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Cours gratuits > Forum > Apprendre le français || En basMessage de gls posté le 29-11-2017 à 10:55:39 (S | E | F)
Bonjour tout le monde, pouvez-vous m’aider à corriger ce texte s’il vous plaît ? Merci d’avance.
Il était 22h00, je jetai un petit regard à travers la fenêtre de ma chambre ; j’aperçus un homme de taille moyenne, qui portait un tricot noir et un pantalon de jeans bleu et une casquette, marcha tout seul dans une ruelle où la vision n’était pas claire. De l’autre côté de la rue principale, un taxi s’arrêta, sa porte arrière s’ouvrit et une femme en sortit. Ses habits montraient sa richesse. « La princesse » c’est le surnom que je lui donnai, vu sa façon de marcher, la valeur de bijoux qu’elle portait et les mots de politesse qui l’avaient adressés au chauffeur du taxi.
Je rejoignis la cuisine pour préparer un tas de café. Ma femme était morte, j’étais seul à la maison, je songeais au passé. Soudain, j’entendis des cries de secours. Je rejoignis rapidement la fenêtre, c’était la princesse, étendit sur son dos et souffrit des douleurs intenses. J’appelai la police et l’ambulance avant que je descende l’escalier. En arrivant, elle me dit : « un homme qui port un tricot noir et une casquette m’a poignardé et volé mon sac, puis il s’est évadé et s’évanouit dans le noir de la nuit ». « C’est certainement l’homme que j’ai vu tout à l’heure » répliquai-je. Après quelques minutes, les agents de police étaient sur place. La femme perdit la conscience et les infirmiers lui évacuèrent tout de suite à l’hôpital. Elle gaspilla beaucoup de sang.
Un inspecteur de police m’interrogea sur cet événement, je lui donnai les descriptifs du voleur en question puis il ordonna aux flics d’aller à la poursuite du malfaiteur. Je partis à l’hôpital pour s’assurer de la santé de la princesse. Malheureusement, elle était en mauvais état. Un médecin me dit qu’elle avait besoin de sang. Volontairement, je décidai de faire un don. Après des analyses, son corps accepta mes sangs.
Il était l’aube quand je regagnai ma maison. J’étais fatigué et épuisé après une longue journée. Heureusement, c’était dimanche, un jour de vacance, je ne me réveillai qu’au midi. J’entendis des frappes sur la porte, c’était l’inspecteur de police, je portai mes vêtements et je lui suivis. On monta un véhicule de police. Absorbé dans ses pensées l’Inspecteur n’ouvrit pas la bouche durant le trajet. Le conducteur, s’arrêta devant le commissariat, nous en descendîmes et entrâmes dans son bureau.
« Hier, on a capturé un homme que l’on soupçonne. Je veux que tu me dis c’est-il lui ou non ? » Me dit l’inspecteur.
- Ok, répondis-je
Il a ordonné au policier de faire entrer cet homme.
- Je restais un moment immobile et silencieux. Je lui ai contemplé, puis j’affirme, oui c’est lui
- L’inspecteur me dit, tu es sûr que c’est lui
- Certainement, c’est lui je suis sûr »
L’inspecteur me remercia et je partis une autre fois à l’hôpital, directement à la chambre de la princesse. Elle dépassa l’état de grave, elle était belle, ses yeux bleus, sa bouche était vermeille, son cheveux était long et noir.
En retour à ma maison, je reçus un appel de téléphone, le voleur a été condamné de 10 ans de prison ferme, me déclara un ami qui n’était que l’inspecteur de police.
Après un an, je me mariai avec la princesse. Maintenant on a deux enfants et on vit en bonheur.
Merci.
Réponse : Texte de jij33, postée le 29-11-2017 à 12:12:53 (S | E)
Bonjour gls
On voit bien que vous n'imaginez pas le temps que nous passons à donner des conseils de correction. Sinon, vous proposeriez des textes plus courts !
Lien internet
sur les pronoms personnels COD et COI.
