Learn French 100% free Get 1 free lesson per week // Add a new lesson
Log in!

> Log in <
New account
Millions of accounts created on our sites.
JOIN our free club and learn French now!




Get a free French lesson every week!

  • Home
  • Contact
  • Print
  • Guestbook
  • Report a bug


  •  



    Production écrite N°2

    Cours gratuits > Forum > Apprendre le français || En bas

    [POSTER UNE NOUVELLE REPONSE] [Suivre ce sujet]


    Production écrite N°2
    Message de othman posté le 07-11-2017 à 10:17:23 (S | E | F)
    Bonjour, pouvez vous m'aider à corriger ce texte s'il vous plaît?

    Sujet: La résignation est-elle une qualité ou un défaut ?

    La résignation se définit comme la soumission et l’acceptation sans protester, donc elle est le contraire de la révolte. Face à un désaccord avec une autorité, la résignation peut être aperçu comme une sagesse ou comme une faiblesse.

    Choisir de se résigner et d’obéir à une autorité ne signifie pas qu’on est faible ou impuissant, mais témoigne d’une sagesse et un respect de cette autorité qui est en général plus forte que nous, et même si nous ne sommes pas d’accord avec elle, nous ne pouvons qu’obéir pour éviter le pire en cas de révolte comme ce que s’est passé dans le printemps arabe, quand les peoples ont choisi la révolte et que les conséquences étaient catastrophiques.

    Par contre il y a des limites à partir desquelles on ne peut plus résigner ; quand il s’agit de l’injustice et l’irresponsabilité d’une autorité et que la seule issue pour changer la situation est la révolte. En fait, la plupart des progrès ont été dû à la révolte et non à la résignation qui empêche les gens à agir et les incite à subir sans plainte. La résignation nous rend donc des êtres passifs incapables de critiquer et de lutter pour nos droits.

    La résignation et la révolte sont deux extrêmes qu’il vaut mieux éviter, car on peut critiquer une autorité tout en la respectant et sans être dans une totale soumission, comme on peut luter pour nos droits avec beaucoup de moyens sans avoir recours à la révolte.


    Réponse : Production écrite N°2 de othman, postée le 08-11-2017 à 17:34:25 (S | E)




    Réponse : Production écrite N°2 de alienor64, postée le 08-11-2017 à 23:20:21 (S | E)

    Bonsoir othman

    Sujet:(espace devant deux points) La résignation est-elle une qualité ou un défaut ?

    La résignation se définit comme la soumission et l’acceptation sans protester,(point-virgule) donc(après le verbe) elle est le contraire de la révolte. Face à un désaccord avec une autorité, la résignation peut être aperçu(accord) comme une sagesse ou comme une faiblesse.

    Choisir de se résigner et d’obéir à une autorité ne signifie pas qu’on est faible ou impuissant, mais témoigne d’une sagesse et (ici, préposition à élider) un respect de cette autorité qui est en général plus forte que nous, (ici, point) et même si nous ne sommes pas d’accord avec elle, nous ne pouvons qu’obéir pour éviter le pire en cas de révolte comme ce que(pronom relatif sujet ; mais remplacez ce qui est souligné par un pronom démonstratif neutre) s’est passé dans le(à enlever. Mettez une locution prépositive signifiant 'au moment du' ; ne recopiez pas cette indication) printemps arabe, quand les peoples ont choisi la révolte et que les conséquences étaient(autre temps) catastrophiques.

    Par contre(mieux : 'En revanche', suivi d'une virgule) il y a des limites à partir desquelles on ne peut plus résigner(ce verbe est pronominal) ;(ici, deux points explicatifs) quand il s’agit de l’injustice et (ici, préposition) l’irresponsabilité d’une autorité et que la seule issue pour changer la situation est la révolte. En fait, la plupart des progrès ont été (accord) à la révolte et non à la résignation qui empêche les gens à(autre préposition) agir et les incite à subir sans plainte(pluriel ; mieux : à remplacer par le verbe pronominal qui correspond à ce nom). La résignation nous rend donc des êtres (enlever) passifs(virgule) incapables de critiquer et de lutter pour nos droits.

