observant les arbres et les oiseaux qui chantaient joyeusement dans la nature. Après l’explosion, plusieurs animaux étaient morts, leurs os étaient encore dispersés sur le sol. C’était grâce au mur que ses habitants avaient resté vivants à l’exception de ceux qui étaient hors de la ville au moment de l'impact . Le ministre le suivit sans mot dire. Ils montèrent sur un grand rocher surplombant la ville, « c’est moi qui ai construit cette perle, regarde, elle est magnifique », dit le roi. « Excusez-moi votre majesté, vous avez raison, vous avez participé à la renaissance de cette ville, mais le peuple a eu un rôle crucial dans ce projet, l’exemple le plus éloquent : le médecin veille sur la santé, sans lui on va souffrir de tas d'une maladie. Le policier assure la sécurité, sans lui les voleurs iraient plus nombreux et notre vie irait menacée. Le professeur enseigne aux enfants, sans lui l’analphabétisme se multipliera et l’éducation disparaîtra. L’ouvrier, le menuisier, le maçon… fabriquent et construisent les objets dont on a besoin, sans eux notre vie irait difficile. Le paysan laboure la terre, sans lui on ne trouve rien à manger, tout est clair comme le jour, Pour construire un Etat, on a besoin de tout le monde», dit le ministre. Le roi le regarda d’un regard pénétrant et menaçant ; il avait l’air angoissé et ordonna au ministre de rester dans la forêt. De retour dans son palais, il tomba dans "le trou du bolide ", et mourut. Une fin épouvantable et mérité (oui) pour ce tyran. Quelques jours plus tard, la paix et la justice régnèrent à nouveau dans dans la ville.
merci mon ami. vous m'avez donné de nouvelles expressions.
Réponse : Texte de gerondif, postée le 17-12-2017 à 11:18:14 (S | E)
Bonjour
Un (ou une, le mot a les deux genres) météorite tomba dans une forêt et creusa un trou béant. Des cris des animaux et des personnes étaient entendus(verbe trop statique.Mettez par exemple jaillir au passé simple) dans tous les lieux. Je bondis de mon lit et arpentai (arpenter donne une idée de grande distance alors que la chambre a une surface limitée; Essayez l'expression marcher de long en large ou faire les cents pas dans) furieusement ma chambre. « Heureusement, c’était un rêve», criai-je. Je bus un verre d’eau et je regagnai mon lit douillet. Demain(ce complément de temps ne marche que par rapport au présent, dans un récit on mettra le lendemain : "Il retourna chez lui et mourut le lendemain" . Sauf si vous citez vos paroles dans une espèce de discours indirect libre, auquel cas j'aurais passera au conditionnel) j’aurai du pain sur la planche, donc j’avais besoin de dormir, mais ce rêve effrayant m’empêcha de sommeiller. J’allumai la télévision, mais javais du mal à garde (infinitif) les yeux ouverts devant l'écran. A côté de cette forêt situait(soit était située, mais on dit plus couramment se trouvait) une ville gouvernée par un souverain oppressif (en un mot un tyran, ou un souverain tyrannique, oppressif s'emploie plus pour une atmosphère). Elle était entourée d’un mur solide et très élevé. Personne ne pouvait entrer ou quitter cette ville sans (l')autorisation du roi. Un jour, il décida d’aller se promener dans la forêt avec son ministre qui était un homme sage et juste. « L’émotion infirme la règle (90% des gens ne sauront pas ce que ça veut dire)( ce roi n'utilise pas ses émotions, la pitié pour gouverner) » dit le roi. « J’adore le calme, l’organisation, l’air frais » continua-t-il en observant les arbres et les oiseaux qui chantaient joyeusement dans la nature. Après l’explosion, plusieurs animaux étaient morts, leurs os étaient encore dispersés sur le sol. C’était grâce au mur que ses habitants avaient(auxiliaire être avec les verbes de mouvement comme aller, venir, rester, tomber, arriver) resté vivants à l’exception de ceux qui étaient hors de la ville au moment de l'impact . Le ministre le suivit sans mot dire. Ils montèrent sur un grand rocher surplombant la ville, « c’est moi qui ai construit cette perle, regarde, elle est magnifique », dit le roi. « Excusez-moi votre majesté, vous avez raison, vous avez participé à la renaissance de cette ville, mais le peuple a eu un rôle crucial dans ce projet, l’exemple le plus éloquent : le médecin veille sur la santé, sans lui on va souffrir de(c'est là qu'il fallait mettre le d'un) tas de