Il était 22h00, je jetai un petit regard
Je rejoignis la cuisine pour préparer un tas (ce ne serait pas plutôt "une tasse" ? ) de café. Ma femme était morte, j’étais seul à la maison, je songeais au passé. Soudain, j’entendis des cries de (remplacer sur le nom de la même famille que "appeler") secours. Je rejoignis rapidement la fenêtre, c’était la princesse, étendit (participe passé au féminin singulier) sur son (le déterminant défini suffit, car le dos, c'est forcément le sien) dos et souffrit (participe présent) des (préposition seule et non contraction de de + les) douleurs intenses. J’appelai la police et l’ambulance avant que je descende (préposition + infinitif) l’escalier. En arrivant (le gérondif se rapporte au sujet du verbe suivant. Or, c'est vous qui arrivez : commencez par "quand"), elle me dit : « un homme qui port (orthographe) un tricot noir et une casquette m’a poignardé (accord du participe passé employé avec avoir) et volé mon sac, puis il s’est évadé et s’évanouit (au passé composé) dans le noir de la nuit ». « C’est certainement l’homme que j’ai vu tout à l’heure » répliquai-je. Après quelques minutes, les agents de police étaient sur place. La femme perdit la (supprimer) conscience et les infirmiers (plutôt les ambulanciers) lui (autre pronom personnel élidé et COD) évacuèrent tout de suite à l’hôpital. Elle gaspilla (elle ne le gaspille pas, elle le perd) beaucoup de sang.
Un inspecteur de police m’interrogea sur cet événement, je lui donnai les descriptifs du voleur en question puis il ordonna aux flics (très familier : corrigez) d’aller à la poursuite (comme ils ne l'ont pas vu partir, ils ne peuvent pas le poursuivre : ils le recherchent) du malfaiteur. Je partis à l’hôpital pour s’ (autre pronom, première personne du singulier)assurer de la santé de la princesse. Malheureusement, elle était en mauvais état. Un médecin me dit qu’elle avait besoin de sang. Volontairement, je décidai de faire un don. Après des analyses, son corps accepta mes sangs (mal dit : corrigez en employant peut-être "compatible").
Il était l’aube quand je regagnai ma maison. J’étais fatigué et (pléonasme : supprimer) épuisé après une si longue journée. Heureusement, c’était dimanche, un (supprimer) jour de vacance, je ne me réveillai qu’au (préposition) midi. J’entendis des frappes (verbe de la même famille, à l'infinitif) sur la porte, c’était l’inspecteur de police,(point) je portai mes vêtements (verbe s'habiller) et je lui (on emploie "lui" pour le COI : à remplacer par le pronom COD. Voir lien donné au début) suivis. On monta ("on" ne remplace pas "nous" : corrigez et accordez le verbe)(ajouter une préposition) un véhicule de police. Absorbé dans ses pensées (virgule) l’Inspecteur n’ouvrit pas la bouche durant le trajet. Le conducteur,(pas de virgule) s’arrêta devant le commissariat, nous en descendîmes et entrâmes dans son bureau.
« Hier, on a capturé un homme que l’on soupçonne. Je veux que tu me dis (subjonctif présent) c’est-il (incorrect : mettre une subordonnée interrogative indirecte)lui ou non.
La suite plus tard !
Réponse : Texte de gls, postée le 29-11-2017 à 16:34:02 (S | E)
***bonsoir jij33, avant de commencer la correction, je veux vous remercier d'une part sur le temps que vous nous accordez pour corriger les textes et d'autres part sur le lien.
***Il était 22h00, je jetai un petit regard par la fenêtre de ma chambre ; j’aperçus un homme de taille moyenne, qui portait un tricot noir, un pantalon de jeans bleu et une casquette. Il marchait tout seul dans une ruelle obscure. De l’autre côté de la rue principale, un taxi s’arrêta, sa porte arrière s’ouvrit et une femme en sortit. Ses habits montraient sa richesse. « La princesse » c’est le surnom que je lui donnai, vu sa façon de marcher, la valeur des bijoux qu’elle portait et les mots de politesse qu'elle avait adressés au chauffeur du taxi.