    La résignation et la révolte sont deux extrêmes qu’il vaut mieux éviter, car on peut critiquer une autorité tout en la respectant et sans être dans une totale soumission, comme on peut luter(orthographe) pour nos droits avec beaucoup de moyens sans avoir recours à la révolte(point)

    Bonne correction



    Réponse : Production écrite N°2 de othman, postée le 09-11-2017 à 12:39:37 (S | E)
    Bonjour alienor64
    Merci beaucoup

    Sujet : La résignation est-elle une qualité ou un défaut ?

    La résignation se définit comme la soumission et l’acceptation sans protester ; elle est donc le contraire de la révolte. Face à un désaccord avec une autorité, la résignation peut être aperçue comme une sagesse ou comme une faiblesse.

    Choisir de se résigner et d’obéir à une autorité ne signifie pas qu’on est faible ou impuissant, mais témoigne d’une sagesse et d’un respect de cette autorité qui est en général plus forte que nous. Et même si nous ne sommes pas d’accord avec elle, nous ne pouvons qu’obéir pour éviter le pire en cas de révolte comme celui qui s’est passé lors du printemps arabe, quand les peuples ont choisi la révolte et que les conséquences ont été catastrophiques.

    En revanche, il y a des limites à partir desquelles on ne peut plus se résigner : quand il s’agit de l’injustice et de l’irresponsabilité d’une autorité et que la seule issue pour changer la situation est la révolte. En fait, la plupart des progrès ont été dus à la révolte et non à la résignation qui empêche les gens d’agir et les incite à subir sans se plaindre. La résignation nous rend donc des passifs, incapables de critiquer et de lutter pour nos droits.

    La résignation et la révolte sont deux extrêmes qu’il vaut mieux éviter, car on peut critiquer une autorité tout en la respectant et sans être dans une totale soumission, comme on peut lutter pour nos droits avec beaucoup de moyens sans avoir recours à la révolte.



    Réponse : Production écrite N°2 de alienor64, postée le 10-11-2017 à 00:35:12 (S | E)

    Bonsoir othman

    C'ets presque parfait !

    Sujet : La résignation est-elle une qualité ou un défaut ?

    La résignation se définit comme la soumission et l'acceptation sans protester ; elle est donc le contraire de la révolte. Face à un désaccord avec une autorité, la résignation peut être aperçue(plus exactement : 'perçue') comme une sagesse ou comme une faiblesse.

    Choisir de se résigner et d'obéir à une autorité ne signifie pas qu'on est faible ou impuissant, mais témoigne d'une sagesse et d'un respect de cette autorité qui est en général plus forte que nous. Et même si nous ne sommes pas d'accord avec elle, nous ne pouvons qu'obéir pour éviter le pire en cas de révolte(virgule) comme celui(pronom démonstratif neutre et non masculin) qui s'est passé lors du printemps arabe, quand les peuples ont choisi la révolte et que les(à enlever car alourdit la phrase ; à remplacer par une préposition indiquant l'accompagnement suivie d'un déterminant indéfini ; vous supprimerez alors le verbe qui suit) conséquences ont été catastrophiques.

    En revanche, il y a des limites à partir desquelles on ne peut plus se résigner : quand il s'agit de l'injustice et de l'irresponsabilité d'une autorité et que la seule issue pour changer la situation est la révolte. En fait, la plupart des progrès ont été dus à la révolte et non à la résignation qui empêche les gens d'agir et les incite à subir sans se plaindre. La résignation nous rend donc des(enlever. Voir note plus bas) passifs, incapables de critiquer et de lutter pour nos droits.

    La résignation et la révolte sont deux extrêmes qu'il vaut mieux éviter, car on peut critiquer une autorité tout en la respectant et sans être dans une totale soumission, comme on peut lutter pour nos droits avec beaucoup de moyens sans avoir recours à la révolte.