maladies. Le policier assure la sécurité, sans lui les voleurs iraient plus nombreux ( pas faux mais très littéraire, on s'attendrait plus au verbe être) et notre vie irait(là, il faut vraiment le conditionnel du verbe être) menacée. Le professeur enseigne aux enfants, sans lui l’analphabétisme se multipliera(conditionnel) et l’éducation disparaîtra(idem). L’ouvrier, le menuisier, le maçon… fabriquent et construisent les objets dont on a besoin, sans eux notre vie irait(verbe être, vous confondez aller et être au conditionnel) difficile. Le paysan laboure la terre, sans lui on ne trouve(conditionnel) rien à manger, tout est clair comme le jour( convient mal, vous voulez dire que toutes ces vérités sont évidentes, trouvez une formule plus courante) Pour construire un Etat, on a besoin de tout le monde», dit le ministre. Le roi le regarda d’un regard pénétrant et menaçant ; il avait l’air angoissé (je ne suis pas sûr qu'un tyran puisse être angoissé par les propos de son ministre, contrarié, oui, agacé, enervé mais de quoi pourrait-il bien avoir peur ?) et ordonna au ministre de rester dans la forêt. De retour dans (impossible, le trou est à l'extérieur des murs d'enceinte; alors qu'il rejoignait son palais, de retour vers son palais) son palais, il tomba dans "le trou du bolide ", et mourut. Une fin épouvantable et mérité(à accorder au féminin de une fin) (oui) pour ce tyran. Quelques jours plus tard, la paix et la justice régnèrent(plutôt un imparfait de description pour régner qu'un passé simple d'action qui irait avec un verbe d'action comme "refirent leur apparition, retrouvèrent le chemin de") à nouveau dans dans la ville.
Réponse : Texte de gls, postée le 18-12-2017 à 10:56:20 (S | E)
Bonjour gerondif et merci.
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Une météorite tomba dans une forêt et creusa un trou béant. Des cris des animaux et des personnes jaillirent dans tous les lieux. Je bondis de mon lit et marchai de long en large furieusement ma chambre. « Heureusement, c’était un rêve», criai-je. Je bus un verre d’eau et je regagnai mon lit douillet. Le lendemai, j'aurais du pain sur la planche, donc j’avais besoin de dormir, mais ce rêve effrayant m’empêcha de sommeiller. J’allumai la télévision, mais javais du mal à garder les yeux ouverts devant l'écran. A côté de cette forêt se trouvait une ville gouvernée par un souverain tyrannique. Elle était entourée d’un mur solide et très élevé. Personne ne pouvait entrer ou quitter cette ville sans autorisation du roi. Un jour, il décida d’aller se promener dans la forêt avec son ministre qui était un homme sage et juste. « J’adore le calme, l’organisation, l’air frais », dit le roi en observant les arbres et les oiseaux qui chantaient joyeusement dans la nature. Après l’explosion, plusieurs animaux étaient morts, leurs os étaient encore dispersés sur le sol. C’était grâce au mur que ses habitants étaient restés vivants à l’exception de ceux qui étaient hors de la ville au moment de l'impact . Le ministre le suivit sans mot dire. Ils montèrent sur un grand rocher surplombant la ville, « c’est moi qui ai construit cette perle, regarde, elle est magnifique », dit le roi. « Excusez-moi votre majesté, vous avez raison, vous avez participé à la renaissance de cette ville, mais le peuple a eu un rôle crucial dans ce projet, l’exemple le plus éloquent : le médecin veille sur la santé, sans lui on va souffrir d'un tas de maladies. Le policier assure la sécurité, sans lui les voleurs seraient plus nombreux et notre vie serait menacée. Le professeur enseigne aux enfants, sans lui l’analphabétisme se multiplierait et l’éducation disparaîtrait. L’ouvrier, le menuisier, le maçon… fabriquent et construisent les objets dont on a besoin, sans eux notre vie serait difficile. Le paysan laboure la terre, sans lui on ne trouverait rien à manger (pourquoi l'emploi du conditionnel dans les phrases précédentes ?), pour construire un Etat, on a besoin de tout le monde», dit le ministre. Le roi le regarda d’un regard pénétrant et menaçant ; il était enervé et ordonna au ministre de rester dans la forêt. De retour vers son palais, il tomba dans "le trou du bolide ", et mourut. Une fin épouvantable et méritée pour ce tyran. Quelques jours plus tard, la paix et la justice régnaient à nouveau dans dans la ville.