Je rejoignis la cuisine pour préparer une tasse de café. Ma femme était morte, j’étais seul à la maison, je songeais au passé. Soudain, j’entendis des appels au secours. Je rejoignis rapidement la fenêtre, c’était la princesse, étendue sur le dos et souffrant de douleurs intenses. J’appelai la police et l’ambulance avant descendre à l’escalier. Quand j'arrivai, elle me dit : « un homme qui porte un tricot noir et une casquette m’a poignardée et volé mon sac, puis il s’est évadé et s’évanoui dans le noir de la nuit ». « C’est certainement l’homme que j’ai vu tout à l’heure » répliquai-je. Après quelques minutes, les agents de police étaient sur place. La femme perdit conscience et les ambulanciers l'évacuèrent tout de suite à l’hôpital. Elle perdit beaucoup de sang.
Un inspecteur de police m’interrogea sur cet événement, je lui donnai les descriptifs du voleur en question puis il ordonna aux policiers d’aller à la recherche du malfaiteur. Je partis à l’hôpital pour m'assurer de la santé de la princesse. Malheureusement, elle était en mauvais état. Un médecin me dit qu’elle avait besoin de sang. Volontairement, je décidai de faire un don. Après des analyses, son sang était compatible avec le mien.
Il était l’aube quand je regagnai ma maison. J’étais épuisé après une si longue journée.
Heureusement, c’était dimanche, jour de vacance, je ne me réveillai qu’à midi. J’entendis frapper sur la porte, c’était l’inspecteur de police. Je m'habillai et je le suivis. Nous montâmes un véhicule de police. Absorbé dans ses pensées, l’Inspecteur n’ouvrit pas la bouche durant le trajet. Le conducteur s’arrêta devant le commissariat, nous en descendîmes et entrâmes dans son bureau.
« Hier, on a capturé un homme que l’on soupçonne. Je veux que tu me dises est ce que lui ou non.
merci.
***
Réponse : Texte de jij33, postée le 29-11-2017 à 18:42:26 (S | E)
Bonsoir gls
On ne dit guère "après quelques minutes, après un an", mais plutôt quelques minutes plus tard... Vous ferez le changement quand vous trouverez ce signe dans le texte :
Il était 22h00, je jetai un petit regard par la fenêtre de ma chambre ; j’aperçus un homme de taille moyenne, qui portait un tricot noir, un pantalon de jeans bleu et une casquette. Il marchait tout seul dans une ruelle obscure. De l’autre côté de la rue principale, un taxi s’arrêta, sa porte arrière s’ouvrit et une femme en sortit. Ses habits montraient sa richesse. « La princesse » c’est le surnom que je lui donnai, vu sa façon de marcher, la valeur des bijoux qu’elle portait et les mots de politesse qu'elle avait adressés au chauffeur du taxi.
Je rejoignis la cuisine pour préparer une tasse de café. Ma femme était morte, j’étais seul à la maison, je songeais au passé. Soudain, j’entendis des appels au secours. Je rejoignis rapidement la fenêtre, c’était la princesse, étendue sur le dos et souffrant de douleurs intenses. J’appelai la police et l’ambulance avant (il manque une préposition) descendre à (supprimer) l’escalier. Quand j'arrivai, elle me dit : « un homme qui porte un tricot noir et une casquette m’a poignardée et volé mon sac, puis il s’est évadé et s’(il manque l'auxiliaire servant à former le passé composé) évanoui dans le noir de la nuit ». « C’est certainement l’homme que j’ai vu tout à l’heure » répliquai-je. Après quelques minutes, les agents de police étaient sur place. La femme perdit conscience et les ambulanciers l'évacuèrent tout de suite à l’hôpital. Elle perdit beaucoup de sang.
Un inspecteur de police m’interrogea sur cet événement, je lui donnai les descriptifs (mieux : nom masculin dérivant de "signaler") du voleur en question puis il ordonna aux policiers d’aller à la recherche du malfaiteur. Je partis à l’hôpital pour m'assurer de la santé de la princesse. Malheureusement, elle était en mauvais état (ne convient pas vraiment en parlant d'une personne : une maison, une voiture, un vêtement sont en mauvais état. Une personne ne va pas bien). Un médecin me dit qu’elle avait besoin de sang. Volontairement, je décidai de faire un don. Après des analyses, son sang était (plutôt "se révéler", au passé simple) compatible avec le mien.