    N.B. : Vous pouvez dire : 'la résignation nous rend passifs' : 'rendre' + adjectif / 'la résignation fait de nous des êtres passifs ' : 'faire (de)' n'est pas suivi d'un adjectif mais d'un nom, éventuellement précédé d'un pronom personnel COI, comme ici.

    Bonne soirée



    Réponse : Production écrite N°2 de othman, postée le 10-11-2017 à 10:37:29 (S | E)
    Bonjour alienor64

    Merci de nouveau

    Sujet : La résignation est-elle une qualité ou un défaut ?

    La résignation se définit comme la soumission et l’acceptation sans protester ; elle est donc le contraire de la révolte. Face à un désaccord avec une autorité, la résignation peut être perçue comme une sagesse ou comme une faiblesse.

    Choisir de se résigner et d’obéir à une autorité ne signifie pas qu’on est faible ou impuissant, mais témoigne d’une sagesse et d’un respect de cette autorité qui est en général plus forte que nous. Et même si nous ne sommes pas d’accord avec elle, nous ne pouvons qu’obéir pour éviter le pire en cas de révolte, comme celle qui s’est passée lors du printemps arabe, quand les peuples ont choisi la révolte avec des conséquences catastrophiques.

    En revanche, il y a des limites à partir desquelles on ne peut plus se résigner : quand il s’agit de l’injustice et de l’irresponsabilité d’une autorité et que la seule issue pour changer la situation est la révolte. En fait, la plupart des progrès ont été dus à la révolte et non à la résignation qui empêche les gens d’agir et les incite à subir sans se plaindre. La résignation nous rend donc passifs, incapables de critiquer et de lutter pour nos droits.

    La résignation et la révolte sont deux extrêmes qu’il vaut mieux éviter, car on peut critiquer une autorité tout en la respectant et sans être dans une totale soumission, comme on peut lutter pour nos droits avec beaucoup de moyens sans avoir recours à la révolte.

    Bon journée




    Réponse : Production écrite N°2 de alienor64, postée le 10-11-2017 à 11:07:02 (S | E)
    Bonjour othman

    Les pronoms démonstratifs : Lien internet



    Sujet : La résignation est-elle une qualité ou un défaut ?

    La résignation se définit comme la soumission et l’acceptation sans protester ; elle est donc le contraire de la révolte. Face à un désaccord avec une autorité, la résignation peut être perçue comme une sagesse ou comme une faiblesse.

    Choisir de se résigner et d’obéir à une autorité ne signifie pas qu’on est faible ou impuissant, mais témoigne d’une sagesse et d’un respect de cette autorité qui est en général plus forte que nous(à mieux formuler : gardez 'en général' entre deux virgules et conjuguez le verbe 'dominer' précédé d'un pronom personnel COD). Et même si nous ne sommes pas d’accord avec elle, nous ne pouvons qu’obéir pour éviter le pire en cas de révolte, comme celle( correct, mais vous éludez ce qui peut vous sembler une difficulté en mettant un pronom démonstratif féminin. Mettez donc un pronom démonstratif neutre : déjà signalé ; voir lien. Vous ferez l'accord du participe passé qui suit) qui s’est passée lors du printemps arabe, quand les peuples ont choisi la révolte avec des conséquences catastrophiques.

    En revanche, il y a des limites à partir desquelles on ne peut plus se résigner : quand il s’agit de l’injustice et de l’irresponsabilité d’une autorité et que la seule issue pour changer la situation est la révolte. En fait, la plupart des progrès ont été dus à la révolte et non à la résignation qui empêche les gens d’agir et les incite à subir sans se plaindre. La résignation nous rend donc passifs, incapables de critiquer et de lutter pour nos droits.

    La résignation et la révolte sont deux extrêmes qu’il vaut mieux éviter, car on peut critiquer une autorité tout en la respectant et sans être dans une totale soumission, comme on peut lutter pour nos droits avec beaucoup de moyens sans avoir recours à la révolte.

    Bonne journée





    [POSTER UNE NOUVELLE REPONSE] [Suivre ce sujet]


    Cours gratuits > Forum > Apprendre le français