merci beaucoup gerondif.
Réponse : Texte de gls, postée le 21-12-2017 à 13:46:08 (S | E)
bonsoir gerondif
est ce que mon texte est correct ?
merci.
Réponse : Texte de gerondif, postée le 21-12-2017 à 15:35:22 (S | E)
Bonjour
Une météorite tomba dans une forêt et creusa un trou béant. (on dirait plutôt: De partout jaillirent des cris d'animaux )Des cris des animaux et des personnes jaillirent dans tous les lieux. Je bondis de mon lit et marchai de long en large furieusement dans ma chambre. « Heureusement, c’était un rêve», criai-je. Je bus un verre d’eau et je regagnai mon lit douillet. Le lendemai, j'aurais du pain sur la planche, donc j’avais besoin de dormir, mais ce rêve effrayant m’empêcha de sommeiller. J’allumai la télévision, mais javais du mal à garder les yeux ouverts devant l'écran. A côté de cette forêt se trouvait une ville gouvernée par un souverain tyrannique. Elle était entourée d’un mur solide et très élevé. Personne ne pouvait entrer ou quitter cette ville sans autorisation du roi. Un jour, il décida d’aller se promener dans la forêt avec son ministre qui était un homme sage et juste. « J’adore le calme, l’organisation, l’air frais », dit le roi en observant les arbres et les oiseaux qui chantaient joyeusement dans la nature. Après l’explosion, plusieurs animaux étaient morts, leurs os étaient encore dispersés sur le sol. C’était grâce au mur que ses habitants étaient restés vivants à l’exception de ceux qui étaient hors de la ville au moment de l'impact . Le ministre le suivit sans mot dire. Ils montèrent sur un grand rocher surplombant la ville, « c’est moi qui ai construit cette perle, regarde, elle est magnifique », dit le roi. « Excusez-moi(virgule) votre majesté, vous avez raison, vous avez participé à la renaissance de cette ville, mais le peuple a eu un rôle crucial dans ce projet, l’exemple le plus éloquent : le médecin veille sur la santé, sans lui on va souffrir (ou alors le conditionnel de souffir seul) d'un tas de maladies. Le policier assure la sécurité, sans lui(virgule) les voleurs seraient plus nombreux et notre vie serait menacée. Le professeur enseigne aux enfants, sans lui(virgule) l’analphabétisme se multiplierait et l’éducation disparaîtrait. L’ouvrier, le menuisier, le maçon… fabriquent et construisent les objets dont on a (nous avons est plus relevé que on a) besoin, sans eux (virgule)notre vie serait difficile. Le paysan laboure la terre, sans lui(virgule) on ne trouverait rien à manger (pourquoi l'emploi du conditionnel dans les phrases précédentes ? c'est la concordance des temps: s'il pleut, je resterai chez moi devient s'il pleuvait, je resterais chez moi)), pour construire un Etat, on a besoin de tout le monde», dit le ministre. Le roi le regarda d’un regard pénétrant et menaçant ; il était enervé(accent) et ordonna au ministre de rester dans la forêt. De retour vers son palais, il tomba dans "le trou du bolide ", et mourut. Une fin épouvantable et méritée pour ce tyran. Quelques jours plus tard, la paix et la justice régnaient à nouveau (ou bien retrouvèrent le chemin de)
Réponse : Texte de gls, postée le 22-12-2017 à 15:23:36 (S | E)
Bonsoir gerondif et merci beaucoup