Il était l’aube quand je regagnai ma maison. J’étais épuisé après une si longue journée.
Heureusement, c’était dimanche, jour de vacance, je ne me réveillai qu’à midi. J’entendis frapper sur la porte, c’était l’inspecteur de police. Je m'habillai et je le suivis. Nous montâmes (il manque une préposition) un véhicule de police. Absorbé dans ses pensées, l’Inspecteur n’ouvrit pas la bouche durant le trajet. Le conducteur s’arrêta devant le commissariat, nous en descendîmes et entrâmes dans son bureau.
« Hier, on a capturé un homme que l’on soupçonne. Je veux que tu me dises est ce que (une proposition interrogative indirecte commence souvent par "si") lui ou non.
Voici la suite !
- Ok, répondis-je
Il a ordonné (au passé simple,temps de référence du récit, que vous avez très bien employé jusque-là) au policier de faire entrer cet homme.
- (pas de tiret et n'allez pas à la ligne puisque ce n'est plus du dialogue mais un moment de récit)Je restais un moment immobile et silencieux. Je lui ai contemplé plutôt les verbes observer, dévisager, au passé simple), puis j’affirme (passé simple) (deux points, à la ligne, un tiret, puisque le dialogue repart), oui c’est lui point
- L’inspecteur me dit, (supprimer, car on sait qui parle, ou le mettre en proposition incise, en fin de phrase° tu es sûr que c’est lui (point d'interrogation)
- Certainement, c’est lui (virgule) je suis sûr » point
L’inspecteur me remercia et je partis une autre fois à l’hôpital, directement à la chambre de la princesse. Elle dépassa l’état de grave (ceci n'a pas de sens : être hors de danger, être sorti d'affaire), elle était belle, (mettre ici "avec" et supprimer les deux verbes conjugués qui suivent) ses yeux bleus, sa bouche était vermeille, son cheveux était long et noir (si elle est belle, je suppose qu'elle n'a pas seulement un cheveu !).
En (autre préposition) retour à ma déterminant défini maison, je reçus un appel de téléphone, le voleur a été condamné de 10 ans de prison ferme (déjà Le lendemain de l'agression Sans procès ), me déclara un ami qui n’était que l’inspecteur de police (pas très logique : le narrateur ne connaît pas l'inspecteur la veille et ils sont amis le lendemain...) .
Après un an, je me mariai avec la princesse. Maintenant on ("on" ne remplace pas "nous". Corriger et accorder les verbes a deux enfants et on (idem) vit en bonheur (ne se dit pas : on vit heureux)
Réponse : Texte de gls, postée le 30-11-2017 à 11:26:09 (S | E)
bonjour jij et merci beaucoup
Il était 22h00, je jetai un petit regard par la fenêtre de ma chambre ; j’aperçus un homme de taille moyenne, qui portait un tricot noir, un pantalon de jeans bleu et une casquette. Il marchait tout seul dans une ruelle obscure. De l’autre côté de la rue principale, un taxi s’arrêta, sa porte arrière s’ouvrit et une femme en sortit. Ses habits montraient sa richesse. « La princesse » c’est le surnom que je lui donnai, vu sa façon de marcher, la valeur des bijoux qu’elle portait et les mots de politesse qu'elle avait adressés au chauffeur du taxi.
Je rejoignis la cuisine pour préparer une tasse de café. Ma femme était morte, j’étais seul à la maison, je songeais au passé. Soudain, j’entendis des appels au secours. Je rejoignis rapidement la fenêtre, c’était la princesse, étendue sur le dos et souffrant de douleurs intenses. J’appelai la police et l’ambulance avant de descendre (est ce que on peut dire "par" ) l’escalier. Quand j'arrivai, elle me dit : « un homme qui porte un tricot noir et une casquette m’a poignardée et volé mon sac, puis il s’est évadé et s'est évanoui dans le noir de la nuit ». « C’est certainement l’homme que j’ai vu tout à l’heure » répliquai-je. Quelques minutes plus tard, les agents de police étaient sur place. La femme perdit conscience et les ambulanciers l'évacuèrent tout de suite à l’hôpital. Elle perdit beaucoup de sang.
Un inspecteur de police m’interrogea sur cet événement, je lui donnai les signalement du voleur en question puis il ordonna aux policiers d’aller à la recherche du malfaiteur. Je partis à l’hôpital pour m'assurer de la santé de la princesse. Malheureusement, elle était gravement malade et pâle. Un médecin me dit qu’elle avait besoin de sang. Volontairement, je décidai de faire un don. Après des analyses, son sang se révéla compatible avec le mien.
Il était l’aube quand je regagnai ma maison. J’étais épuisé après une si longue journée.
Heureusement, c’était dimanche, jour de vacance, je ne me réveillai qu’à midi. J’entendis frapper sur la porte, c’était l’inspecteur de police. Je m'habillai et je le suivis. Nous montâmes dans un véhicule de police. Absorbé dans ses pensées, l’Inspecteur n’ouvrit pas la bouche durant le trajet. Le conducteur s’arrêta devant le commissariat, nous en descendîmes et entrâmes dans son bureau.
« Hier, on a capturé un homme que l’on soupçonne. Je veux que tu me dises s'il est lui ou non.
- Ok, répondis-je
Il ordonna au policier de faire entrer cet homme. Je restais un moment immobile et silencieux. Je lui dévisageai, puis j’affirmai :
- Oui c’est lui
- Tu es sûr que c’est lui ?
- Certainement, c’est lui, je suis sûr.
L’inspecteur me remercia et je partis une autre fois à l’hôpital, directement à la chambre de la princesse. Elle fut hors de danger, elle était belle avec ses yeux bleus, sa bouche vermeille, son cheveu long et noir, son nez mince et sa peau douce et agréable. Quelques jours plus tard et de retour à la maison, je reçus un appel de téléphone, le voleur a été condamné de 10 ans de prison ferme, me déclara l'avocat de la princesse.
Un an a passé, je me mariai avec la princesse. Maintenant nous avons deux enfants et nous vivons heureux
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Réponse : Texte de jij33, postée le 30-11-2017 à 14:08:00 (S | E)
Bonjour gls
C'est nettement mieux ! Il reste quelques détails à régler et j'en profite pour vous proposer quelques améliorations dans l'expression, même si ce que vous avez écrit n'est pas incorrect.
Il était 22h00, je jetai un petit regard par la fenêtre de ma chambre ; j’aperçus un homme de taille moyenne, qui portait un tricot noir, un pantalon de jeans bleu et une casquette. Il marchait tout seul dans une ruelle obscure. De l’autre côté de la rue principale, un taxi s’arrêta, sa porte arrière s’ouvrit et une femme en sortit. Ses habits montraient sa richesse. « La princesse » c’est le surnom que je lui donnai, vu sa façon de marcher, la valeur des bijoux qu’elle portait et les mots de politesse (peut se dire, mais l'adjectif de la même famille conviendra mieux) qu'elle avait adressés au chauffeur du taxi.
Je rejoignis la cuisine pour préparer une tasse de café. Ma femme était morte, j’étais seul à la maison, je songeais au passé. Soudain, j’entendis des appels au secours. Je rejoignis rapidement la fenêtre,(remplacez la virgule par les deux-points, qui annoncent l'explication des appels) c’était la princesse, étendue sur le dos et souffrant de douleurs intenses. J’appelai la police et l’ambulance avant de descendre (est ce que on peut dire "par" non, on monte et l'on descend un escalier ) l’escalier. Quand j'arrivai, elle me dit : « un homme qui porte un tricot noir et une casquette m’a poignardée et volé mon sac, puis il s’est évadé et s'est évanoui dans le noir de la nuit ». « C’est certainement l’homme que j’ai vu tout à l’heure » répliquai-je. Quelques minutes plus tard, les agents de police étaient sur place. La femme perdit conscience et les ambulanciers l'évacuèrent tout de suite à (une autre préposition conviendrait mieux) l’hôpital. Elle perdit beaucoup de sang.
Un inspecteur de police m’interrogea sur cet événement, je lui donnai les (singulier) signalement du voleur en question puis il ordonna aux policiers d’aller à la recherche du malfaiteur. Je partis à l’hôpital pour m'assurer de la santé de la princesse. Malheureusement, elle était gravement malade (autre mot, plus précis : le poignard ne l'a pas rendue malade, il l'a...) et pâle. Un médecin me dit qu’elle avait besoin de sang. Volontairement, je décidai de faire un don. Après des analyses, son sang se révéla compatible avec le mien.