Une météorite tomba dans une forêt et creusa un trou béant. De partout jaillirent des cris d'animaux et des personnes. Je bondis de mon lit et marchai de long en large furieusement dans ma chambre. « Heureusement, c’était un rêve», criai-je. Je bus un verre d’eau et je regagnai mon lit douillet. Le lendemain, j'aurais du pain sur la planche, donc j’avais besoin de dormir, mais ce rêve effrayant m’empêcha de sommeiller. J’allumai la télévision, mais javais du mal à garder les yeux ouverts devant l'écran. A côté de cette forêt se trouvait une ville gouvernée par un souverain tyrannique. Elle était entourée d’un mur solide et très élevé. Personne ne pouvait entrer ou quitter cette ville sans autorisation du roi. Un jour, il décida d’aller se promener dans la forêt avec son ministre qui était un homme sage et juste. « J’adore le calme, l’organisation et l’air frais », dit le roi en observant les arbres et les oiseaux qui chantaient joyeusement dans la nature. Après l’explosion, plusieurs animaux étaient morts, leurs os étaient encore dispersés sur le sol. C’était grâce au mur que ses habitants étaient restés vivants à l’exception de ceux qui étaient hors de la ville au moment de l'impact . Le ministre le suivit sans mot dire. Ils montèrent sur un grand rocher surplombant la ville, « c’est moi qui ai construit cette perle, regarde, elle est magnifique », dit le roi. « Excusez-moi, votre majesté, vous avez raison, vous avez participé à la renaissance de cette ville, mais le peuple a eu un rôle crucial dans ce projet, l’exemple le plus éloquent : le médecin veille sur la santé, sans lui on souffrirait d'un tas de maladies. Le policier assure la sécurité, sans lui, les voleurs seraient plus nombreux et notre vie serait menacée. Le professeur enseigne aux enfants, sans lui, l’analphabétisme se multiplierait et l’éducation disparaîtrait. L’ouvrier, le menuisier, le maçon… fabriquent et construisent les objets dont nous avons besoin, sans eux, notre vie serait difficile. Le paysan laboure la terre, sans lui, on ne trouverait rien à manger, pour construire un Etat, on a besoin de tout le monde», dit le ministre. Le roi le regarda d’un regard pénétrant et menaçant ; il était énervé et ordonna au ministre de rester dans la forêt. De retour vers son palais, il tomba dans "le trou du bolide ", et mourut. Une fin épouvantable et méritée pour ce tyran. Quelques jours plus tard, la paix et la justice retrouvèrent le chemin dans la ville.
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Réponse : Texte de gerondif, postée le 22-12-2017 à 17:00:27 (S | E)
Bonjour
Une météorite tomba dans une forêt et creusa un trou béant. De partout jaillirent des cris d'animaux et des de personnes. Je bondis de mon lit et marchai de long en large furieusement (pourquoi cette colère, cette fureur , j'aurais dit nerveusement) dans ma chambre. « Heureusement, c’était un rêve», criai-je (m'écriai-je). Je bus un verre d’eau et je regagnai mon lit douillet. Le lendemain, j'aurais du pain sur la planche, donc j’avais besoin de dormir, mais ce rêve effrayant m’empêcha de sommeiller (je dirais: "m'en empêcha", parce que sommeiller signifie dormir paisiblement et avec ce début stressant, il paraît incongru). J’allumai la télévision, mais javais du mal à garder les yeux ouverts devant l'écran. A côté de cette forêt se trouvait une ville gouvernée par un souverain tyrannique. Elle était entourée d’un mur solide et très élevé. Personne ne pouvait entrer ou quitter cette ville sans autorisation du roi. Un jour, il décida d’aller se promener dans la forêt avec son ministre qui était un homme sage et juste. « J’adore le calme, l’organisation et l’air frais (on dit en français "le grand air",) », dit le roi en observant les arbres et les oiseaux qui chantaient joyeusement dans la nature. Après l’explosion, plusieurs animaux étaient morts, leurs os étaient encore dispersés sur le sol. C’était grâce au mur que ses habitants étaient restés vivants à l’exception de ceux qui étaient hors de la ville au moment de l'impact . Le ministre le suivit sans mot dire. Ils montèrent sur un grand rocher surplombant la ville, « c’est moi qui ai construit cette