Il était l’aube quand je regagnai ma maison. J’étais épuisé après une si longue journée.Vous pouvez alléger ces deux phrases et en former une seule en supprimant les mot soulignés : commencez par "je regagnai ma maison, ajoutez le complément de temps "l'aube" précédé d'une préposition + virgule + la fin de la seconde phrase.
Heureusement, c’était dimanche, jour de vacance,(remplacer la virgule par une conjonction de coordination) je ne me réveillai qu’à midi. J’entendis frapper sur (on emploie plutôt une autre préposition) la porte,(là aussi, deux-points annonçant l'explication) c’était l’inspecteur de police. Je m'habillai et je le suivis. Nous montâmes dans un véhicule de police. Absorbé dans ses pensées, l’Inspecteur (pas de majuscule) n’ouvrit pas la bouche durant le trajet. Le conducteur s’arrêta devant le commissariat, nous en descendîmes et entrâmes dans son bureau.
« Hier, on a capturé un homme que l’on soupçonne. Je veux que tu me dises s'il (d'accord pour "si", mais il faudra remplacer le pronom personnel "il" par un pronom démonstratif d'une seule lettre car il sera élidé. Ah, qu'il est difficile parfois de ne pas donner la réponse mais de la faire deviner ! est lui ou non.
- Ok, répondis-je
Il ordonna au policier de faire entrer cet homme. Je restais un moment immobile et silencieux. Je lui ("lui" est souvent COI. Ici, il faut le pronom COD) dévisageai, puis j’affirmai :
- Oui (virgule c’est lui (point ou point d'exclamation)
- Tu es sûr que c’est lui ?
- Certainement, c’est lui, je suis sûr.
L’inspecteur me remercia et je partis une autre fois à l’hôpital, directement à la chambre de la princesse. Elle fut (imparfait) hors de danger, elle était belle avec ses yeux bleus, sa bouche vermeille, son cheveu long et noir ( j'espère pour elle qu'elle en a beaucoup plus ! Mettez tout le groupe au pluriel), son nez mince et sa peau douce et agréable. Quelques jours plus tard et de retour à la maison, je reçus un appel de téléphone, ( pas de virgule, deux-points ouvrez les guillemets)le voleur a été condamné de (autre préposition) 10 (en lettres) ans de prison ferme (guillemets), me déclara l'avocat de la princesse.
Un an a passé, je me mariai (au passé composé, parce que cet événement est proche du présent de "avons" et "vivons") avec la princesse (vous pouvez supprimer cette répétition en remplaçant par un pronom). Maintenant nous avons deux enfants et nous vivons heureux.
Réponse : Texte de gls, postée le 30-11-2017 à 15:49:40 (S | E)
bonsoir jij et merci beaucoup. vous avez raison, j'ai un problème avec l'expression en français. Comment à votre peux-je améliorer mon expression ?
***Il était 22h00, je jetai un petit regard par la fenêtre de ma chambre ; j’aperçus un homme de taille moyenne, qui portait un tricot noir, un pantalon de jeans bleu et une casquette. Il marchait tout seul dans une ruelle obscure. De l’autre côté de la rue principale, un taxi s’arrêta, sa porte arrière s’ouvrit et une femme en sortit. Ses habits montraient sa richesse. « La princesse » c’est le surnom que je lui donnai, vu sa façon de marcher, la valeur des bijoux qu’elle portait et les mots de polie qu'elle avait adressés au chauffeur du taxi.
Je rejoignis la cuisine pour préparer une tasse de café. Ma femme était morte, j’étais seul à la maison, je songeais au passé. Soudain, j’entendis des appels au secours. Je rejoignis rapidement la fenêtre : c’était la princesse, étendue sur le dos et souffrant de douleurs intenses. J’appelai la police et l’ambulance avant de descendre l’escalier. Quand j'arrivai, elle me dit : « un homme qui porte un tricot noir et une casquette m’a poignardée et volé mon sac, puis il s’est évadé et s'est évanoui dans le noir de la nuit ». « C’est certainement l’homme que j’ai vu tout à l’heure » répliquai-je. Quelques minutes plus tard, les agents de police étaient sur place. La femme perdit conscience et les ambulanciers l'évacuèrent tout de suite vers l’hôpital. Elle perdit beaucoup de sang.