perle, regarde, elle est magnifique », dit le roi. « Excusez-moi, votre majesté, vous avez raison, vous avez participé à la renaissance de cette ville, mais le peuple a eu un rôle crucial dans ce projet, l’exemple le plus éloquent : le médecin veille sur la santé, sans lui on souffrirait d'un tas de maladies. Le policier assure la sécurité, sans lui, les voleurs seraient plus nombreux et notre vie serait menacée. Le professeur enseigne aux enfants, sans lui, l’analphabétisme se multiplierait et l’éducation disparaîtrait. L’ouvrier, le menuisier, le maçon… fabriquent et construisent les objets dont nous avons besoin, sans eux, notre vie serait difficile. Le paysan laboure la terre, sans lui, on ne trouverait rien à manger,(point) pour construire un Etat, on a besoin de tout le monde», dit le ministre. Le roi le regarda d’un regard pénétrant et menaçant ; il était énervé et ordonna au ministre de rester dans la forêt. De retour vers son palais, il tomba dans "le trou du bolide ", et mourut. Une fin épouvantable et méritée pour ce tyran. Quelques jours plus tard, la paix et la justice retrouvèrent le chemin dans de la ville.
Réponse : Texte de gls, postée le 22-12-2017 à 19:42:47 (S | E)
bonsoir gerondif et merci
Une météorite tomba dans une forêt et creusa un trou béant. De partout jaillirent des cris d'animaux et de personnes. Je bondis de mon lit et marchai de long en large nerveusement dans ma chambre. « Heureusement, c’était un rêve», m'écriai-je. Je bus un verre d’eau et je regagnai mon lit douillet. Le lendemain, j'aurais du pain sur la planche, donc j’avais besoin de dormir, mais ce rêve effrayant m’en empêcha. J’allumai la télévision, mais javais du mal à garder les yeux ouverts devant l'écran. A côté de cette forêt se trouvait une ville gouvernée par un souverain tyrannique. Elle était entourée d’un mur solide et très élevé. Personne ne pouvait entrer ou quitter cette ville sans autorisation du roi. Un jour, il décida d’aller se promener dans la forêt avec son ministre qui était un homme sage et juste. « J’adore le calme, l’organisation et le grand air », dit le roi en observant les arbres et les oiseaux qui chantaient joyeusement dans la nature. Après l’explosion, plusieurs animaux étaient morts, leurs os étaient encore dispersés sur le sol. C’était grâce au mur que ses habitants étaient restés vivants à l’exception de ceux qui étaient hors de la ville au moment de l'impact . Le ministre le suivit sans mot dire. Ils montèrent sur un grand rocher surplombant la ville, « c’est moi qui ai construit cette perle, regarde, elle est magnifique », dit le roi. « Excusez-moi, votre majesté, vous avez raison, vous avez participé à la renaissance de cette ville, mais le peuple a eu un rôle crucial dans ce projet, l’exemple le plus éloquent : le médecin veille sur la santé, sans lui on souffrirait d'un tas de maladies. Le policier assure la sécurité, sans lui, les voleurs seraient plus nombreux et notre vie serait menacée. Le professeur enseigne aux enfants, sans lui, l’analphabétisme se multiplierait et l’éducation disparaîtrait. L’ouvrier, le menuisier, le maçon… fabriquent et construisent les objets dont nous avons besoin, sans eux, notre vie serait difficile. Le paysan laboure la terre, sans lui, on ne trouverait rien à manger. Pour construire un Etat, on a besoin de tout le monde», dit le ministre. Le roi le regarda d’un regard pénétrant et menaçant ; il était énervé et ordonna au ministre de rester dans la forêt. De retour vers son palais, il tomba dans "le trou du bolide ", et mourut. Une fin épouvantable et méritée pour ce tyran. Quelques jours plus tard, la paix et la justice retrouvèrent le chemin de la ville.