Un inspecteur de police m’interrogea sur cet événement, je lui donnai le signalement du voleur en question puis il ordonna aux policiers d’aller à la recherche du malfaiteur. Je partis à l’hôpital pour m'assurer de la santé de la princesse. Malheureusement, elle était gravement blessée et pâle. Un médecin me dit qu’elle avait besoin de sang. Volontairement, je décidai de faire un don. Après des analyses, son sang se révéla compatible avec le mien.
Je regagnai ma maison à l'aube, épuisé après une si longue journée.
Heureusement, c’était dimanche, jour de vacance donc je ne me réveillai qu’à midi. J’entendis frapper à la porte : c’était l’inspecteur de police. Je m'habillai et je le suivis. Nous montâmes dans un véhicule de police. Absorbé dans ses pensées, l’inspecteur n’ouvrit pas la bouche durant le trajet. Le conducteur s’arrêta devant le commissariat, nous en descendîmes et entrâmes dans son bureau.
« Hier, on a capturé un homme que l’on soupçonne. Je veux que tu me dises si c'est lui ou non.
- Ok, répondis-je
Il ordonna au policier de faire entrer cet homme. Je restais un moment immobile et silencieux. Je le dévisageai, puis j’affirmai :
- Oui, c’est lui !
- Tu es sûr que c’est lui ?
- Certainement, c’est lui, je suis sûr.
L’inspecteur me remercia et je partis une autre fois à l’hôpital, directement à la chambre de la princesse. Elle était hors de danger et belle avec ses yeux bleus, sa bouche vermeille, ses cheveux longs et noirs, son nez mince et sa peau douce et agréable. Quelques jours plus tard et de retour à la maison, je reçus un appel de téléphone : " le voleur a été condamné à dix ans de prison ferme " me déclara l'avocat de la princesse.
Un an a passé, je me suis marié avec elle. Maintenant nous avons deux enfants et nous vivons heureux.
merci.
***
Réponse : Texte de jij33, postée le 01-12-2017 à 00:45:02 (S | E)
Bonsoir gls
Votre texte est tout à fait correct maintenant.
J'aurais cependant dû vous signaler qu'on ne dit pas recevoir un appel de téléphone, mais un coup de téléphone ou simplement un appel, sans autre précision.
On dit "comment puis-je améliorer mon expression?" En lisant beaucoup, en écoutant du français à la radio (éventuellement sur Internet), en écrivant des textes, comme vous le faites.
Bonne continuation.
Réponse : Texte de gls, postée le 01-12-2017 à 14:42:17 (S | E)
merci beaucoup mon ami
Réponse : Texte de gerondif, postée le 01-12-2017 à 15:44:45 (S | E)
Bonjour gls
En dépit de ce que vous pouvez croire, cette correction de qualité provient bien d'un cerveau féminin, vous devriez donc écrire "mon amie".
Réponse : Texte de jij33, postée le 01-12-2017 à 16:32:21 (S | E)
Eh oui ! Les cerveaux féminins fonctionnent aussi !
Réponse : Texte de gls, postée le 01-12-2017 à 20:11:26 (S | E)
bonsoir mes amis
tu as raison gerondif, j'ai consulté sa fiche, jij est une femme. alors merci mon amie jij33
comme elle a dit gerondif votre correction est de qualité. j'ai de la chance d'avoir des amis comme vous !
merci.
Réponse : Texte de jij33, postée le 01-12-2017 à 21:27:40 (S | E)
Ne vous inquiétez pas, gls, c'est une vieille plaisanterie entre gerondif et moi. Il sait que je suis (un peu ) féministe ! J'étais jeune à une époque où il fallait l'être vraiment pour que la société française avance. Pas assez vite, puisque, dans le secteur privé, en 2015, le salaire des femmes était inférieur d'environ 25% à celui de leurs collègues masculins.
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