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Réponse : Texte de gerondif, postée le 22-12-2017 à 19:59:12 (S | E)
Bonsoir
Je ne vois plus grand chose à corriger. Eventuellement "étaient morts " est un état, "avaient péri" est une action, leur dernière.
Réponse : Texte de gls, postée le 22-12-2017 à 21:57:26 (S | E)
merci mon ami
j'ai appris beaucoup d'expression durant votre correction.
merci beaucoup.
Réponse : Texte de gerondif, postée le 22-12-2017 à 23:02:58 (S | E)
Bonsoir,
De rien. Ravi de vous être utile.(pluriel à "beaucoup d'expressions")
J'ai remarqué que, certes, vous apprenez de nouvelles expressions en acceptant et en replacant mes suggestions dans votre texte mais quand je vous demande de trouver vous-même une autre expression, comme dans:
[Le paysan laboure la terre, sans lui on ne trouve(conditionnel) rien à manger, tout est clair comme le jour( convient mal, vous voulez dire que toutes ces vérités sont évidentes, trouvez une formule plus courante) Pour construire un Etat, on a besoin de tout le monde»,], alors, vous supprimez l'expression purement et simplement.
Ici, il aurait fallu dire par exemple:
Il est évident que, pour construire un état.....
C'est l'évidence même que, pour construire un état.....
Tout le monde sait bien que, pour construire un état.....(familier)
Personne ne nie que, pour construire un état.....
Cela ne fait pas l'ombre d'un doute que, pour construire un état.....
Cela saute aux yeux de tout le monde que, pour construire un état.....(familier)
Nul ne songe à contester le fait que, pour construire un état....(soutenu)
Cela coule de source que, pour construire un état.....
L'expression "C'est clair comme de l'eau de roche" ou la vôtre, signifie moins "C'est évident" que " Votre explication était limpide".
(Quand j'étais élève, je comprenais cette expression à l'envers, me focalisant sur le mot roche et pensant que ça voulait dire "c'est très obscur" alors que c'est l'inverse, l'eau qui coule des montagnes est transparente et limpide)
Réponse : Texte de gls, postée le 23-12-2017 à 11:15:18 (S | E)
Bonjour mon ami
vous avez raison mon ami, je l'ai supprimer car j'ai cru que cette expression n'a pas de sens en langue française. Mais après votre explication j'ai découvert l'inverse.
la prochaine fois je vais faire plus d'effort et de recherche.
je vais modifier ce texte et le poster en prenant en considération votre remarque.
merci beaucoup.
Réponse : Texte de gls, postée le 25-12-2017 à 13:02:32 (S | E)
bonsoir gerondif et merci
Une météorite tomba dans une forêt et creusa un trou béant. De partout jaillirent des cris d'animaux et de personnes. Je bondis de mon lit et marchai de long en large nerveusement dans ma chambre. « Heureusement, c’était un rêve», m'écriai-je. Je bus un verre d’eau et je regagnai mon lit douillet. Le lendemain, j'aurais du pain sur la planche, donc j’avais besoin de dormir, mais ce rêve effrayant m’en empêcha. J’allumai la télévision, mais javais du mal à garder les yeux ouverts devant l'écran. A côté de cette forêt se trouvait une ville gouvernée par un souverain tyrannique. Elle était entourée d’un mur solide et très élevé. Personne ne pouvait entrer ou quitter cette ville sans autorisation du roi. Un jour, il décida d’aller se promener dans la forêt avec son ministre qui était un homme sage et juste. « J’adore le calme, l’organisation et le grand air », dit le roi en observant les arbres et les oiseaux qui chantaient joyeusement dans la nature. Après l’explosion, plusieurs animaux avaient péri, leurs os étaient encore dispersés sur le sol. C’était grâce au mur que ses habitants étaient restés vivants à l’exception de ceux qui étaient hors de la ville au moment de l'impact . Le ministre le suivit sans mot dire. Ils montèrent sur un grand rocher surplombant la ville, « c’est moi qui ai construit cette perle, regarde, elle est magnifique », dit le roi. « Excusez-moi, votre majesté, vous avez raison, vous avez participé à la renaissance de cette ville, mais le peuple a eu un rôle crucial dans ce projet, l’exemple le plus éloquent : le médecin veille sur la santé, sans lui on souffrirait d'un tas de maladies. Le policier assure la sécurité, sans lui, les voleurs seraient plus nombreux et notre vie serait menacée. Le professeur enseigne aux enfants, sans lui, l’analphabétisme se multiplierait et l’éducation disparaîtrait. L’ouvrier, le menuisier, le maçon… fabriquent et construisent les objets dont nous avons besoin, sans eux, notre vie serait difficile. Le paysan laboure la terre, sans lui, on ne trouverait rien à manger. C'est clair comme de l'eau de roche, pour construire un Etat, on a besoin de tout le monde», dit le ministre. Le roi le regarda d’un regard pénétrant et menaçant ; il était énervé et ordonna au ministre de rester dans la forêt. De retour vers son palais, il tomba dans "le trou du bolide ", et mourut. Une fin épouvantable et méritée pour ce tyran. Quelques jours plus tard, la paix et la justice retrouvèrent le chemin de la ville.
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Réponse : Texte de gerondif, postée le 25-12-2017 à 15:41:41 (S | E)
Bonjour.
Un dernier détail : Une fin épouvantable mais méritée....
Réponse : Texte de gls, postée le 25-12-2017 à 16:45:29 (S | E)
bonsoir mon ami et merci beaucoup
sur l'intérêt que vous avez accordé à ce texte.
Une météorite tomba dans une forêt et creusa un trou béant. De partout jaillirent des cris d'animaux et de personnes. Je bondis de mon lit et marchai de long en large nerveusement dans ma chambre. « Heureusement, c’était un rêve», m'écriai-je. Je bus un verre d’eau et je regagnai mon lit douillet. Le lendemain, j'aurais du pain sur la planche, donc j’avais besoin de dormir, mais ce rêve effrayant m’en empêcha. J’allumai la télévision, mais javais du mal à garder les yeux ouverts devant l'écran. A côté de cette forêt se trouvait une ville gouvernée par un souverain tyrannique. Elle était entourée d’un mur solide et très élevé. Personne ne pouvait entrer ou quitter cette ville sans autorisation du roi. Un jour, il décida d’aller se promener dans la forêt avec son ministre qui était un homme sage et juste. « J’adore le calme, l’organisation et le grand air », dit le roi en observant les arbres et les oiseaux qui chantaient joyeusement dans la nature. Après l’explosion, plusieurs animaux avaient péri, leurs os étaient encore dispersés sur le sol. C’était grâce au mur que ses habitants étaient restés vivants à l’exception de ceux qui étaient hors de la ville au moment de l'impact . Le ministre le suivit sans mot dire. Ils montèrent sur un grand rocher surplombant la ville, « c’est moi qui ai construit cette perle, regarde, elle est magnifique », dit le roi. « Excusez-moi, votre majesté, vous avez raison, vous avez participé à la renaissance de cette ville, mais le peuple a eu un rôle crucial dans ce projet, l’exemple le plus éloquent : le médecin veille sur la santé, sans lui on souffrirait d'un tas de maladies. Le policier assure la sécurité, sans lui, les voleurs seraient plus nombreux et notre vie serait menacée. Le professeur enseigne aux enfants, sans lui, l’analphabétisme se multiplierait et l’éducation disparaîtrait. L’ouvrier, le menuisier, le maçon… fabriquent et construisent les objets dont nous avons besoin, sans eux, notre vie serait difficile. Le paysan laboure la terre, sans lui, on ne trouverait rien à manger. C'est clair comme de l'eau de roche, pour construire un Etat, on a besoin de tout le monde», dit le ministre. Le roi le regarda d’un regard pénétrant et menaçant ; il était énervé et ordonna au ministre de rester dans la forêt. De retour vers son palais, il tomba dans "le trou du bolide ", et mourut. Une fin épouvantable mais méritée pour ce tyran. Quelques jours plus tard, la paix et la justice retrouvèrent le chemin de la ville.
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